Publié le 07/12/2021 à 0516 Cette cérémonie à la mémoire des morts, militaires et civiles de la guerre d’Algérie, s’est déroulée sous la pluie, par un petit vent glacial. Les personnes présentent, civiles et militaires ont rendus, comme il se doit un fervent hommage à ceux qui ont laissé leur vie pour ce morceau de territoire qui fut durant plus de 130 ans considéré comme français. Ce temps hivernal, l’augmentation des cas covid, et les diverses activités programmées dans la ville ont fait que moins de personnes ont assisté à ce rassemblement par rapport à celle du 11 novembre dernier. Il n’en reste pas moins vrai que l’émotion était présente parmi les participants. Dépot de gerbes, sonnerie aux morts, salut aux drapeaux, puis monsieur le maire Denis Turrel conviait ceux qui le souhaitaient, à rejoindre la mairie pour partager le pot de la fraternité. Le conseil municipal était accompagné d’une partie du conseil municipal des jeunes qui a récemment pris ces fonctions.Cérémoniecommémorative du 5 décembre. Ce dimanche 5 décembre à 11h au cimetière, un hommage a été rendu aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie, et les combats du Maroc et de la Tunisie en présence de Monsieur le Maire, des élus locaux, des représentants de l’association des anciens combattants et des portes drapeaux. Une cérémonie commémorative pour la journée d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie s’est déroulée ce 5 décembre devant le monument aux morts du village. En présence de Monsieur le maire Guillaume Rossic, de quelques édiles municipaux et des porte-drapeaux, René Fournier, président des Anciens Combattants, a rappelé qu’après les accords d’Évian signés en mars 1962, de nombreux soldats, civils, familles de harkis ont été les cibles de représailles faisant de nombreuses victimes. C’est en application du décret de 2003 suivi d’une loi en 2005 que la mémoire de toutes ces victimes est honorée ce moment d’hommage s’est déroulé en comité restreint, covid-19 oblige. Le5 décembre, le ministère des Armées rend hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie ainsi qu’aux rapatriés
Ils étaient quelques courageux en ce samedi matin pluvieux à s’être déplacé au monument aux morts pour rendre hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Article réservé aux abonnés
Accueil> Actualités > Archives > 2016 > 5 décembre 2016 - Cérémonie organisée à l'occasion de la Journée nationale d'hommage aux "Morts pour la France" pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Sous menu de navigation . 2016 18 janvier 2016 - Mise en place d’un Comité de prévention de la Délinquance en Polynésie française; 19
Depuis2003, le 5 décembre de chaque année, un hommage national est rendu en mémoire des Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie.A l’occasion de la Journée nationale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie, une cérémonie officielle se déroulera samedi 5 décembre 2020 à 11h30 au Monument aux Morts de Saint-Jean-d’Angély. La cérémonie se déroulera dans le respect des règles sanitaires en vigueur.
Cérémoniecommémorative du 5 décembre. Dimanche 5 décembre 2021 - 11:00. Ce dimanche 5 décembre à 11h au cimetière, un hommage a été rendu aux Morts pour la FranceUne forte délégation du Souvenir Français, dont les jeunes porte-drapeaux, assistait le dimanche 5 décembre 2021 à la cérémonie départementale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. Depuis 2003, la France consacre la journée du 5 décembre à ceux qui sont morts pour la France dans ces guerres dites de décolonisation. De 1952 à 1962, en Algérie, au Maroc et en Tunisie, près de deux millions d’hommes servirent en Afrique du Nord. Plus de 25 000 d’entre eux tombèrent pour la France. 70 000 furent blessés Le Souvenir Français s’est engagé dans une refondation de sa politique de sauvegarde des tombes des Morts pour la France. Il s’agit entre autres d’assurer une veille mémorielle de ces tombes, notamment les tombes familiales, afin d’éviter que certaines d’entre elles ne disparaissent du fait de leur abandon, ou de l’impossibilité pour les familles à assurer leur entretien. C’est le cas de la tombe familiale, à Perpignan, d’un officier mort pour la France dans le contexte des combats au Maroc en 1957 les membres de sa famille sont très âgés, n’habitent plus la région. Ils viennent de demander au Souvenir Français d’assurer le suivi de la tombe en coordination avec la mairie.. Le comité de Perpignan et la Délégation Générale pour les Pyrénées Orientales du Souvenir Français se sont saisis du dossier. Assistaient à cette cérémonie pour le Souvenir Français – Le délégué général départemental, le général Gilles Glin, et le délégué départemental aux porte-drapeaux, Jean Luc Aldebert. – Le président du comité de Rivesaltes, René San Nicolas, et son porte-drapeau. – Le vice- président du comité de Claira Jacques Bonafos. – Une forte délégation du comité de Perpignan autour de son président, Ludovic Lobjois. – Plusieurs jeunes porte-drapeaux de la section Pierre Bayle, et certains de leurs aînés, porte-drapeaux de différents comités. Cérémoniedu 5 Décembre publié le 07/12/2018 Journée nationale d'hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie Depuis 2003, chaque année le 5 décembre, est une journée nationale d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie. C’est Jacques Chirac qui en 2003 a instauré cette Journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie ». À cette date, un an plus tôt, il avait inauguré le Mémorial situé sur le Quai Branly à Paris sur lequel sont inscrits les noms des soldats français tombés en Algérie – y compris après le cessez-le-feu » théorique du 19 mars autres journées de commémoration s’ajoutent à cette date neutre » du 5 décembre. Depuis 2003 aussi, une Journée nationale d’hommage aux harkis et autres membres des formations supplétives », le 25 septembre. Et depuis 2012, la Journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc », le 19 contexte de fortes tensionsLorsqu’en 2003 Jacques Chirac choisit la date du 5 décembre, cela fait trois ans que la mémoire de la guerre d’Algérie occupe le débat public. L’année 2000 est celle de l’explosion des tensions. Lors de son voyage en France, le président algérien Abdelaziz Bouteflika évoque la nécessité de rectifier l’image parfois déformée de certains épisodes de la colonisation ».En juin 2000, le général Massu reconnaît les faits de torture rapportée par Louisette Ighilahriz et à l’automne, les témoignages sur la torture affluent au journal L’Humanité qui publie l’ Appel des douze » en faveur d’une prise de position officielle. L’année suivante est marquée par les révélations du général Aussaresses et sa comparution en justice. C’est un moment à la fois de cristallisation et de déflagration mémorielle, analyse l’historien Tramor Quemeneur, spécialiste de la guerre d’Algérie. En 2003, à l’occasion de l’année de l’Algérie en France, Jacques Chirac choisit une date de commémoration qui ne risque pas d’enflammer un peu plus les débats, une date par défaut en quelque sorte. »Une date dépourvue de sens historiqueLes échanges souvent houleux sur le choix de la date du 19 mars – proposition de loi adoptée par l’Assemblée Nationale en 2002, finalement entérinée par le Sénat en 2012 – montrent assez combien ce choix politique n’a pas mis fin aux polémiques. Cette date du 5 décembre ne contente personne, poursuit Tramor Quemeneur, elle ne peut participer à une réconciliation des mémoires car elle est désincarnée. Elle n’inscrit pas de véritable espace de commémoration. »Face à ce constat, nombre d’historiens sont partisans d’une clarification mémorielle » au profit du 19 mars 1962, qui leur semble présenter un intérêt majeur faire sens pour tout le monde. Choisir la date le cessez-le-feu ne signifie pas qu’on occulte les violences qui ont eu lieu après, argumentent-ils encore. Et de citer d’autres dates, consensuelles celles-là , qui ne marquent pas pour autant la fin réelle des conflits celle du 8 mai 1945 qui n’implique pas l’oubli de Hiroshima ou Nagasaki et celle du 11 novembre 1918, alors que la démobilisation a lieu en sujet délicat pour Emmanuel MacronEn ce qui concerne la guerre d’Algérie, la multiplicité des dates de commémorations est d’autant moins satisfaisante qu’elle organise une dispersion des mémoirespropice à la surenchère, souligne l’historienne Sylvie Thénault, spécialiste de la colonisation en Algérie et de la guerre d’indépendance algérienne. Emmanuel Macron doit réunir les mémoires autour d’une seule date. Même s’il est évidemment impossible politiquement de rayer les autres, il pourrait distinguer le 19 mars par une cérémonie officielle. »Lors de son déplacement en Afrique, le président a reconnu une nouvelle fois l’existence des crimes de la colonisation et précisé, dans un entretien à TraceTV dimanche 3 décembre, qu’en ce domaine, la réparation est mémorielle ». Le choix de la date de commémoration revêt dès lors une importance particulière. L’absence de décision politique n’est pas un facteur d’apaisement, conclut Tramor Quemeneur. Lui qui connaît la pensée de Paul Ricœur le sait on ne peut se projeter sans faire état une fois pour toutes du passé vécu. » TiiCmK.