Personne n'en parle alors je le fais. Dernière bande annonce en date. J'avais entendu parler du projet il y a 2-3 ans maintenant et j'étais très curieux de voir cette adaptation. 1 Parce que ce n'est pas tous les jours que des français adaptent des mangas. 2 Comment cette adaptation allait être réalisée. En sortant de la séance, j'étais conquis, c'est une très belle dires du réalisateur Patrick Imbert, l'équipe a essayé de coller au traits de Taniguchi dans un premier temps et sont partis sur une direction artisitque plus proche de la série Lastman car les essais n'étaient pas concluants. Honnêtement, ce n'est pas dérangeant on reste sur un trait réaliste et artistiquement, c'est très réussi personnage avec des aplats et un peu d'ombre par moment. L'accent a été mis sur les montagnes qui restent les héroines avec de nombreux détails dans les décors et c'est sans doute pour cela que je ne vous dirais qu'une chose ALLER LE VOIR AU film traite de l'alpinisme et de ses fous héros qui gravissent les parois pour en atteindre le sommet. Le réalisateur ne se prive pas pour montrer à quel point l'homme n'est réduit qu'à un grain de sable insignifiant et vous vous doutez bien qu'entre un écran d'ordi le film est distribué par Netflix à l'international et un écran de ciné, le résultat n'est pas du tout le même. Et contrairement à un film classique, l'animation permet des développer le gigantisme des décors qui est bande annonce le met peu en avant mais c'est un avant tout un film d'ambiance et il y a peu de dialogues. Ils servent essentiellement à l'exposition pour expliquer au néophytes pourquoi/ comment les alpinistes s'y prennent pour gravir les parois, les différents types...et évidemment développer le personnage d'Abu. Le reste du temps, les personnages sont seuls. Inconsciemment, je me demandais comment ils allaient réussir à surmonter cette difficulté et j'ai même développé un certains affects pour les personnages car le film nous renvoie à notre propre mortalité. Ici, pas de "happy end", quand un personnage meurt, c'est seul, voir atroce et en quelques secondes. Même chose pour les bruitages qui font partis intégrantes de la montagne dans ce quel a de plus cruelle. Vous ne ressentirez pas la détresse des personnages autrement qu'au ciné ou à moins d'avoir une très bonne barre son.Si la bande annonce met l'accent sur l'alpiniste Mallory qui aurait été le premier à atteindre le Mont Everest, il laisse sa place à un thème bien plus vaste l'ambition. Qu'est ce qui pousse un alpiniste voir l'homme au sens large à risquer sa vie, à vouloir monter toujours plus loin, toujours plus haut comme dirais l'autre vers le sommet et à recommencer d'une autre manière une fois cet objectif atteint ?Donc, foncez le voir au CINE, ce film vaut le coup et il serait dommage de passer à côté.
Seulle petit Kodak Vest Pocket avec lequel ils devaient se photographier sur le toit du monde pourrait livrer la vérité. 70 ans plus tard, pour tenter de résoudre ce mystère, Fukamachi se lance sur les traces de Habu. Il découvre un monde de passionnés assoiffés de conquêtes impossibles et décide de l'accompagner jusqu'au voyage ultime vers le sommet des Dieux. Вершина богівФоторепортер наполегливо добивається правди про першу експедицію на Еверест і тому починає пошуки відомого альпініста, який зник роляхЛазаре Ерсон-Макарель,Ерік Ерсон-Макарель,Дам’єн БуассоВідеоВершина богівДокладні відомостіДивіться офлайнДоступно для завантаженняПро фільмНадихаюче,ЗахопливеЗвукEnglish - Audio Description,English,French - Audio Description,French [Original],Polish,Russian,TurkishСубтитриEnglish,English,French,French,Polish,Russian,UkrainianАкторський складЛазаре Ерсон-МакарельЕрік Ерсон-МакарельДам’єн БуассоЕлізабет ВентураКіліан РеглінґерФрансуа ДюноєСхожеНезабаром Retrouveztoutes les photos du film Le Sommet des dieux avec EcranLarge. Toggle navigation . Connexion S'abonner. Films Films. Buzz l'Éclair est le plus gros échec de Pixar, et Synopsis A Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit reconnaître Habu Jôji, cet alpiniste que l'on pensait disparu depuis des années. Il semble tenir entre ses mains un appareil photo qui pourrait changer l’histoire de l’alpinisme. Et si George Mallory et Andrew Irvine étaient les premiers hommes à avoir atteint le sommet de l’Everest, le 8 juin 1924 ? Seul le petit Kodak Vest Pocket avec lequel ils devaient se photographier sur le toit du monde pourrait livrer la vérité. 70 ans plus tard, pour tenter de résoudre ce mystère, Fukamachi se lance sur les traces de Habu. Il découvre un monde de passionnés assoiffés de conquêtes impossibles et décide de l’accompagner jusqu’au voyage ultime vers le sommet des dieux. bande annonce voir le film Ce film n'est pas projeté actuellement. Le Sommet des Dieux» sortira le 2 février 2022 en DVD/Blu Ray. Cinéma. Costa Brava, Lebanon de Mounia Akl - la critique et la bande-annonce. Cinéma. Sundown de Michel Franco - laFilm Animation, France, Luxembourg, 2020, 1h30VFHDA Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit reconnaître Habu Jôji, un célèbre alpiniste qui semble tenir entre ses mains un appareil photo, celui de George Mallory, son éternel rival, mort en 1924. Fukamachi se lance à l'assaut du fameux Sommet des dieux, où il espère apprendre la vérité...Critiques presseL'animation raffinée est au service d'un récit inouï. Adapté du manga de Jiro Taniguchi, un film remarquable, justement récompensé par un la navigation pour parcourir la dernière catégorieContinuer la navigation pour parcourir la dernière catégorie
AlloCiné News Cinéma Meilleurs films Films à l'affiche Prochainement Séances Box Office Courts-métrages Tous les films Séries Streaming Trailers DVD VOD Kids DISNEY+ Mon compte Identifiez-vousCréez votre compte Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires 1 Bande-annonce & Teasers 150Vidéo en cours 111 1 Emission d'actu ou bonus 510 Commentaires Pour écrire un commentaire, identifiez-vous Voir les commentairesLeSommet des Dieux Réalisateur : Patrick Imbert D'après le manga de Jiro Taniguchi Durée : 1h34 Date de sortie : 22.09.2021 Cannes 2021A Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit "Le Sommet des dieux" de Patrick Imbert © Wild Bunch Yannick Vely 25/09/2021 à 1224, Mis à jour le 10/01/2022 à 1415 Magnifique adaptation de la série de Jiro Taniguchi, Le Sommet des dieux» est à découvrir dans les salles. Nous avons rencontré son réalisateur, le Français Patrick Imbert. Paris Match. Comment est né le projet de l’adaptation du Sommet des dieux»?Patrick Imbert. Le projet a été initié par un producteur qui était à la fois fan de montagne et de l’oeuvre de Jiro Taniguch i. Je suis arrivé un peu plus tard. On m'a proposé de réaliser des dessins préparatoires pour le look des personnages Je travaillais à l'époque sur un autre film, Le Grand méchant renard». J'avais quelques jours off et de fil en aiguille, j’ai été associé de plus en plus au projet jusqu'à ce que j’en prenne la direction. Lire aussi la critique du "Sommet des dieux" La suite après cette publicité Vous connaissiez déjà l'œuvre de Taniguchi?Je connaissais bien l’oeuvre de Taniguchi, en tout cas ce qui était édité en France, mais je n'avais pas lu cette BD parce qu'a priori, le thème de la montagne ne m’attirait pas plus que ça. C’est joli la montagne mais je ne suis pas du tout alpiniste dans l’âme. Mais dès que j’ai ouvert le premier tome, je ne l'ai pas refermé. J'ai adoré. La suite après cette publicité Justement, pour vous, quand vous avez découvert ce livre, vous ne vous êtes pas dit qu’en animation, cela allait extrêmement compliqué?Mon métier, c'est de fabriquer de l'animation, donc je sais très bien comment faire en animation 2D traditionnelle. En 3D, cela aurait été très compliqué puisque les personnages ont tout un équipement d'alpiniste, des cordes, des mousquetons. Puis déjà, si on veut être réaliste, la 3D, c'est un métier et pas le mien. On a rencontré des interlocuteurs, mais la 3D c’est aussi très cher. Quand on regarde des gros films en 3D de chez Pixar, par exemple, le marketing vous fait croire que la 3D, c’est magique. Mais en fait, toutes les images sont retravaillées, c’est un processus très long. Donc, on est revenu à de la bonne vieille 2D. Qu'est-ce qui vous a séduit dans la trajectoire du héros du film?J'ai mis un peu de temps à le découvrir. A la première lecture, j’ai été pris par l'histoire et j'ai mis du temps à dégager ce qui vraiment me parlait. La BD est très riche, c'est vraiment une mosaïque de thèmes, de fils narratifs et de personnages principaux ou secondaires. Il m'est apparu que le fil rouge est l'itinéraire des deux personnages principaux autour desquels on avait construit des péripéties. Si on veut revenir à l'os, c'est la dimension universelle de pourquoi on fait quelque chose de manière obsessionnelle qui m’a intéressé. Moi, je suis dessinateur. Je dessine juste, parce que c'est comme ça. En fait, je ne peux pas vivre sans dessiner. Et donc j'ai établi ce parallèle avec l’alpinisme. Je suis la trajectoire du photographe. Je trouve assez intéressant qu’il passe de l'accessoire à l'essentiel, du scoop à quelque chose plus existentiel et philosophique. Le second personnage, lui, veut conquérir les sommets depuis toujours. Au fur et à mesure de son existence, il s’est peu à peu dépouillé des oripeaux de tout ce qui entoure l'alpinisme, de la compétition, de la recherche de la gloire ou je ne sais pas quoi qui pourrait pimenter son existence. A la fin, Il y a un comme un passage de témoin entre lui et le photographe. La suite après cette publicité La suite après cette publicité Avez-vous rencontré des alpinistes?D’abord, on a écumé le web et les librairies. Sur Internet, il y a énormément de documentaires, de reportages, de films, de photos sur la montagne. C'est une passion qui est très documentée. Mais une fois qu'on a tout ça, on ne sait pas quoi faire de toute cette documentation. Nous avons eu un consultant sur le projet qui nous a fait part de son expérience. Un membre du Club alpin français est venu dans notre studio avec tout son matériel. Il nous a montré comment s’attacher, comment faire si on est en galère en montagne. On a aussi pris des photos de lui pour connaître exactement les bonnes positions. Quitte à se cogner un thème, autant le respecter. Il y a bien quelques erreurs que l’on a laissées passer malgré tout mais les montagnards qui ont vu le film à Chamonix étaient très reconnaissants qu'on ait mis comme ça leur passion en images. Etes-vous êtes allé au Népal?Non, hélas. Mais Google Earth, c’est super bien fait rires. On peut faire l'ascension de chez soi, et c'était super utile, parce que quand il faut dessiner l'Himalaya, il faut quand même être le plus précis possible, Il y a par exemple une cascade de glace où vous êtes pris entre deux versants. A ce moment-là, vous êtes exposés au vent et à la neige. Mais je ne pense pas monter un jour l’Everest. Je pourrais faire le tour du Mont-Blanc en été, mais ça s'arrête là. Je suis un promeneur. Je ne comprends pas vraiment le fait d'aller faire un truc hyper dangereux. D’ailleurs, j'ai exprimé mon point de vue dans le personnage de Ryoko, qui est la grande sœur du garçon accidenté et qui demande pourquoi faites-vous ça ?» Je suis sensible à la douleur des gens qui restent après la mort de leur proche. L'histoire d'Elisabeth Revol, la Française qui a été sauvée au Nanga Parbat, m’a touché. Elle a survécu mais son compagnon de cordée est mort là-bas et il avait de jeunes enfants. Le Sommet des dieux» est d’ailleurs un film d'animation qui ne s'adresse pas forcément aux enfants. C’est plus difficile à produire? En fait, le projet s'est monté relativement bien. Ça a mis plusieurs années, mais bon, on peut dire qu'il y en a qui ont plus de mal encore à monter leur projet. Ce qui est drôle, c'est que pendant longtemps, les producteurs ont insisté auprès des investisseurs en disant que c'était un film familial. Ce qui sous-entend que les parents peuvent amener les enfants voir le film. Or, il est évident que ce n'est pas du tout pour les enfants, enfin pas avant douze ans je pense. Ça fait des années que je travaillais pour les enfants comme presque tout le monde, j'étais bien content de faire enfin un film pour adultes. C'est plutôt ma sensibilité. D'ailleurs, il y a un aspect du film que j'ai beaucoup aimé. C'est la dimension sonore. Comment avez-vous travaillé cet aspect?Alors ce n’est pas fait par les mêmes personnes que pour le visuel. Il y a toute une équipe qui a travaillé en suivant mes consignes. Les animateurs sons se sont éclatés, en tout cas c’est ce qu’ils m’ont dit. Ce n’est pas tous les jours qu’ils ont l’occasion de faire ça. Ils ont cherché comment faire parler la montagne, avec tous les éléments le vent, la neige, l'orage. Reproduire les échos, la réverbération… Je voulais aussi que la musique d’Amine Bouhafa ne souligne pas les émotions mais apporte une touche un peu plus personnelle."Moi, mon métier, c'est l’animation" Quel est votre parcours? Comment vous êtes venu à l'animation? C'est par le dessin. J'ai toujours dessiné et, en fait, pour gagner sa vie dans le dessin, vous n’avez pas beaucoup d’alternatives. J’ai fait l'Ecole des Gobelins qui, à l'époque, était la seule école d'animation. Je n'avais pas l'argent pour me payer des longues études à Paris, même si j’ai fait aussi de la peinture. Je garde un excellent souvenir de cette école. Le milieu est très cool en fait. Je suis donc resté dans ce secteur. Au début, j’ai été simple animateur. L’animateur, c’est celui qui fait bouger les personnages et j'ai fait ça pendant des années sur des séries, beaucoup de séries. Et puis, de fil en aiguille, j'ai fait un peu de direction, puis du storyboard. Là c’est le début de la mise en scène. Et puis, de manière un peu fortuite, je me suis retrouvé à la réalisation et après des petits projets, on m’a confié la co-réalisation de Le Grand méchant renard» avec Benjamin Renner. Il était le co-réalisateur d’Ernest et Célestine » dont j’étais le directeur de l’animation. Voilà, mon parcours est un peu à l’ancienne» mais, à 20 ans, je n’avais pas la maturité de toute façon. Vous avez des films cultes ? Des réalisateurs dont vous aimez le travail?Plein, plein. Kubrick, Truffaut, c'est un peu bateau, mais c'est tellement vrai. Aujourd'hui, Jacques Audiard, Bruno Dumont, Quentin Dupieux…. Dans l’animation, j’adore le travail d’Isao Takahata, pour moi un génie. J’ai aussi été influencé par la littérature. Par exemple, j'ai été très marqué par la découverte d'André Gide sur son moralisme. Cela vous tenterait d'ailleurs de faire des films en prises de vues réelles?C’est une bonne question. J'adore les voir, mais tout bêtement, je ne sais pas comment on fait. Moi, mon métier, c'est l’animation. Donc autant je maîtrise bien ça, autant le reste… Quand un réalisateur qui ne vient pas de l’animation fait un film d’animation, généralement vous avez un deuxième réalisateur qui vient de l’animation. Si le producteur est sympa, il met son nom au générique rires. Je sais que Jérémy Clapin J’ai perdu mon corps» va réaliser un film en prises de vue réelles et je suis très impatient de le découvrir. Ce qui me ferait flipper c’est l’impossibilité de rajouter des séquences après le tournage. L’animation vous offre cette possibilité... Il faudrait que j'ai les mêmes moyens que David Fincher. Le Sommet des Dieux» sortira le 2 février 2022 en DVD/Blu Ray. qf7z.