Sondage: les écoliers d’Aigle ont la parole. Publié le mai 10, 2021 Six-cent écoliers d’Aigle ont répondu à un questionnaire visant à connaître leur avis sur différents aspects de leurs pratiques et leur environnement. Ce sondage a été élaboré par la Commission jeunesse de la commune d’Aigle en collaboration avec la plateforme « un service du CVAJ
En 2018, 187 000 mineurs et jeunes majeurs étaient pris en charge par les services de l’Aide sociale à l’enfance. Leur placement est motivé par la nécessité de les protéger de la violence familiale ou de pallier la défaillance ou l’absence des parents. Dans le cadre d’une recherche sur l’accès à l’autonomie de ces jeunes, nous avons mené des entretiens auprès d’une centaine d’entre eux dans la période qui suit leur sortie de placement. Lors de ces échanges, environ un jeune sur trois a évoqué de façon spontanée des faits s’apparentant à de la violence lors du placement. À partir d’un document de travail publié par l’INED, nous proposons de dresser un état des lieux de cette violence en tentant d’analyser les rapports sociaux conduisant à ces situations. Les témoignages laissent apparaître deux grandes familles de violences les violences survenant dans les interactions personnelles que les jeunes ont au quotidien, et celles qui sont liées aux politiques publiques et au fonctionnement de l’institution. En famille d’accueil et en foyer Certaines violences se logent dans les interactions des jeunes enquêtés avec les acteurs institutionnels ou leurs pairs, c’est-à-dire les autres jeunes placés. Elles sont les plus faciles à repérer car elles mettent en jeu un acteur clairement identifiable un membre de la famille d’accueil, un autre jeune, un éducateur, etc. Elles s’expriment le plus fortement dans le huis clos des familles d’accueil, configurations qui rendent difficiles l’expression de la souffrance et la dénonciation de la situation. La violence est plus souvent psychologique dévalorisation, dénigrement, manque d’affection… que physique et peut s’exercer durant de longues années. Parfois, les familles d’accueil font sentir aux jeunes qu’elles ne les prennent en charge que pour des raisons financières. Ceux qui sont issus de l’immigration doivent quant à eux affronter des discriminations et des propos racistes. Les mauvais traitements peuvent aussi s’apparenter à des pratiques d’exploitation, comme en témoigne Rosie On se lève à 7 heures du matin. On commence à faire le ménage, on fait, on était comme des servantes quoi. […] Elle était là à donner des ordres “Faites cela, faites ceci, faites ça !” Le matin on déjeunait pas, à midi, on attendait le reste de ses enfants pour manger. Quand il pleuvait, elle nous mettait dehors. […] Sur le canapé, on n’a pas le droit de s’asseoir dessus, on passait toute la journée debout. » Quel que soit le type de violence subie, la principale difficulté aux yeux des jeunes réside dans l’impossibilité d’exprimer les problèmes. Émilie a eu une très mauvaise expérience dans une famille d’accueil. Selon elle, tout se passait mal dans la deuxième famille d’accueil » sans qu’elle n’ait jamais l’occasion d’exprimer les problèmes Je n’ai eu qu’une visite en l’espace de 5 ans, c’est pas normal […] C’est comme si j’avais été abandonnée […] Je n’avais pas de lieux pour parler de ce qui n’allait pas. » Le foyer, lieu d’accueil privilégié de l’adolescence, est quant à lui davantage la scène d’une agressivité au quotidien entre jeunes pris en charge. Le combat de Perrine Goulet pour les enfants placés Brut, 2019. Cette cohabitation avec la violence ordinaire peut être mal vécue mais, pour la plupart des enquêtés, tant qu’ils ne se sentent pas directement visés, que l’équipe éducative réussit à contenir les débordements et qu’ils sont parvenus à faire leur place en ayant construit des relations suffisamment fortes avec un groupe de pairs, la vie en collectivité leur laisse plutôt de bons souvenirs. Les scènes de violences sont relativisées au regard de leur parcours antérieur, déjà fortement empreint de violence, ou mises en balance avec les moments positifs. Relevons que parmi toutes ces souffrances, la parole autour des violences sexuelles commise lors d’un placement reste encore très difficile à aborder et peine à être entendue. Que les auteurs soient des professionnels, conjoints de professionnels ou jeunes pairs, les victimes se heurtent systématiquement à un défaut de reconnaissance qui conduit à un manque de soutien dans les démarches pour porter plainte. Du placement à la majorité Un autre type de violences résulte d’agents dits de seconde ligne » juges des enfants, inspecteurs de l’enfance et référents ASE et donc moins identifiables par les jeunes. Ces acteurs exercent dans le cadre contraignant des politiques publiques dont les orientations ont des conséquences directes sur l’existence des jeunes. Plusieurs moments apparaissent particulièrement propices à la naissance d’une souffrance. Tout d’abord, l’entrée en placement lorsque l’enfant n’a pas été associé aux décisions qui le concernent. Certains jeunes témoignent du choc du premier placement et des répercussions sur la suite de leur prise en charge, comme Jessica Sur le coup c’est très difficile, hein. À 6 ans quand on vient vous chercher, que c’est pas prévu, on vous emmène dans un endroit que vous connaissez pas, avec des gens que vous connaissez pas… […] Le seul souvenir que j’ai, c’est de dire à ma mère maman on m’amène en prison ». » La sortie de l’Aide sociale à l’enfance constitue également un moment particulièrement sensible. Dans un contexte de restriction budgétaire, les travailleurs sociaux sont incités à pousser les jeunes à quitter rapidement l’ASE. À 18 ans, un enfant placé se retrouve livré à lui-même » La Croix, 2018. Cette situation est à l’origine d’une grande anxiété chez les jeunes qui savent qu’ils devront quitter la structure qui les héberge à leur majorité ou à 21 ans dans le meilleur des cas et qui redoutent de se retrouver à la rue. Ils vivent alors la perspective de la sortie de l’ASE comme une expulsion programmée ». En particulier, le passage à la majorité marque une rupture dans la prise en charge puisque celle-ci cesse d’être un droit dans le cadre d’un éventuel contrat jeune majeur – ceux qui sont engagés dans une démarche d’insertion études, formation professionnelle, recherche d’emploi… peuvent demander la prolongation de l’aide en adhérant à un projet » visant à les rendre autonomes au plus vite. Nadjela, qui était en foyer de jeunes travailleurs avant sa sortie, témoigne de la violence du tournant qu’implique le passage à la majorité Quand tu deviens majeur, couteau dans le dos. C’est tout. Quand t’es mineur, c’est joli, et quand tu deviens majeur tout est moche. Mineur c’est beau et majeur c’est la catastrophe. Il y a plus d’obligation. Ils te le disent hein ! “Dix-huit ans, t’as plus d’obligation, on n’est pas obligé de te garder, on peut te mettre à la rue. T’es considéré comme majeur en France”. Ah, ils te le disent “T’es considéré comme majeur, t’es dehors. » Cette pression à la sortie peut aboutir à des mises à la porte aux conséquences désastreuses pour les jeunes qui ne disposent pas d’un entourage pour les accueillir. Manque d’espaces d’expression La violence institutionnelle forme donc un continuum allant de violences graves à d’autres moins visibles, en apparence mineures, mais qui n’en sont pas moins à l’origine de ruptures et de douleurs. Cette violence subie entre les murs de l’institution se cumule aux autres formes de violences vécues fréquemment par les jeunes placés violences familiales, violences entre jeunes dans les quartiers et violences sociales » précarité économique, discriminations, épisodes à la rue…. Parfois, les violences sont le fait des acteurs institutionnels dits de première ligne » familles d’accueil, éducateurs, parfois elles relèvent de tensions entre pairs et parfois encore elles sont la conséquence d’une organisation liée aux décisions d’acteurs de seconde ligne » décideurs politiques, juges, acteurs administratifs…. Enfants placés les sacrifiés de la République 2019 – CAPA, 30 ans d’histoires. Ces trois niveaux sont enchevêtrés et les violences entre individus sont indirectement le produit de défauts organisationnels le manque de suivi ou de contrôle des lieux de placement est par exemple en cause. Ainsi, une partie de la violence tient à des politiques publiques trop peu ambitieuses et restrictives sur le plan budgétaire. Tout en construisant une politique de prévention des violences institutionnelles plus efficace, il est essentiel de donner aux jeunes placés des possibilités d’expression. La violence la plus difficile à endurer est celle qui se heurte à des portes fermées, sans partage ni reconnaissance par un tiers, ou sans aucune réponse adéquate à celle-ci.
Euxqui sans intérêt ne savent pas faire un geste. Ils nous parlent de respect mais ils flinguent notre terre Disent se battre pour la paix et pour ça font la guerre Camarade combat le doute car ils aimeraient te corrompre Te barrer la route ou te convaincre quelle est trop longue. N'écoute que ton intuition, suis-la par tous les temps Marche avec la foi c'est la chance que tu
Sur les murs d'un quartier de Poitiers, les messages codés de Radio Londres s'affichent. La guerre des ondes Dès le 18 juillet 1940, les allemands réquisitionnent les locaux et le matériel de Radio Paris pour en faire l'outil principal de leur propagande. A Londres, la résistance s'installe. Les messages personnels diffusés sur les ondes de la Radio de Londres BBC permettent de maintenir le contact entre la résistance intérieure et les Alliés. Messages personnels Tous les auditeurs savent que ces messages codés correspondent à des instructions précises adressées à la Résistance et ils sont attendus avec impatience dans les maquis auxquels ils annoncent souvent des parachutages d'armes et de munitions. La villa est silencieuse.» L'étoile filante repassera.» Le chien du jardinier pleure.» La belle aussitôt la suit», autant de messages codés dont le plus célèbre "Les sanglots longs des violons de l' automne...", annonçait le débarquement imminent des troupes alliées en Normandie. Le quartier Montbernage, à Poitiers, a accueilli de nombreux résistants. La ville, par l'intermédiaire d'un artiste suisse, leur rend hommage. Le reportage d'Anne-Marie Baillargé et Laurence Couvrand
Vousserez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie et jusqu’aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8). C’est le mandat missionnaire que le Ressuscité laisse à ses disciples, mandat adressé à tous les disciples, de tous les temps. Ce mandat a une dimension universelle, les disciples sont envoyés « à toutes
De retour de Dijon, où je m’étais rendu pour raisons professionnelles, en traversant l’un de ces villages dans lesquels deux maisons sur trois restent volets fermés et portent au cou une pancarte A VENDRE », une inscription tracée à la bombe à peinture sur l’un de ces murs sans vie a éveillé mon attention. Elle avait le charme grinçant des expressions à double sens La campagne nous gagne! » A vrai dire la campagne, au vu de l’état des maisons et des lieux traversés semblait plutôt dans un tel d’état d’abandon, qu’on se demandait si c’était l’expression enjouée d’un sentiment partagé de retour enthousiaste à la terre ou l’expression immédiate d’une crise touchant les périphéries des grandes villes et les espaces ruraux trop éloignés de ces dernières. Ou même peut-être s’il s’agissait de jeter un regard ironique sur la campagne électorale de 2012. Les murs ont la parole, même quand il n’y a plus personne pour lire les textes qu’ils portent. J’ai immédiatement pensé à ces quelques expressions murales que j’avais vues la semaine antérieure à Barcelone, dans l’enceinte de l’Université Autonome, dont celle-ci Incongru dans une Université, peut-être mais elle était bien là, sur l’un des murs de l’agora à partir duquel se distribuent les espaces studieux de cette prestigieuse université. Jamais dans notre histoire nous n’avons eu autant de textes inscrits sur nos murs et nos façades. Jamais non plus autant d’histoires, de modes d’emplois, de messages brouillés ou brouillons… Par exemple, qui aurait cru que les descendants du maître du dessin et philosophe, Salvador Dalí, pourraient aujourd’hui se cacher derrière une mystérieuse raison sociale dans une rue du Madrid populaire? Ou que citer Joan Manuel Serrat et l’une de ses plus belles chansons était devenu la seule manifestation de revendication du droit à la paresse et du défi contre l’ennui qui nous guette? Per Què La Gent S’Avorreix Tant? Si és veritat que l’home pot morir, però mai la idea, que el sol surt per tothom i un Déu ens vetlla i que la dona i l’or ho poden tot. Si és veritat que el futur penja d’un fil prim, que la fe mou muntanyes i tenim la vida pel davant. Si és veritat que val la pena fer-ho bé i que el treball dignifica, per què la gent s’avorreix tant? Peut-être pour recharger nos batteries en optimisme et ne pas sombrer. Navigation des articles
\n\n \n avec eux les murs ont la parole
Lesmurs de la ville sont posés sur 12 pierres de fondation, et sur ces pierres, il y a les noms des 12 apôtres de l’Agneau. L’ange qui me parle tient quelque chose pour mesurer : c’est un roseau en or. Il mesure la ville, ses portes et ses murs. La ville est carrée : sa longueur est égale à sa largeur. L’ange la mesure avec le roseau : il y a 12 000 mesures en longueur, en
Longtemps, enseigner » n’a pas été synonyme de faire la classe ». Les élèves sont désormais habitués à passer leurs journées entre quatre murs, mais lesquels ? Devenu bâtiment spécifique, l’édifice scolaire a revêtu une fonction politique, sociale et pédagogique. Si la pierre semble défier le temps, la massification scolaire, le renouvellement de la pédagogie, les TICE – ainsi que la décentralisation en France – font changer l’école et donc l’espace scolaire. Ce dossier du service Veille et Analyses n° 75 de mai 2012, proposé par Marie Musset, s’intéresse aux interrogations les plus récentes – et partagées par la plupart des pays- concernant l’architecture scolaire et sa mutation en espace d’apprentissage » associant une réflexion sur l’espace à l’intégration pédagogique des ressources électroniques et à la prise en compte de la vision holistique de l’apprentissage. Il faut dans ce cadre souligner l’intérêt de rechercher un langage commun entre usagers élèves, enseignants, personnel éducatif, parents architectes et maîtres d’ouvrage. En effet l’urbanisme ni l’architecture ne sont être au centre de la réflexion ce qui est premier pour les éducateurs et les décideurs, c’est l’élève et sa réussite. Navigation des articles
Lireun livre, chuchoter sa table de multiplication à un arbre, chercher des insectes. Faire classe dehors favorise : les apprentissages : En permettant aux élèves d’apprendre dehors, on leur donne la possibilité de pratiquer réellement les situations, de manipuler, d’observer, de faire des liens entre ce qu’ils apprennent et leur
Informations générales sur LES MURS ONT LA PAROLE Raison sociale LES MURS ONT LA PAROLE Sigle Enseigne Documents légaux 3 Documents légaux + de détails Dirigeants 1 dirigeants + de détails Adresse ESPACE STRATOS LILLE AEROPORT 59273 FRETIN Retrouvez les sociétésdu même département Téléphone Afficher le téléphone Appeler Fax Forme juridique SARL Date de création Créée le 29/07/2005 Derniers statuts à jour + de détails Capital Social SIREN 483 869 160 SIRET 483 869 160 00018 Numéro de TVA FR67483869160 Activité code APE / NAF 6420Z / Activités des sociétés holding Retrouvez les sociétésdu même secteur LES MURS ONT LA PAROLE, SARL, a débuté son activité en juillet KRAUSE est gérant de la société LES MURS ONT LA PAROLE. Le siège social de cette entreprise est actuellement situé Espace Stratos - 59273 FretinLES MURS ONT LA PAROLE évolue sur le secteur d'activité Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite Décisions de justice 04/12/2008 Cloture + de détails 16/09/2008 Dépot créances + de détails 24/10/2007 Dépot créances + de détails Dirigeant - LES MURS ONT LA PAROLE Gérant M KRAUSE Philippe Acheter la fiche complète
Entreles murs ressaisit tous ces éléments en un seul projet doté d’une extrême cohérence. À quelques mois de distance de la sélection et de la consécration cannoises, les vacances et un retour en salle de projection ne modifient guère l’impression produite par la première vision (Cahiers n°635) lien. Ils la renforcent.
Bienvenue sur la fiche d'information de l'entreprise basée à montesquieu avantes Dans cette fiche nous vous proposons éléments suivants une liste des services & travaux proposés par l'entreprise dans les environs de montesquieu avantes les coordonnées gratuites de l'artisan / entreprise la possibilité de rentrer directement en contact par téléphone de demander un devis ou un rendez-vous et de donnez votre avis sur Les Murs ont la Parole ou de les consulter car Nos Artisans ont du Talent ! L'essentiel des travaux/produits de Les Murs ont la Parole L’entreprise Les Murs ont la Parole basée à montesquieu avantes 09200 dans le département 09 – Ariège vous accompagne pour vos projets et vos travaux. L’entreprise est spécialisée dans les domaines suivants Peinture – Tapisserie. Un projet de travaux ? Retrouvez des avis sur l’entreprise Les Murs ont la Parole sur dans les catégories Peinture – Tapisserie. N’hésitez pas à contacter ce peintre ou bien à déposer un avis sur Les Murs ont la Parole. Ajoutez des informations relatives à votre entreprise, à vos prestations et ajoutez vos photos pour mettre en avant votre savoir-faire et vous démarquer ! Ajouter du contenu Mettez dès maintenant à jour les informations relatives à votre entreprise, ses coordonnées son adresse ou modifiez le numéro de téléphone. En seulement quelques clics. Mettre à jour Un devis ? Prenez directement contact avec cet Artisan à montesquieu avantes Si cet Artisan à montesquieu avantes correspond à vos critères, vous pouvez le contacter directement en utilisant le formulaire ci-dessous, ou par téléphone numéro direct & gratuit en précisant que vous le contactez par Nos Artisans ont du Talent. Vous êtes professionnel du BTP ? Rejoignez le réseau Nos Artisans ont du Talent et proposer vos services avec présentation détaillée Donnez votre avis maintenant ! Laissez votre avis Consultez les Artisans certifiés recommandés dans votre département Travaux de rénovation comment choisir votre artisan à montesquieu avantes ? Qui n’a jamais eu des travaux à réaliser dans le but de rénover un bien ou les locaux d’une société ? Particuliers ou professionnels, tous doivent trouver un artisan BTP sérieux et compétent pour effectuer ces rénovations dans les meilleures conditions possibles. Seulement il n’est pas toujours évident de trouver le bon professionnel. Cuisine à rénover, salle de bain à rafraîchir, couverture de toiture à remplacer… en fonction de vos besoins, les artisans diffèrent. Ainsi, pour rafraîchir une pièce, choisissez un artisan peintre spécialisé. Pour la mise en place d’une piscine, préférez l’expert en pose de piscine. Vous l’aurez compris, il est indispensable de définir vos besoins en amont afin de sélectionner le meilleur artisan à montesquieu avantes 09200. L’importance du devis travaux à montesquieu avantes et dans les environs Lorsque vous avez décidé de rénover votre habitation, il vous faudra dès lors effectuer des demandes de devis auprès d’artisans spécialisés à montesquieu avantes ou dans les environs. Les devis travaux à montesquieu avantes constituent une bonne approche pour évaluer le montant des rénovations à venir. Cette estimation de tarif contient différentes données notamment le prix des matériaux utilisés, le montant de la main-d’œuvre, le délai de réalisation des travaux… Gardez à l’esprit qu’il reste indispensable d’établir plusieurs devis d’artisans afin de les comparer et de statuer en faveur du plus avantageux. Aussi, cela vous permettra de faire jouer la concurrence et de réduire davantage les coûts de vos travaux.
LesTullistes ont la parole. Le quartier a eu ses heures de gloire pendant l'âge d'or de la Manu. Mais la chute de l'activité industrielle et la réduction du nombre de trains ont eu raison de
Les Cahiers pédagogiques sont une revue associative qui vit de ses abonnements et ventes au numéro. Pensez à vous abonner sur notre librairie en ligne, c’est grâce à cela que nous tenons bon !L’apposition de la charte de la laïcité » sur les murs des écoles publiques voulue par le ministre de l’Éducation nationale constitue un magnifique objet d’enseignement, au croisement de l’histoire et de l’éducation civique. On pourrait proposer aux élèves de comparer cet affichage à d’autres formes d’occupation graphique de l’espace public. Les tagueurs savent bien que dessiner sur un mur est un acte politique une façon pour des citoyens d’ordinaire peu visibles ou peu reconnus de manifester voire d’imposer leur présence aux yeux de tous. Les panneaux publicitaires de quatre mètres sur trois exhibés à l’entrée des villes ou dans les profondeurs du métro font-ils vendre ? En tout cas, ils signalent les évènements commerciaux, imposent leur message, contribuent à façonner l’image, au sens propre, qu’une société donne d’elle-même. On pourrait leur faire observer sous cet angle les murs de nos écoles. Il y avait, de longue date, la devise républicaine sur le fronton de l’entrée principale, parfois la mention Interdiction d’afficher » en lettres capitales sur les façades. L’intérieur de l’espace scolaire était plutôt réservé à des affichages à vocation didactique, à commencer par la carte de France, ou, plus récemment, les photographies aériennes de Yann Arthus Bertrand. Aujourd’hui, il parait important d’y apposer la Déclaration des droits de l’homme, ou, dorénavant, cette charte de la laïcité. Les établissements privés regimbent ce n’est pas qu’une question de décoration ! On pourrait remonter à l’affaire des placards, quand des protestants affichèrent une déclaration imprimée sur la porte de la chambre du roi en 1534, ce qui valut à certains le bucher. On pourrait comparer la représentation classique de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, sous la forme de Tables de la loi, avec de nombreuses références à l’Antiquité, à la charte de la laïcité dont le graphisme s’inspire plutôt de l’univers d’internet, avec des petits bandeaux colorés sur lesquels on a envie de cliquer pour en savoir plus. On pourrait aussi comparer ce choix d’un affichage avec d’autres formes d’occupation de l’espace et du temps publics par les autorités. Le précédent président de la République avait opté pour une lecture obligatoire, celle de la lettre de Guy Môquet. À deux reprises au début du siècle, c’est la minute de silence qui avait eu la faveur du chef de l’État, à l’occasion des attentats du 11 septembre 2001 à New York, puis de ceux du 11 mars 2004 à Madrid. Une décision politique de cet ordre se situe toujours dans une continuité. Si jamais Vincent Peillon a songé à une lecture publique par exemple de la Lettre aux instituteurs » de Jules Ferry, le précédent ­Sarkozy a certainement rendu l’idée caduque. A-t-on étudié l’idée d’une minute de silence à la suite des attaques chimiques dont a été victime la population de la banlieue de Damas ? Mais comment maitriser alors les rapprochements incertains avec les attentats d’il y a dix ans ? Dans tous les cas, ces actes de communication de l’autorité publique signalent un problème, en l’occurence le respect de la laïcité, qui mérite une attention particulière Ils prétendent produire un effet au moins symbolique, contribuer à y apporter une solution. Décidés d’en haut, ils mobilisent les hiérarchies intermédiaires et le petit personnel à charge pour eux de faire la glose de la geste officielle. Que le problème ne soit pas apparu comme tel dans la vie quotidienne des établissements, ou simplement pas prioritaire, ou que cette approche de la solution embarrasse plus qu’autre chose dans un contexte particulier ne compte pas. Alors en faire des objets d’étude en soi est une façon de les prendre très au sérieux. En quoi consiste le problème ? En quoi l’affiche, la lecture, la minute de silence ont-elles un effet sur le problème ? Prendre la parole sur ces décisions, sur ce qui les a suscité et ce qu’ils suscitent sont d’excellents remèdes contre l’obscurantisme. Article publié le 25 octobre 2013 Lecture 3 min. Par Par Patrice Bride/ Laparole se libère facilement. Chez les hommes, elle est toujours accompagnée d’un surveillant : « C’était plus compliqué pour tisser un lien avec eux. J’ai l’impression que cela se Quarante cinq ans après Mai 68, à l’heure d’Internet et des réseaux sociaux, de la communication, de la liberté d’expression et de l’égalité pour tous, les murs de la ville reprennent la parole. Les artistes s’en emparent et veulent exprimer leurs angoisses, leurs désirs, leur constat sur la société. Reflet de notre époque, ils sont là pour inscrire dans l’histoire, avec ironie, humour ou provocation, ce que d’autres n’osent pas dire. Ils poursuivent chacun leur route par conviction, avec ou sans paroles, ils nous font réagir et prendre conscience du monde dans lequel nous vivons. SP38, colle ses slogans en français ou en anglais, à Berlin depuis 1995 et dans le monde entier, il ne parle toujours pas allemand. Epi2mik rend visible la contamination de notre planète. Avec ses phrases incisives, Paella affiche avec humour, l’actualité et les grandes questions de société. JP Malot, entre Pop art et graffiti, en pleine crise économique, s’impose avec sa série "Shoot The Bank". Mister P. a trouvé sa Marylin en la figure iconique du Général. SP38 SP38, colleur d’affiches, peintre et performeur est originaire de Normandie. Il s’est installé à Berlin en 1995, quelques années après la chute du Mur, la ville était alors le paradis du street-art. Le français fou qui colle des affiches est connu de tous les berlinois. Ses slogans ironiques et provocateurs sont le reflet de l’évolution de la société, Vive la Bourgeoisie », Vive la Crise », No Revolution today », I don’t wanna be u’re friend on Facebook », Banksy is french »… EPI2MIK Thierry Olivier, alias Epi2mik, est originaire de Caen. Dans un processus de contamination de l’espace urbain, il développe depuis 5 ans une démarche singulière et remplie de symboles. Ce virus rendu visible par cette mousse constituée de petites bulles colorées, représente pour lui, le sida, le chômage, la corruption, la montée de l’extrêmisme, les dérives du capitalisme… Il revient régulièrement sur les lieux de ses interventions et au pinceau, continue, en ajoutant des bulles, l’inexorable progression de cette gangrène qui envahit le monde. PAELLA ? Depuis 1985, dans la tradition Agitprop de Mai 68, Paella a collé des milliers d’affichettes dans les rues de Paris, selon un itinéraire très précis. Ra-collages d’un peintre franco-espagnol qui, par les moyens pub marque + image + slogan + affiche séduit, se médiatise, se fait une clientèle. Paella choisit ainsi de se démarquer de la vague d’artistes pochoiristes de l’époque en usant de ces moyens avec un zest d’esprit révolutionnaire. JP MALOT A l’ère du "sampling", JP Malot, issu du mouvement graffiti parisien, mixe culture pop et urbaine. Il colle ses Shoot The Bank », Mickey Top Trader » ou encore Statue de la Liberté, toyée » sur les murs de Paris, Londres, Berlin, Madrid et bien d’autres villes. Il rapporte de ses voyages des affiches qu’il détourne et intègre dans ses nouveaux travaux. Il peint en mélangeant les techniques et fait de ses collages et pochoirs le reflet d’une culture urbaine propre à sa génération, mélanges d’icônes de magazines, de starlettes éphémères et de chanteurs pop. MISTER P. Thomas, jeune artiste de 25 ans, plus connu sous le nom de Mister P., est originaire de Tourcoing. Il colle, depuis 2008, ses têtes du Général De Gaulle customisées sur les murs de Lille, Rouen, Lyon et aussi en Belgique et au Portugal quand il part en voyage. Entre détournement et dérision, Mister P. fait traverser le temps à cette figure emblématique et historique, confrontée à la publicité et à la société de consommation. DE PARIS À BERLIN…LES MURS ONT LA PAROLE ! SP38 / EPI2MIK / PAELLA / JP MALOT / MISTER P. Vernissage le jeudi 16 mai à partir de 18h Exposition du 16 mai au 2 juin 2013 Facebook Entrée libre du mardi au samedi de 14h à 19h et le dimanche de 14h à 17h Tél 01 43 48 14 06 contact chez Site Le Cabinet d'Amateur Et sur Facebook Le Cabinet d’Amateur - 12 rue de la Forge Royale - 75011 Paris - Métro Faidherbe - Chaligny / Ledru-Rollin Soisbéni Seigneur mon Dieu pour ce message plein d'espoir.Devant ton trône de grâce je dépose mes inquiétudes, ma peur du lendemain, mon coeur tout entier et tous ces murs que ma pensée trouve trop haut pour moi car c'est Toi seul qui est capable de les faire tomber.Fais les tomber sans exception au nom de Jesus Christ notre Seigneur et Sauveur.Et que la Gloire, la
Œuvre étudiée Établissements Compte rendu et médiation Œuvre étudiée Reconstitution de la Tutela, Vieux-la-Romaine Calvados © Arnaud Poirier - Arpanum Tutela Inconnu Statue en Calcaire de Caen Vieux, Maison au Grand Péristyle, période gallo-romaine. Divinité protectrice de la ville antique d'Aregenua, la Tutela adopte les traits d'une femme du Ier siècle après Sa coiffure est composée de deux bandeaux de mèches ondées partant du sommet du front et se rejoignant derrière le crâne pour former un chignon. C'est une coiffure très prisée des Romaines de haut rang de l'époque augustéenne 27 av. à 14 ap. Sa couronne est munie de quatre tours Établissements Collège Jacques Prévert ROUTE DE LIEURY 49 14170 Saint-Pierre-sur-Dives 02 31 20 84 70
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