21Juin 2021. #1. GrĂšce, de l'Art et des Dieux ! Du pouvoir aristocratique pour AthĂšnes. Ce furent Dracon, Solon et enfin ClisthĂšne. Qui apportĂšrent chez eux, la dĂ©mocratie. L’argent entre les mains de la ploutocratie ! De grands rois Darius et XerxĂšs se dispersent. Deux guerres mĂ©diques, victoire sur les Perses.
IsaĂŻe PrĂ©parez le chemin du Seigneur. » IsaĂŻe 40,3 IsaĂŻe 43, 1-7 Mais maintenant, ainsi parle le Seigneur, lui qui t’a créé, Jacob, et t’a façonnĂ©, IsraĂ«l Ne crains pas, car je t’ai rachetĂ©, je t’ai appelĂ© par ton nom, tu es Ă  moi. Quand tu traverseras les eaux, je serai avec toi, les fleuves ne te submergeront pas. Quand tu marcheras au milieu du feu, tu ne te brĂ»leras pas, la flamme ne te consumera pas. Car je suis le Seigneur ton Dieu, le Saint d’IsraĂ«l, ton Sauveur. Pour payer ta rançon, j’ai donnĂ© l’Égypte, en Ă©change de toi, l’Éthiopie et Seba. Parce que tu as du prix Ă  mes yeux, que tu as de la valeur et que je t’aime, je donne des humains en Ă©change de toi, des peuples en Ă©change de ta vie. Ne crains pas, car je suis avec toi. Je ferai revenir ta descendance de l’orient ; de l’occident je te rassemblerai. Je dirai au nord Donne ! » et au midi Ne retiens pas ! Fais revenir mes fils du pays lointain, mes filles des extrĂ©mitĂ©s de la terre, tous ceux qui se rĂ©clament de mon nom, ceux que j’ai créés, façonnĂ©s pour ma gloire, ceux que j’ai faits ! » Une Église, une multitude de peuples Cette nuit est une nuit de lumiĂšre, sans tĂ©nĂšbres, dans les rues de JĂ©rusalem c’est la nuit de PĂąques. Les cloches rĂ©sonnent dans les rues de la vieille ville, les chants s’élĂšvent au coeur des Ă©glises, le peuple de Dieu, rĂ©pandu Ă  travers le monde, cĂ©lĂšbre la RĂ©surrection. Les Éthiopiens processionnent sur le toit du Saint-SĂ©pulcre, les Grecs ont allumĂ© le feu sacrĂ© et les Latins Ă©clatent en AllĂ©luia ». Dans cette nuit de PĂąques, dans la joie simple et profonde des chrĂ©tiens, se dĂ©voile un appel destinĂ© Ă  tout homme. En ces temps oĂč les peuples se divisent, oĂč la peur de l’autre, de l’immigrĂ©, s’installe subrepticement, l’Église tĂ©moigne d’une humanitĂ© appelĂ©e Ă  l’unitĂ©. Le Christ appelle les peuples des lointains Ă  rejoindre la CitĂ© sainte, Ă  reconnaĂźtre la gloire du Fils de Dieu. Toute l’humanitĂ© est appelĂ©e. Nous ne devons jamais oublier cet appel destinĂ© aux hommes de toute tribu, langue, peuple et nation »*. Cet autre qui me fait peur, je dois l’accueillir, car je dois ĂȘtre pour lui le visage, les mains et le regard du Christ. Comment annoncer le Christ en refusant la prĂ©sence de celui que, justement, le Christ appelle ? Comment lui faire dĂ©couvrir le salut que le Christ apporte si je le rejette au loin sous prĂ©texte qu’il ne partage pas ma foi ? Je sais bien que nous avons tous peur, que la tĂąche est grande, mais nous ne serons rĂ©ellement des frĂšres du Christ que si nous sommes prĂȘts Ă  recevoir tout homme, car la charitĂ© efface toute peur. Livre de l’Apocalypse, chapitre 5, verset 9 MĂ©ditation enregistrĂ©e dans un studio du Christian Media Center RĂ©agir
Citationset proverbes sur "Un Dur Travail" "Vous tournez et vous travaillez dur et vous prenez soin de vos fans et de trÚs vraies choses mÚnent à d'autres véritables choses. Il n'y a jamais été une fantastique fluke ou une pause dans ma carriÚre, elle a tout été trÚs lente et réguliÚre ." --- Amanda Palmer. #Réel #Un dur travail #Prends soin de toi "Je pense que l'une de mes plus
Va et que le Seigneur soit avec toi. » 1 Samuel 17,37 David contre Goliath 1 Samuel 17, 32-37 ; 48-49 David dit au roi SaĂŒl Que personne ne perde courage Ă  cause de ce Philistin Goliath. Moi, ton serviteur, j’irai me battre avec lui. » SaĂŒl rĂ©pondit Ă  David Tu ne peux pas marcher contre ce Philistin pour lutter avec lui, car tu n’es qu’un enfant, et lui, c’est un homme de guerre depuis sa jeunesse. » David dit Ă  SaĂŒl Quand ton serviteur Ă©tait berger du troupeau de son pĂšre, si un lion ou bien un ours venait emporter une brebis du troupeau, je partais Ă  sa poursuite, je le frappais et la dĂ©livrais de sa gueule. S’il m’attaquait, je le saisissais par la criniĂšre et je le frappais Ă  mort. Ton serviteur a frappĂ© et le lion et l’ours. Eh bien ! ce Philistin incirconcis sera comme l’un d’eux puisqu’il a dĂ©fiĂ© les armĂ©es du Dieu vivant ! » David insista Le Seigneur, qui m’a dĂ©livrĂ© des griffes du lion et de l’ours, me dĂ©livrera des mains de ce Philistin. » Alors SaĂŒl lui dit Va, et que le Seigneur soit avec toi ! » Goliath s’était dressĂ©, s’était mis en marche et s’approchait Ă  la rencontre de David. Celui-ci s’élança et courut vers les lignes des ennemis Ă  la rencontre du Philistin. Il plongea la main dans son sac, et en retira un caillou qu’il lança avec sa fronde. Il atteignit le Philistin au front, le caillou s’y enfonça, et Goliath tomba face contre terre. Osons dĂ©fier les gĂ©ants qui nous menacent Michel-Ange a fait de David une statue immense ! DĂ©fiance de la force brute ! Disproportion entre la force de Goliath et la faiblesse de David ! Mais, en prĂ©sence de Dieu, comme l’artiste le manifeste, le rapport s’inverse. JĂ©sus est le fils de David, car il fait triompher la vie de la mort, en dĂ©pit de sa propre fragilitĂ©. La fatalitĂ© est vaincue et ils sont nombreux Ă  l’avoir expĂ©rimentĂ© Mandela a fait tomber l’apartheid et triompher le droit ; Jeanne d’Arc, humble jeune fille de Lorraine, fait couronner un roi ; Gandhi renverse l’Empire colonial britannique, avec la force de la non-violence, du jeĂ»ne et de la priĂšre ; Martin Luther King impose les droits civiques, alors qu’il est noir, dans une sociĂ©tĂ© fondĂ©e et clivĂ©e par le racisme
 Et tous ces anonymes qui, dans l’épaisseur du quotidien, font avancer jour aprĂšs jour, l’humanitĂ© jeunes mĂšres qui Ă©lĂšvent patiemment les enfants, aĂźnĂ©s confrontĂ©s au grand Ăąge, tĂ©moins fragiles mais victorieux de la vie qui passe, soignants qui, bien au-delĂ  de leurs intĂ©rĂȘts, donnent vie, Ă©nergie et temps ; entrepreneurs visant de nouvelles activitĂ©s ; politiques qui voient l’humanitĂ© de demain ; artistes qui transfigurent le rĂ©el pour en manifester toute la saveur ; bĂ©nĂ©voles qui proposent gratuitement leurs compĂ©tences
 Alors, nous aussi, dans nos combats les plus quotidiens, voyons grand et large, osons y croire, mettons toutes nos forces, mĂȘme faibles, dans la balance ! Face aux Goliaths politiques, Ă  l’inertie des administrations impersonnelles, des conjonctures dĂ©favorables, des marchĂ©s qui dĂ©priment, face aux monstres inhumains, dĂ©fions Ă  notre tour la force brute pour offrir un autre visage, celui de l’innocence, de la transparence, de l’espĂ©rance, de la confiance. Et avec tous nos petits et grands moyens mis en commun, nous ferons de grandes choses. Les soldats batailleront et Dieu remportera la victoire » ! MĂ©ditation enregistrĂ©e dans les studios de Radio RCF Bruxelles. RĂ©agir Dieudonne ses plus durs combats à ses plus forts soldats.
Contenu La fĂȘte du Travail est une fĂȘte nationale, cĂ©lĂ©brĂ©e le premier lundi de septembre. Pour beaucoup de gens, cette journĂ©e est associĂ©e Ă  la fin des vacances d'Ă©tĂ©. Pour les amateurs de sport - avec le dĂ©but de la nouvelle saison sportive dans le football, y compris le football universitaire. Pour la plupart des AmĂ©ricains, la fĂȘte du Travail est synonyme de loisirs de plein air, de camping et de barbecue. L'une des raisons pour lesquelles le premier lundi de septembre a Ă©tĂ© choisi pour les vacances Ă©tait le dĂ©sir de crĂ©er un jour fĂ©riĂ© dans la longue pĂ©riode entre le jour de l'indĂ©pendance et le jour de Thanksgiving. AprĂšs tout, l'absence de vacances est le signe d'une vie ennuyeuse! La fĂȘte du Travail est une excellente raison de fĂ©liciter vos collĂšgues et vos subordonnĂ©s. Nous avons rassemblĂ© les meilleures citations de la fĂȘte du travail - regardez-les! Ces salutations et citations vous inspireront et vous encourageront Ă  travailler dur!citas para amigos deprimidos para animar Citations inspirantes de la fĂȘte du travail Lorsque vous ĂȘtes fatiguĂ© de la routine et de vos tĂąches, essayez de trouver quelque chose qui vous inspirera. Lorsque vous vous sentirez prĂȘt pour de nouveaux dĂ©fis, l'Ă©nergie et l'enthousiasme reviendront. Comment trouver l'inspiration? Lisez les meilleures citations inspirantes de la fĂȘte du Travail! Travailler sur l'inspiration est toujours fascinant, passionnant et productif. Un tel travail peut difficilement ĂȘtre qualifiĂ© de travail car l'inspiration facilite et accĂ©lĂšre tout travail. Enregistrez vos citations qui vous ont le plus plu et laissez-vous inspirer lorsque vous ne trouvez pas la force d'un emploi! Le travail n'est pas une honte; la honte est l'oisivetĂ©. Genius, c'est 1% d'inspiration et 99% de transpiration. Une machine peut faire le travail de cinquante hommes ordinaires. Aucune machine ne peut faire le travail d'un homme extraordinaire. Toute richesse est le produit du travail. Celui qui travaille avec diligence n'a jamais besoin de dĂ©sespoir; car tout s'accomplit avec diligence et travail. Le gĂ©nie commence de grandes Ɠuvres; le travail seul les termine. - Joseph Joubert Celui qui travaille de ses mains est un ouvrier. Celui qui travaille avec ses mains et sa tĂȘte est un artisan. Celui qui travaille avec ses mains, sa tĂȘte et son cƓur est un artiste. Votre satisfaction au travail rĂ©side en vous. Si vous aimez votre travail et aimez ce que vous faites, vous y trouverez votre paix. Ne vous dites pas d'aimer ce que vous dĂ©testez; cela ne vous laissera que malheureux. Les chances que vous rĂ©ussissiez sont Ă©levĂ©es si tous vos hommes respectent vos rĂšgles. Commencez par leur apprendre les bases, et tout suivra. Les travailleurs disciplinĂ©s sont les plus grands. J'ai appris par expĂ©rience que si vous y travaillez plus dur et que vous y consacrez plus d'Ă©nergie et de temps, et plus de cohĂ©rence, vous obtenez un meilleur rĂ©sultat. Cela vient du travail. Meilleure lettre de remerciement au patron ÂżPor quĂ© no puedo conseguir una novia? Citations de bonne fĂȘte du travail Aujourd'hui, la fĂȘte du Travail aux États-Unis est une fin symbolique de la saison estivale, un week-end supplĂ©mentaire, lorsque la plupart des entreprises et presque toutes les agences gouvernementales ne travaillent pas. La plupart des travailleurs passent cette journĂ©e Ă  la campagne, cĂ©lĂ©brant des vacances en famille ou entre collĂšgues. Nous vous proposons de cĂ©lĂ©brer la fĂȘte avec de joyeuses citations de la fĂȘte du Travail - portez des toasts et profitez de cette journĂ©e! Rien ne vaut jamais la peine d'avoir sauf Ă  la suite d'un travail acharnĂ©. Le miracle n'est pas que nous faisons ce travail, mais que nous soyons heureux de le faire. Le travail acharnĂ© est gratifiant au-delĂ  de l'or. La transpiration est vivante. Au nouveau hĂ©ros du monde, merci. Nous n'oublierons jamais ce que vous avez apportĂ© au pays et au milieu de travail avec lequel vous avez spĂ©cifiquement travaillĂ©. Notre reconnaissance vous appartient parce que vous le mĂ©ritez tous. Joyeuse fĂȘte du Travail! Nous n'atteindrons jamais ce sommet de notre succĂšs si ce n'est Ă  cause de tous vos efforts. Votre effectif est important pour nous et je pense que c'est une bonne idĂ©e de le cĂ©lĂ©brer. Nous vous apprĂ©cions vraiment tous. Joyeuse fĂȘte du Travail. Les travailleurs passionnĂ©s ne se soucient pas de travailler au-delĂ  des heures de bureau. Ce qui est important pour eux, c'est de tout finir et un travail bien fait. Cette journĂ©e est pour tous ceux qui travaillent dur pour le bĂ©nĂ©fice de chacun. Joyeuse fĂȘte du Travail! Ceux qui sont prĂȘts Ă  travailler sont gĂ©nĂ©ralement ceux qui ont rĂ©ussi. N'oubliez pas que personne n'atteint le sommet sans rien faire. Bonne fĂȘte du travail Ă  tous ceux qui le mĂ©ritent. Les hommes qui vivent sans travail vivent seuls, sans dignitĂ© et sans vĂ©ritable indĂ©pendance. Joyeuse fĂȘte du Travail! Beaucoup de ce qui passe pour la dĂ©pression de nos jours n'est rien de plus qu'un corps disant qu'il a besoin de travail. Joyeuse fĂȘte du Travail! La fĂȘte du Travail n'est consacrĂ©e Ă  aucun homme, vivant ou mort, Ă  aucune secte, race ou nation. CĂ©lĂ©brons-le ensemble! Note de remerciement Exemples Ă  l'enseignant du parent Citations drĂŽles de la fĂȘte du travail Quoi de mieux pour crĂ©er une atmosphĂšre cordiale et amicale entre collĂšgues que des citations amusantes de la fĂȘte du Travail? Partagez ces paroles avec vos collĂšgues et faites-leur sourire et amĂ©liorez leur humeur ce jour-lĂ . Croyez-nous, ils apprĂ©cieront votre humour et votre dĂ©sir de leur remonter le moral!feliz cumpleaños gif hombres Feu Estee Lauder dit que vous ne pouvez jamais porter de chaussures blanches aprĂšs la fĂȘte du Travail. Mais bien sĂ»r, dans le monde d’aujourd’hui, cela n’existe pas. Un homme n'est pas payĂ© pour avoir la tĂȘte et les mains, mais pour les utiliser. Rien ne marchera Ă  moins que vous ne fassiez. Un travail acharnĂ© ne garantit pas le succĂšs, mais il amĂ©liore ses chances. La fĂȘte du Travail, c'est griller dehors! Mon grand-pĂšre m'a dit un jour qu'il y avait deux sortes de personnes celles qui font le travail et celles qui s'en attribuent le mĂ©rite. Il m'a dit d'ĂȘtre dans le premier groupe; il y avait beaucoup moins de concurrence. Les amateurs s'assoient et attendent l'inspiration. Le reste d'entre nous se lĂšve et va travailler. Le concept de dignitĂ© du travail a fait sortir les gens de la rue. La fĂȘte du Travail est considĂ©rĂ©e comme un jour de repos pour de nombreux AmĂ©ricains qui travaillent dur. La fĂȘte du travail est une fĂȘte glorieuse car votre enfant retournera Ă  l'Ă©cole le lendemain. Cela aurait Ă©tĂ© appelĂ© Independence Day, mais ce nom Ă©tait dĂ©jĂ  pris. Énonciations motivantes de la fĂȘte du travail pour les employĂ©s Tout le monde a besoin de dynamisme, de dynamisme et de motivation pour travailler. Vous et vos employĂ©s vous sentez Ă©puisĂ©s et n'avez pas la force de travailler? Jetez un Ɠil Ă  des dictons motivants de la fĂȘte du Travail qui sont parfaits pour l'apprĂ©ciation et l'encouragement des employĂ©s. Soyez chargĂ© de bonne humeur et d'Ă©nergie avec des citations cool de la fĂȘte du travail. Chaque annĂ©e, la fĂȘte du Travail nous donne l'occasion de reconnaĂźtre les contributions inestimables que les travailleurs et travailleuses apportent Ă  notre nation, Ă  notre Ă©conomie et Ă  notre prospĂ©ritĂ© collective. Cela nous donne l’occasion de montrer notre gratitude pour le courage, le dĂ©vouement, l’ingĂ©niositĂ© et la force des travailleurs, qui dĂ©finissent le caractĂšre de notre nation. Pour les travailleurs et les syndiquĂ©s, la fĂȘte du Travail reprĂ©sente quelque chose de spĂ©cial et de profond. C’est une journĂ©e pour honorer le profond engagement que chacun de nous a Ă  servir les enfants que nous instruisons, les familles que nous guĂ©rissons et les communautĂ©s que nous aimons. Un esprit toujours employĂ© est toujours heureux. C'est le vrai secret, la grande recette, de la fĂ©licitĂ©. Aucun homme n'a besoin de sympathie parce qu'il doit travailler, parce qu'il a un fardeau Ă  porter. De loin, le meilleur prix que la vie offre est la chance de travailler dur pour un travail qui en vaut la peine. L'homme est fait de telle sorte qu'il ne peut trouver la relaxation d'un type de travail qu'en en prenant un autre. Sans travail, il n'y a pas de repos, ni sans combat la victoire ne peut ĂȘtre remportĂ©e. Aucun chef-d'Ɠuvre humain n'a Ă©tĂ© créé sans un grand travail. La dignitĂ© du travail ne dĂ©pend pas de ce que vous faites, mais de la maniĂšre dont vous le faites. Peu importe Ă  quel point le travail sera difficile, si un homme est concentrĂ© et dĂ©terminĂ©, je suis sĂ»r qu'il ne peut pas Ă©chouer. Chaque travail acharnĂ© devrait ĂȘtre payant. Joyeuse fĂȘte du Travail! Un patron doit se rappeler que l'avenir de l'entreprise sous sa supervision dĂ©pend du travail des autres hommes. Ces hommes ont le droit d’ĂȘtre bien traitĂ©s et de bĂ©nĂ©ficier des meilleurs avantages qu’ils mĂ©ritent. Sans leur aide, ce ne sera jamais facile. Citations sur la fĂȘte du travail Nous avons rassemblĂ© ici les meilleures citations et paroles sages de personnes cĂ©lĂšbres sur la fĂȘte du travail et le travail. Lisez-les, inspirez-vous et n'oubliez pas de sauvegarder ceux que vous aimez le plus. Vous pouvez Ă©galement les publier sur Twitter ou Facebook pour rappeler Ă  tous que c'est aujourd'hui la fĂȘte du Travail! Cent fois par jour, je me rappelle que ma vie intĂ©rieure et extĂ©rieure dĂ©pend des travaux des autres hommes, vivants et morts, et que je dois m'efforcer de donner dans la mĂȘme mesure que j'ai reçu et que je reçois encore. ' - Albert Einstein Ce n'est que par un travail et un effort douloureux, par une Ă©nergie sinistre et un courage rĂ©solu, que nous passons Ă  de meilleures choses. - ThĂ©odore Roosevelt Tout travail qui Ă©lĂšve l'humanitĂ© a de la dignitĂ©. Martin Luther King jr. C'est en effet le travail qui fait la diffĂ©rence sur tout. - John Locke Hachez votre propre bois et il vous rĂ©chauffera deux fois. - Henry Ford Dieu nous vend toutes choses au prix du travail. - LĂ©onard de Vinci Si un homme vous dit qu'il aime l'AmĂ©rique, mais qu'il dĂ©teste le travail, c'est un menteur. Si quelqu'un vous dit qu'il fait confiance Ă  l'AmĂ©rique, mais qu'il craint le travail, c'est un imbĂ©cile. - Abraham Lincoln Aucun travail n'est insignifiant. Tout travail qui Ă©lĂšve l'humanitĂ© a de la dignitĂ© et de l'importance et doit ĂȘtre entrepris avec une excellence minutieuse. - Martin Luther King jr. Le plaisir dans le travail met la perfection dans le travail. - Aristote Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez jamais Ă  travailler un seul jour de votre vie. - Confucius Citations de fin de semaine de la fĂȘte du travail Bien que la fĂȘte du Travail ne soit pas aussi populaire que les autres jours fĂ©riĂ©s, de nombreux AmĂ©ricains l'adorent et l'attendent. DĂ©couvrez ces jolies citations du week-end de la fĂȘte du Travail et n'oubliez pas de cĂ©lĂ©brer vos amis et collĂšgues - envoyez-leur des messages avec des citations et assurez-vous d'allĂ©ger la journĂ©e de quelqu'un! Si toutes les voitures des États-Unis Ă©taient placĂ©es bout Ă  bout, ce serait probablement le week-end de la fĂȘte du Travail. Alors que nous cĂ©lĂ©brons la fĂȘte du Travail, nous rendons hommage aux hommes et aux femmes qui se sont battus sans relĂąche pour les droits des travailleurs, qui sont si essentiels Ă  notre force de travail forte et prospĂšre. Il faut travailler, sinon par inclination, du moins par dĂ©sespoir. Tout bien considĂ©rĂ©, le travail est moins ennuyeux que de s'amuser. Les problĂšmes et les situations difficiles ne doivent pas empĂȘcher un homme de rĂ©aliser ses rĂȘves. Tout le monde risque de perdre une bataille, mais ceux qui se battent jusqu'au bout trouvent la paix et la satisfaction. N'oubliez pas que le succĂšs vient avec le travail acharnĂ© et la passion. Joyeuse fĂȘte du Travail! Sans l'aide de tout le personnel et des ouvriers, rien ne serait fait facilement. Ce sont des facteurs importants pour rĂ©aliser la vision et la mission de l'entreprise. Une journĂ©e d'apprĂ©ciation devrait vraiment leur ĂȘtre donnĂ©e car ils le mĂ©ritent tous. Bravo aux nouveaux hĂ©ros de la ville. Bonne fĂȘte du travail Ă  tous! La fĂȘte du Travail est une occasion spĂ©ciale pour honorer tous les travailleurs. Sachez que vos efforts font une Ă©norme diffĂ©rence dans le succĂšs de votre Ă©quipe. Le travail est gratifiant Ă  bien des Ă©gards. J'espĂšre que le vĂŽtre vous apporte la satisfaction que vous recherchez. Savourez le week-end de la fĂȘte du Travail en rĂ©compense d'un travail bien fait. Peu importe combien nous tombons dessus, nous continuons Ă  avancer. C’est la seule façon de garder les routes dĂ©gagĂ©es. Joyeuse fĂȘte du Travail! Ce n'est que par un travail et un effort douloureux, par une Ă©nergie sombre et un courage rĂ©solu, que nous passons Ă  de meilleures choses. Bonne fĂȘte du travail Ă  tous! Sans travail, les hommes sont totalement perdus. Joyeuse fĂȘte du Travail! 1actions
Dieuvaincu deviendra Satan, Satan vainqueur deviendra Dieu. - Une citation d'Anatole France

Contre le mensonge envahissant dont l’ennemi est le pĂšre, lui qui est meurtrier depuis le commencement Jean 8 44 LSG, les chrĂ©tiens conduits par le Saint-Esprit, sont appelĂ©s Ă  bĂątir leur vie sur la vĂ©ritĂ© immuable de la Parole de Dieu. Cette Parole ne cesse de nous sanctifier Jean 17 17 LSG, et ne dĂ©pend ni de nos cinq sens, ni de nos sentiments, ni encore moins de la rĂ©alitĂ© qui nous entoure, car elle vient de l’Eternel, le CrĂ©ateur de toutes choses. Cependant, dans Sa sagesse inouĂŻe, le Seigneur, au travers de l’apĂŽtre Paul, nous demande de revĂȘtir cette vĂ©ritĂ© dans un endroit prĂ©cis A nos reins, autour de notre ceinture. En effet, dans EphĂ©siens 6 14 b LSG la Bible dĂ©clare ayez Ă  vos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture. » Le mot Ceinture » vient du grec » Perizonnumi , qui signifie se ceindre, ou encore mettre autour du corps, envelopper, entourer, serrer, attacher. Cela signifie aussi se prĂ©parer au combat. MĂ©taphoriquement, cela consiste Ă  s’entourer, s’envelopper, serrer et attacher sur soi, la connaissance de la vĂ©ritĂ© que constitue la Parole de Dieu, pour nous permettre, et le Seigneur insiste lĂ -dessus, de faire face Ă  tout type de combat dans notre marche avec Lui. En effet, ce mot revient deux fois dans la mĂȘme phrase pour exprimer l’emphase du Seigneur Tenez donc ferme ayez perizonnumi Ă  vos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture perizonnumi; revĂȘtez la cuirasse de la justice ». Et nous savons aussi que la Parole de Dieu est la vĂ©ritĂ© Psaume 119 160 LSG Jean 17 17 LSG. La vĂ©ritĂ© elle, vient du grec aletheia » qui signifie La vĂ©ritĂ© appuyĂ©e sur Dieu et l’exĂ©cution de Ses desseins Ă  travers Christ, dictant les devoirs de l’homme, rejetant les superstitions des paĂŻens, les inventions des Juifs, et les opinions corrompues des faux enseignants. Mais concrĂštement, qu’est-ce que cela reprĂ©sente que d’avoir Ă  nos reins la vĂ©ritĂ© pour ceinture ? 1. Comme une ceinture chez le soldat, la vĂ©ritĂ© doit rĂ©gir notre marche avec Christ. La bonne marche du soldat dĂ©pend de la maniĂšre dont il a ceint sa ceinture, autour de sa taille. Sinon, il perdrait beaucoup de temps Ă  ranger constamment ses armes, ses vĂȘtements, etc. Nous les chrĂ©tiens, devrions aussi nous assurer que la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu soit bien ancrĂ©e en nous, pas juste de maniĂšre intellectuelle, mais vĂ©ritablement insĂ©rĂ©e au plus profond de nous, au point de nous emmener Ă  Lui donner la premiĂšre place avant les faits scientifiques, avant la connaissance des hommes, avant la sagesse des hommes, et bien Ă©videmment avant la sagesse charnelle et diabolique. La vĂ©ritĂ© de Dieu doit donc primer, au-delĂ  des choses que nous pouvons voir avec nos cinq 5 sens. Au point que si nous voyons ou percevons quelque chose avec nos cinq 5 sens, mais qui ne soit conforme avec ce que Dieu dit, ou encore si une personne nous fait part de quelque chose contraire avec ce que dit la Parole de Dieu, on doit la considĂ©rer comme un mensonge. En effet dans Romains 3 4a LSG la Bible dĂ©clare Que Dieu, au contraire, soit reconnu pour vrai, et tout homme pour menteur ». Nous devons donc nous remplir de cette vĂ©ritĂ©, afin qu’elle dĂ©borde toujours de notre bouche, surtout pendant nos rapports avec les les autres. Dans ÉphĂ©siens 4 25 LSG la Bible dĂ©clare C’est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vĂ©ritĂ© Ă  son prochain; car nous sommes membres les uns des autres ». Chacun de nous doit atteindre et marcher dans la dimension oĂč l’on ne fait dĂ©sormais rien sans la Parole de Dieu. Ainsi, on lit dans 2 Thessaloniciens 2 13 LSG C’est pourquoi nous rendons continuellement grĂąces Ă  Dieu de ce qu’en recevant la Parole de Dieu, que nous vous avons fait entendre, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est vĂ©ritablement, comme la Parole de Dieu, qui agit en vous qui croyez ». C’est ainsi que nous pourrions expĂ©rimenter la rĂ©ussite et le succĂšs en toutes choses. Dans JosuĂ© 1 8 LSG le Seigneur Que ce livre de la loi ne s’éloigne point de ta bouche; mĂ©dite-le jour et nuit, pour agir fidĂšlement selon tout ce qui y est Ă©crit; car c’est alors que tu auras du succĂšs dans tes entreprises, c’est alors que tu rĂ©ussiras. » 2. Comme une ceinture, la vĂ©ritĂ© doit devenir la piĂšce centrale de toute chose. Dans l’armĂ©e romaine qui est la source de rĂ©fĂ©rence que l’apĂŽtre Paul utilise en parlant des armes de Dieu, les militaires portaient la ceinture autour de la taille, et ils y accrochaient leur Ă©pĂ©e, leur couteau, leur gourde, leur portion de nourriture, leurs effets personnels, etc. C’est la ceinture qui Ă©tait la piĂšce centrale de l’armure, puisqu’elle entourait tout le corps, et offrait beaucoup de places pour accrocher beaucoup de choses. Paul nous exhorte donc Ă  faire aussi de la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu, la piĂšce centrale de notre marche avec Christ. Toutes les armures que le soldat transporte, tirent leur source de cette ceinture et c’est aussi le cas pour toutes les armes de Dieu. Avoir cette conscience bien ancrĂ©e en nous, nous permettra d’y recourir Ă  tout moment, comme le font les soldats. Dans Psaume 119 101-105 LSG la Bible dĂ©clare Je retiens mon pied loin de tout mauvais chemin, afin de garder Ta Parole. Je ne m’écarte pas de Tes lois, car, c’est Toi qui m’enseignes. Que Tes paroles sont douces Ă  mon palais, plus que le miel Ă  ma bouche ! Par Tes ordonnances je deviens intelligent, aussi je hais toute voie de mensonge. Ta Parole est une lampe Ă  mes pieds, et une lumiĂšre sur mon sentier. » 3. Comme une ceinture, la Parole de Dieu est ce qui nous donne la force au combat. La ceinture est la piĂšce centrale qui maintient toutes les armes en place, mais elle est aussi ce qui nous donne la force et la vigueur pour le combat. Et quand nous sommes forts dans la Parole de Dieu, tout comme le jeune David, il n’y a aucun gĂ©ant qui pourrait nous effrayer. Celui qui porte cette ceinture de vĂ©ritĂ© a donc les reins ceints », et il sera donc toujours prĂȘt pour tous types de combat Luc 12 35 LSG, car il saura que sa force rĂ©side en l’Eternel des armĂ©es, qui a dit dans JĂ©rĂ©mie 1 19 LSG Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas; car Je suis avec toi pour te dĂ©livrer, dit l’Eternel. » C’est aussi dans la Parole de Dieu que David en son temps, puisa la force nĂ©cessaire pour vaincre Goliath. En effet, dans 1 Samuel 17 45-47 LSG David dit au Philistin Tu marches contre moi avec l’épĂ©e, la lance et le javelot; et moi, je marche contre toi au nom de l’Eternel des armĂ©es, du Dieu de l’armĂ©e d’IsraĂ«l, que tu as insultĂ©e. Aujourd’hui l’Eternel te livrera entre mes mains, je t’abattrai et je te couperai la tĂȘte; aujourd’hui, je donnerai les cadavres du camp des Philistins aux oiseaux du ciel et aux animaux de la terre. Et toute la terre saura qu’IsraĂ«l a un Dieu. Et toute cette multitude saura que ce n’est ni par l’épĂ©e ni par la lance que l’Eternel sauve. Car la victoire appartient Ă  l’Eternel. Et Il vous livre entre nos mains ». Dans Psaume 119 28 LSG la Bible nous fortifie en ces termes mon Ăąme pleure de chagrin RelĂšve-moi selon ta parole ! ». Lire aussi Actes 20 32 et Zacharie 4 6-7. 4. Comme une ceinture, nous devons protĂ©ger chaque semence de la vĂ©ritĂ©. C’est dans leurs ceintures que les militaires mettaient jadis leurs soldes, leurs provisions ainsi que leurs armes. Aujourd’hui encore, beaucoup de soldats recourent Ă  leurs ceintures pour accrocher plusieurs choses, surtout leurs armes de poing. Ils ne laisseraient donc personne leur prendre leur ceinture, car en zone de guerre, leurs vies en dĂ©pendent. Nous aussi devrions protĂ©ger et veiller sur chaque Parole de Dieu que nous recevons, comme si notre vie en dĂ©pendait, de peur que l’ennemi ne vienne nous la voler, et qu’on finisse par ne jamais porter de fruits pour la gloire de Dieu. En effet dans Marc 4 4 LSG la Bible dĂ©clare Comme il semait, une partie de la semence tomba le long du chemin les oiseaux vinrent, et la mangĂšrent ». Et le Seigneur dira dans Marc 4 13-15 LSG Il leur dit encore Vous ne comprenez pas cette parabole ? Comment donc comprendrez-vous toutes les paraboles ? Le semeur sĂšme la parole. Les uns sont le long du chemin, oĂč la parole est semĂ©e; quand ils l’ont entendue, aussitĂŽt Satan vient et enlĂšve la parole qui a Ă©tĂ© semĂ©e en eux ». Le Roi David a pu dire dans Psaume 119 11 LSG Je serre Ta parole dans mon cƓur, Afin de ne pas pĂ©cher contre Toi ». VoilĂ  qui nous permettra de ne pas chanceler Psaume 37 31 LSG. 5. Comme la ceinture, la Parole de Dieu doit constamment nous sanctifier. Le soldat se rĂ©jouit de retrouver et de porter sa ceinture, remplie de toutes ses armes et de ses multiples trĂ©sors de dĂ©fense ou d’attaque. Car sans elle, il sent diminuĂ© et faible. Sa ceinture lui redonne en fait une confiance inouĂŻe dans ses capacitĂ©s, au point de le mettre bien Ă  part, dans la liste des combattants qui remplissent toutes les conditions. Nous aussi devrions constamment porter la ceinture de la vĂ©ritĂ© autour de nous, afin qu’elle ne cesse de nous sanctifier, de nous purifier, de nous emmener Ă  vivre une vie qui glorifie Dieu, en tout temps. En effet, dans Jean 17 17 LSG la Bible dĂ©clare Sanctifie-les par Ta vĂ©ritĂ© Ta parole est la vĂ©ritĂ© ». Et Ă  force de nous sanctifier, la vĂ©ritĂ© de la Parole de Dieu que nous aurions revĂȘtue comme ceinture, ne cessera de nous transformer en la mĂȘme image que Christ, en plus de nous faire porter beaucoup de fruits. Dans Jean 18 37 LSG la Bible dĂ©clare Quiconque est de la vĂ©ritĂ© Ă©coute ma voix ». En rĂ©alitĂ©, cette vĂ©ritĂ© dont chaque enfant de Dieu doit se ceindre, c’est le Seigneur JĂ©sus-Christ mĂȘme, Lui qui est le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie Ă©ternelle Jean 14 6 ; 2 TimothĂ©e 4 3 ; 1 Pierre 2 1. C’est Lui qui rĂ©git notre marche, qui est la pierre angulaire de notre Ă©difice, qui nous donne la force, lui que nous devrions aimer plus que tout, car Il est celui qui nous sanctifie. Il doit devenir notre prioritĂ©, car en Lui, nous avons tout pleinement, car Il est le chef de toute domination et autoritĂ© Colossiens LSG. Avoir Christ autour de nos reins, nous octroie l’assurance et la capacitĂ© de combattre dans la victoire et non plus, pour la victoire. Aussi, l’ApĂŽtre Jean a dit dans 3 Jean 1 4 LSG Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants marchent dans la vĂ©ritĂ© ». Comme l’ApĂŽtre Jean, je dis Ă  chacun de mes frĂšres et sƓurs dans le Seigneur À cause de la vĂ©ritĂ© qui demeure en nous, et qui sera avec nous pour l’éternitĂ© que la grĂące, la misĂ©ricorde et la paix soient avec vous de la part de Dieu le PĂšre et de la part de JĂ©sus-Christ, le Fils du PĂšre, dans la vĂ©ritĂ© et la charitĂ© ! ».

CitationSur Dieu Informations complĂ©mentaires Informations complĂ©mentaires Dieu donne ses plus durs combats, a ses plus fort soldats ! Voir cette Épingle et d'autres images dans Love par Nadege Dorival. D'autres Épingles similaires Phrases Positives Citations Positives Citations Motivantes PensĂ©es Positives Jolies Citations Citations DrĂŽles

1 Philippiens 46-7 Ne vous inquiĂ©tez de rien; mais en toute chose faites connaĂźtre vos besoins Ă  Dieu par des priĂšres et des supplications, avec des actions de grĂąces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensĂ©es en JĂ©sus Christ. 2 1 Pierre 57 DĂ©chargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-mĂȘme prend soin de vous. 3 Matthieu 625-34 C’est pourquoi je vous dis Ne vous inquiĂ©tez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vĂȘtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vĂȘtement ? Regardez les oiseaux du ciel ils ne sĂšment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans des greniers; et votre PĂšre cĂ©leste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous, par ses inquiĂ©tudes, peut ajouter une coudĂ©e Ă  la durĂ©e de sa vie ? 4 Psaumes 344 J’ai cherchĂ© l’Éternel, et il m’a rĂ©pondu; Il m’a dĂ©livrĂ© de toutes mes frayeurs. 5 Jean 1427 Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cƓur ne se trouble point, et ne s’alarme point. 6 Psaumes 10713-16 Dans leur dĂ©tresse, ils criĂšrent Ă  l’Éternel et il les dĂ©livra de leurs angoisses; Il les fit sortir des tĂ©nĂšbres et de l’ombre de la mort et il rompit leurs liens. Qu’ils louent l’Éternel pour sa bontĂ©, Et pour ses merveilles en faveur des fils de l’homme. 7 2 Thessaloniciens 316 Que le Seigneur de la paix vous donne lui-mĂȘme le paix en tout temps, de toute maniĂšre ! Que le Seigneur soit avec vous tous ! 8 EsaĂŻe 4110 Ne crains rien, car je suis avec toi; Ne promĂšne pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu; Je te fortifie, je viens Ă  ton secours, Je te soutiens de ma droite triomphante. 9 Psaumes 9419 Quand j’ai la tĂȘte pleine de soucis, tu m’encourages, et mon cƓur est tout joyeux. 10 2 Corinthiens 416 C’est pourquoi nous ne perdons pas courage. Et lors mĂȘme que notre homme extĂ©rieur se dĂ©truit, notre homme intĂ©rieur se renouvelle de jour en jour.

CitationsChrĂ©tiennes àȌ 3 fĂ©vrier 2015 · "Dieu donne ses plus durs combats Ă  ses plus forts soldats." Vrai, Si tu es Ă©prouver aujourd'hui, si tu pleures chaque soir, saches que ce n'est que pour un temps.. Si tu pries ,et que tu te
Traduction L’unitĂ© de l’Esprit dans la variĂ©tĂ© des dons1 Je vous exhorte donc, moi, le prisonnier dans le Seigneur, Ă  marcher d’une maniĂšre digne de la vocation Ă  laquelle vous avez Ă©tĂ© appelĂ©s,2 avec toute humilitĂ© et douceur, avec patience, vous supportant les uns les autres dans la charitĂ©,3 vous appliquant Ă  conserver l’unitĂ© de l’Esprit, par le lien de la paix 4 un seul corps et un seul Esprit comme aussi vous avez Ă©tĂ© appelĂ©s dans une seule espĂ©rance de votre vocation ;5 un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptĂȘme,6 un seul Dieu et PĂšre de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en Mais, Ă  chacun de nous la grĂące a Ă©tĂ© donnĂ©e, selon la mesure du don de C’est pourquoi il est dit Étant montĂ© en haut, il a emmenĂ© captive la captivitĂ©, et il a donnĂ© des dons aux Or, que veut dire cela Il est montĂ©, si ce n’est qu’il Ă©tait aussi descendu dans les rĂ©gions infĂ©rieures de la terre ?10 Celui qui est descendu, c’est aussi celui qui est montĂ© au-dessus de tous les cieux, afin qu’il remplit toutes Et lui-mĂȘme a donnĂ© les uns comme apĂŽtres, d’autres comme prophĂštes, d’autres comme Ă©vangĂ©listes, d’autres comme pasteurs et docteurs,12 pour le perfectionnement des saints pour l’Ɠuvre du service, pour l’édification du corps de Christ ;13 jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus Ă  l’unitĂ© de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, Ă  l’état d’homme fait, Ă  la mesure de la stature parfaite de Christ ;14 afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportĂ©s çà et lĂ  par tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les artifices de l’égarement,15 mais que, suivant la vĂ©ritĂ© dans la charitĂ©, nous croissions en toutes choses en Celui qui est le Chef, Christ,16 duquel tout le corps bien coordonnĂ© et bien uni par la liaison de ses parties qui communiquent les unes aux autres, tire son accroissement selon la force qui est dans la mesure de chaque partie, afin qu’il soit Ă©difiĂ© dans la chrĂ©tiens doivent vivre d’une vie nouvelle et sainte17 Voici donc ce que je dis, et ce dont je vous conjure dans le Seigneur, c’est que vous ne marchiez plus comme marchent encore les paĂŻens dans la vanitĂ© de leur entendement ;18 ayant leur pensĂ©e obscurcie de tĂ©nĂšbres, Ă©tant Ă©trangers Ă  la vie de Dieu, Ă  cause de l’ignorance qui est en eux, Ă  cause de l’endurcissement de leur cƓur ;19 eux qui, ayant perdu tout sentiment, se sont livrĂ©s Ă  la dissolution, pour commettre toute sorte d’impuretĂ©s, avec une ardeur Mais vous, ce n’est pas ainsi que vous avez appris Christ,21 si du moins vous l’avez Ă©coutĂ©, et si vous avez Ă©tĂ© instruits en lui selon la vĂ©ritĂ© qui est en JĂ©sus,22 savoir que vous vous dĂ©pouilliez, quant Ă  votre conduite prĂ©cĂ©dente, du vieil homme, qui se corrompt par les convoitises de la sĂ©duction ;23 et que vous soyez renouvelĂ©s dans l’esprit de votre entendement,24 et que vous soyez revĂȘtus du nouvel homme, créé selon Dieu, dans une justice et une saintetĂ© de la C’est pourquoi, ayant rejetĂ© le mensonge, parlez selon la vĂ©ritĂ© chacun Ă  son prochain ; car nous sommes membres les uns des Si vous vous mettez en colĂšre, ne pĂ©chez point, que le soleil ne se couche point sur votre exaspĂ©ration ;27 et ne donnez point accĂšs au Que celui qui dĂ©robait ne dĂ©robe plus ; mais plutĂŽt qu’il prenne de la peine, travaillant de ses mains Ă  ce qui est bien, afin qu’il ait de quoi donner Ă  celui qui est dans le Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais toute parole bonne pour l’édification, selon le besoin, afin qu’elle communique une grĂące Ă  ceux qui l’ Et n’attristez point le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez Ă©tĂ© scellĂ©s pour le jour de la Que toute amertume, et animositĂ©, et colĂšre, et clameur, et mĂ©disance, ainsi que toute malice soit ĂŽtĂ©e du milieu de vous ;32 et soyez, les uns envers les autres, bons, pleins de compassion, vous pardonnant rĂ©ciproquement, comme aussi Dieu vous a pardonnĂ© en Christ. Plan du commentaire biblique de EphĂ©siens 4 L’unitĂ© de l’Esprit dans la variĂ©tĂ© des dons Exhortation Ă  se conduire d’une maniĂšre digne de la vocation chrĂ©tienne et Ă  conserver l’unitĂ© de l’Esprit 1-3. Le fondement de cette unitĂ© reprĂ©sentĂ©e par l’idĂ©e du corps, est l’identitĂ© de la foi qui est pour tous la mĂȘme dans ses objets et sa nature 4-6. Cette unitĂ© se manifeste Dans la diversitĂ© du don de la grĂące que le Seigneur distribue, Ă  chacun selon sa mesure, aprĂšs ĂȘtre remontĂ© dans la gloire oĂč il en a ouvert la source 7-10. Dans la diversitĂ© des charges que Christ donne Ă  certains hommes, afin que par leur action tous parviennent Ă  l’unitĂ© de la foi et de la connaissance, Ă  la parfaite stature de Christ et que l’Église ne soit plus flottante Ă  tout vent de doctrine, mais que, par la vĂ©ritĂ© et la charitĂ©, elle grandisse, comme un corps bien organisĂ©, jusqu’à sa perfection 11-16. Verset 1Versets 1 Ă  16 — L’unitĂ© de l’Esprit dans la vĂ©ritĂ© des dons C’est par ces mots que l’apĂŽtre passe Ă  la partie morale de son Ă©pĂźtre. Ce donc indique ici, comme Romains une conclusion d’une immense importance et d’une indispensable nĂ©cessitĂ© c’est que la doctrine chrĂ©tienne, acceptĂ©e par le cƓur, doit produire tous ses fruits dans la pratique de la vie. Cette consĂ©quence est naturelle, elle dĂ©coule de son principe ainsi que le fruit provient de l’arbre qui le porte ; cependant, comme la vĂ©ritĂ© ne dĂ©veloppe la saintetĂ© qu’au travers de continuels combats, d’incessantes tentations, comme l’homme est facilement inconsĂ©quent quand il s’agit de renoncer Ă  lui-mĂȘme et Ă  ses penchants, l’apĂŽtre ne dĂ©daigne pas de prĂ©ciser, jusque dans les moindres dĂ©tails, les rĂ©sultats moraux de la doctrine qu’il annonce. Il le fait dans les trois derniers chapitres de notre Ă©pĂźtre. Prisonnier dans le Seigneur, c’est-Ă -dire par dĂ©vouement pour lui et pour sa cause dans une communion d’amour et de souffrances avec lui. Ici, comme Ă  ÉphĂ©siens l’apĂŽtre emploie ce mot avec l’article le prisonnier, afin de donner Ă  entendre qu’il a droit Ă  ce titre douloureux dans un sens tout spĂ©cial, qu’il est par excellence le prisonnier dans le Seigneur ». En rappelant ainsi pour la seconde fois sa captivitĂ©, il veut sans doute inspirer Ă  ses lecteurs, par la pensĂ©e de ses durs sacrifices, le courage de subir, eux aussi, les renoncements de la vie chrĂ©tienne. Mais surtout souffrir pour son MaĂźtre donnera toujours Ă  un serviteur de JĂ©sus-Christ un nouveau degrĂ© d’autoritĂ© lorsqu’il exhortera ses frĂšres ÉphĂ©siens note. La vocation ou l’appel de Dieu par l’Évangile, n’a d’autre but que de ramener l’homme Ă  la saintetĂ©. Marcher ou se conduire d’une maniĂšre digne de cette vocation, c’est, pour le chrĂ©tien, rĂ©aliser dans sa vie cette intention de Dieu 1 Thessaloniciens ; 2 Thessaloniciens ; comparez Philippiens ; Colossiens ; 2 TimothĂ©e 2La charitĂ©, un amour intime et vrai pour le Seigneur et pour ses rachetĂ©s, peut seule produire, dans nos rapports avec ces derniers, l’humilitĂ©, la douceur, la patience, le support comparer Colossiens Supporter les dĂ©fauts du prochain par insensibilitĂ©, par une douceur de tempĂ©rament, une complaisance humaine, une honnĂȘtetĂ© du monde, une hypocrisie de pharisien, rien de si commun ; le faire par une charitĂ© vĂ©ritable et bien chrĂ©tienne, rien de plus rare. Verset 3L’unitĂ© de l’Esprit n’est point celle de l’esprit humain, comme l’entendent Calvin et d’autres, mais celle qui est créée par l’Esprit de Dieu ÉphĂ©siens agissant dans les chrĂ©tiens par une mĂȘme foi, une mĂȘme espĂ©rance, un mĂȘme amour Romains Tel est le lien de la paix ; c’est cet amour qui est appelĂ© ailleurs le lien de la perfection » Colossiens ; Colossiens La paix Ă©tablit un lien entre ceux qui la possĂšdent et constitue l’unitĂ©. Mais, bien que cette unitĂ© soit ainsi une Ɠuvre de Dieu, tout fidĂšle peut contribuer Ă  l’augmenter ou Ă  la dĂ©truire, selon qu’il agit par amour ou qu’il se livre Ă  son sens charnel, Ă  l’égoĂŻsme, Ă  l’orgueil. De lĂ  l’exhortation. Cette unitĂ© est spirituelle ; Ɠuvre de l’Esprit, elle repose sur les grands biens cĂ©lestes que tous les croyants ont en commun et que l’apĂŽtre va exposer dans les versets suivants. Elle n’est donc point une uniformitĂ© extĂ©rieure et matĂ©rielle, qui souvent cache en son sein, avec l’esclavage des consciences, les plus profondes divisions ; elle peut, au contraire, exister et elle existe en effet entre des chrĂ©tiens qui, extĂ©rieurement, se rattachent Ă  des institutions diverses ; elle n’exclut donc ni la diversitĂ©, ni la libertĂ©. Toutefois, lĂ  oĂč elle rĂšgne vĂ©ritablement au dedans, elle devra, par sa nature mĂȘme, tendre toujours Ă  se traduire au dehors. Il faut que l’Église de JĂ©sus-Christ, une dans sa nature spirituelle, s’efforce de devenir une en toutes choses ; l’Esprit doit crĂ©er son corps ÉphĂ©siens c’est le but que l’exhortation de l’apĂŽtre place devant nos yeux. Nous ne saurions attacher trop de prix Ă  cette unitĂ© dans l’amour fraternel. Comme le remarque Ad. Monod la place seule que lui donne ici notre apĂŽtre suffit pour en montrer l’importance. Qui de nous, voulant exposer les obligations morales du croyant, aurait songĂ© Ă  commencer par l’unitĂ© de l’Esprit ? C’est encore par lĂ  que saint Paul commence ses exhortations aux Philippiens ÉphĂ©siens et suivants et aux Corinthiens 1 Corinthiens et suivants Aussi, ce qui est encore plus dĂ©cisif, c’est par ce mĂȘme endroit que le Saint-Esprit a commencĂ©, quand il a voulu donner au monde le spectacle d’une Église chrĂ©tienne. Verset 6VoilĂ  ce qui constitue l’éternelle unitĂ© des rachetĂ©s du Sauveur ! L’apĂŽtre ne fait que nommer ces grands objets de la foi, dont chacun est un, indivisible, fondant l’unitĂ© de tous ceux qui y ont part et il ne juge pas nĂ©cessaire d’y ajouter aucune explication, ni aucune rĂ©flexion. Un seul corps rappelle ce qu’il a enseignĂ© dĂ©jĂ  ÉphĂ©siens ; ÉphĂ©siens ; cette belle image lui sert frĂ©quemment Ă  dĂ©peindre l’Église dans ses rapports avec Christ Romains ; 1 Corinthiens ; 1 Corinthiens Un seul Esprit non l’esprit de l’homme ou l’esprit chrĂ©tien, comme le veut encore Calvin, mais l’Esprit de Dieu, lien tout-puissant, vivant et intime, qui unit nĂ©cessairement tous ceux qu’il pĂ©nĂštre, conduit et sanctifie. Une seule espĂ©rance de la mĂȘme vocation pour le royaume de Dieu comment seraient-ils divisĂ©s, ceux qui doivent passer l’éternitĂ© dans le mĂȘme Ă©lĂ©ment de vie et d’amour ? Un seul Seigneur, le mĂȘme MaĂźtre auquel tous obĂ©issent Christ est-il divisĂ© » 1 Corinthiens ? Une seule foi envisagĂ©e, non dans son objet, puisque tout ce que nous croyons est dĂ©jĂ  Ă©noncĂ© ici, mais dans sa nature intime, produisant en tous les mĂȘmes sentiments, la mĂȘme vie chrĂ©tienne. Un seul baptĂȘme, nommĂ© ici sans doute parce qu’il est le symbole commun de l’introduction de tous dans l’Église, le signe extĂ©rieur de la rĂ©gĂ©nĂ©ration par le Saint-Esprit, laquelle nous rend un avec Christ et avec ses membres. Enfin et surtout, un seul Dieu et PĂšre, dont l’amour Ă©ternel, rĂ©pandu dans le cƓur de ses enfants, fait d’eux tous des frĂšres, dans le sens le plus rĂ©el et le plus intime du mot quelle unitĂ© ! Et ce Dieu trois fois saint, dont cette Ă©pĂźtre rappelle sans cesse l’action pour la rĂ©novation de l’homme pĂ©cheur, se rĂ©vĂšle ainsi Ă  nous comme Celui qui est au-dessus de tous par sa puissance et sa grĂące infinies ; parmi tous, en son Fils bien-aimĂ©, qui l’a remis en communion avec nous ; en nous tous, par son Esprit qui habite au dedans de nous comparer Romains ; 1 Corinthiens ; 1 Corinthiens ; 2 Corinthiens D’excellents interprĂštes refusent de voir dans ces derniĂšres paroles l’expression d’un rapport trinitaire de Dieu Ă  l’homme et ils les appliquent uniquement Ă  la prĂ©sence et Ă  l’action de Dieu le PĂšre. Dieu par l’Esprit de sanctification s’étend envers tous les membres de l’Église et les comprend tous sous sa domination et habite en tous. En faveur de cette explication, on peut remarquer que la prĂ©position que nous traduisons par parmi, n’a pas le sens local de au milieu de, mais exprime plutĂŽt la pĂ©nĂ©tration de tous par l’Esprit de Dieu, l’action divine traversant tous les cƓurs ; tandis que le troisiĂšme terme exprime l’habitation de Dieu en tous. Il n’y a donc pas de rĂ©pĂ©tition oiseuse dans l’emploi de ces prĂ©positions 7Selon qu’il trouve bon de la mesurer Ă  chacun 1 Corinthiens La diversitĂ© des grĂąces et des dons dans l’Église contribue Ă  son unitĂ©. Ce n’est pas le mĂ©rite qui en rĂšgle la distribution, mais la volontĂ© de Dieu et le dessein qu’a JĂ©sus-Christ sur chaque membre de son corps, pour l’employer Ă  ce qu’il lui plaira. Le devoir et le bien de chacun est d’ĂȘtre content de sa mesure, de ne se point Ă©lever, de se laisser appliquer, de recevoir sans vanitĂ© et de communiquer sans envie ce qui est donnĂ© par le Chef. Le don de Christ, c’est ce qu’il donne de cette grĂące dont il est le 8Grec Il dit », ou elle dit ». On peut sous-entendre soit l’Écriture soit David, ou Dieu par la bouche de David Psaumes ; comparez 2 Corinthiens L’apĂŽtre, aprĂšs avoir indiquĂ© le fondement de l’unitĂ© de la vraie Église de Dieu ÉphĂ©siens veut montrer que cette unitĂ© n’est pas l’uniformitĂ© ; qu’elle se manifeste dans la variĂ©tĂ© des dons accordĂ©s Ă  chacun et que ces dons de la grĂące, distribuĂ©s selon la mesure du don de Christ » ÉphĂ©siens loin de dĂ©truire l’unitĂ© par leur diversitĂ©, ne font que la rendre plus certaine et plus complĂšte ÉphĂ©siens Mais avant d’arriver Ă  cette dĂ©monstration, il va dire en passant quelle est la source de ces dons et comment Christ nous les a acquis par son Ɠuvre entiĂšre, soit par son humiliation, soit par son retour dans la gloire. Avant d’appeler notre attention sur la distribution des grĂąces, il la fixe d’abord un moment sur le distributeur. Tout cela est trĂšs clair et tout Ă  fait conforme aux enseignements de l’Écriture. Les dons du Saint-Esprit ne pouvaient ĂȘtre dispensĂ©s Ă  l’Église qu’aprĂšs l’accomplissement de la rĂ©demption et la glorification de JĂ©sus-Christ voyez entre autres passages, Jean note ; Jean ; Jean note ; Actes Mais l’apĂŽtre exprime cette pensĂ©e dans les paroles d’un psaume et ces paroles, il ne les cite pas littĂ©ralement, Il paraĂźt les dĂ©tourner de leur sens original, afin de les adapter Ă  son but. De lĂ , grand embarras des interprĂštes, les uns y voyant une citation fausse de l’Écriture, les autres faisant des efforts pour mettre d’accord le texte et la citation. On a reprochĂ© Ă  Paul la pensĂ©e et les termes, le fond et la forme. La pensĂ©e, parce que, dit-on, Ă  Psaumes 68, il n’est point question de Christ, ni de son Ɠuvre, ni de ses dons. Le psalmiste chante les triomphes de Dieu opĂ©rant les dĂ©livrances de son peuple depuis la sortie d’Égypte jusqu’à l’établissement de son rĂšgne visible en Sion, puis il ajoute ÉphĂ©siens littĂ©ralement Tu es montĂ© en haut, tu as emmenĂ© captive la captivitĂ© les captifs, tu as reçu des dons dans les hommes ou pour les hommes et mĂȘme les rebelles, afin que la habite Dieu, l’Éternel ». Le Dieu rĂ©vĂ©lĂ© personnellement Ă  son peuple dans l’ancienne Alliance, le Dieu marchant avec ce peuple, triomphant pour lui de tous ses adversaires, rĂ©duisant ceux-ci sous sa domination, en recevant les dĂ©pouilles et les tributs, ce Dieu est, selon tous les enseignements de l’Écriture, la Parole Ă©ternelle, l’Ange de l’Alliance, le Fils de Dieu comparer Jean 1 l, note. De plus, tous les faits de l’histoire du rĂšgne de Dieu dans l’Ancien Testament sont, aux yeux des Ă©crivains du Nouveau Testament, autant de symboles prophĂ©tiques de ce mĂȘme rĂšgne de Dieu rĂ©alisĂ© par le RĂ©dempteur. Appliquer Ă  JĂ©sus-Christ, Ă  son triomphe sur les ennemis spirituels de son peuple, la pensĂ©e du psalmiste, Ă©tait, de la part de l’apĂŽtre, rester parfaitement dans le sens de la parole scripturaire et en montrer la complĂšte rĂ©alisation. Mais la diffĂ©rence dans les termes ? mais le recevoir du prophĂšte, transformĂ© en donner par l’apĂŽtre ? Pour ne faire violence Ă  aucun des deux textes, il faut les laisser dire l’un et l’autre ce qu’ils disent. Il est de toute Ă©vidence que l’apĂŽtre n’a pas entendu citer ici littĂ©ralement, comme le prouve dĂ©jĂ  la troisiĂšme personne il est montĂ©, mise au lieu de la seconde tu es montĂ©. Paul exprime sa pensĂ©e dans les termes de l’Écriture, parce que ce rapprochement lui importait, mais il l’exprime avec cette entiĂšre libertĂ© dont il donne ailleurs tant d’autres exemples. Ce qui importe, c’est sa pensĂ©e, qui est parfaitement vraie et non la forme qu’il lui a donnĂ©e par une allusion libre aux paroles du psaume. Rien n’est moins vrai, au contraire, que les tours de force exĂ©gĂ©tiques par lesquels on veut Ă©tablir une harmonie littĂ©rale entre le texte et la citation. Le mot de captivitĂ© est un hĂ©braĂŻsme qui signifie les captifs. Qui sont ces captifs ? Dans le psaume, il s’agit d’ennemis du peuple de Dieu rĂ©duits en servitude ; dans l’application qu’en fait l’apĂŽtre, il est question des ennemis de Christ et de son rĂšgne, vaincus par sa rĂ©surrection et son retour dans la gloire comparer Colossiens D’autres entendent par ces captifs des hommes vaincus par la puissance de Christ et volontairement soumis Ă  son rĂšgne. C’est possible, mais ce sens n’est pas dans le 9Le texte reçu porte ici, contre les meilleures autoritĂ©s si ce n’est qu’auparavant il Ă©tait descendu dans les parties les plus basses de la terre ». Puisqu’il est montĂ©, veut dire Paul, cela signifie que d’abord il s’était abaissĂ© jusqu’à cette terre perdue dans les tĂ©nĂšbres, afin d’y accomplir son Ɠuvre de dĂ©livrance. Nous pensons qu’il s’agit simplement de la venue du Fils de Dieu sur la terre. Plusieurs exĂ©gĂštes anciens et modernes voient ici une mention d’une descente de Christ au sĂ©jour des morts. Ils s’appuient surtout sur le fait que l’apĂŽtre emploie le comparatif les parties plus basses de ou que la terre » et sur la conclusion afin qu’il remplit toutes choses. L’échelle des ĂȘtres compte trois degrĂ©s le ciel, la terre, le sĂ©jour des morts. Christ doit rĂ©gner dans les trois domaines, pour remplir toutes choses, afin qu’au nom de JĂ©sus tout genou flĂ©chisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre » Philippiens D’aprĂšs la conception de l’Ancien Testament que Paul adopte, le sĂ©jour des morts est situĂ© dans les profondeurs de la terre » Psaumes ; ÉzĂ©chiel ; ÉzĂ©chiel ; ÉzĂ©chiel ; ÉsaĂŻe Tout en reconnaissant la force de ces arguments, nous nous en tenons Ă  la premiĂšre interprĂ©tation qui nous semble cadrer mieux avec le raisonnement de l’apĂŽtre. Il peut en effet conclure de l’ascension de Christ Ă  sa venue prĂ©alable sur la terre, mais non Ă  sa descente au sĂ©jour des morts. Cette derniĂšre idĂ©e n’est pas clairement exprimĂ©e dans notre 10Par ces derniers mots, l’apĂŽtre insiste encore sur la pensĂ©e que le retour de Christ dans la gloire Ă©ternelle, Ă©tait la condition et le moyen de remplir toutes choses ÉphĂ©siens par sa toute-puissance, par sa toute-prĂ©sence, par sa domination souveraine et par la richesse des dons qu’il s’était acquis le droit de distribuer Ă  son Église ÉphĂ©siens En mĂȘme temps, il y a dans ces paroles, aussi bien qu’au verset prĂ©cĂ©dent, la pensĂ©e de la prĂ©existence de Christ, de sa gloire Ă©ternelle qu’il avait quittĂ©e pour descendre, s’abaisser et dans laquelle il est remontĂ©. C’est de lĂ  qu’il a la puissance de distribuer aux hommes tous les dons de l’Esprit ÉphĂ©siens Cette expression au-dessus de tous les cieux », dĂ©signe l’élĂ©vation suprĂȘme du Fils de Dieu, comme ÉphĂ©siens comparer HĂ©breux et sur l’idĂ©e d’une pluralitĂ© des cieux 2 Corinthiens notes.Verset 11Ces mots et lui-mĂȘme a donnĂ©, reportent la pensĂ©e sur ÉphĂ©siens ; ÉphĂ©siens et se attachent immĂ©diatement Ă  ÉphĂ©siens Mais, d’aprĂšs ces versets, on s’attendait Ă  voir l’apĂŽtre Ă©numĂ©rer des dons divers charismes ; et au lieu de cela il dĂ©signe ici des hommes et des charges dans l’Église. C’est qu’en effet lui-mĂȘme Christ donne Ă  la fois les charges qu’il institue, les hommes capables de les remplir et les dons de son Esprit, sans lesquels tout le reste n’est rien. Les apĂŽtres, les envoyĂ©s immĂ©diats de JĂ©sus-Christ, ses tĂ©moins authentiques, sont avant tous les autres ; ils rĂ©unissent en eux Ă  la fois toutes ces charges et l’enseignement de tous les autres doit ĂȘtre jugĂ© d’aprĂšs le tĂ©moignage apostolique, mĂȘme celui des prophĂštes 1 Corinthiens Les prophĂštes Ă©taient moins revĂȘtus d’une charge permanente que dĂ©positaires d’un don, qui consistait Ă  parler des choses de Dieu par rĂ©vĂ©lation ou du moins sous une influence puissante de l’Esprit de Dieu, qui mettait momentanĂ©ment le prophĂšte bien au-dessus de son Ă©tat spirituel ordinaire voir 1 Corinthiens et 1 Corinthiens 14. Les Ă©vangĂ©listes, ainsi que ce nom l’indique, Ă©taient chargĂ©s d’annoncer de lieu en lieu la bonne nouvelle ; ils Ă©taient souvent des compagnons d’Ɠuvre des apĂŽtres, comme TimothĂ©e et Tite. Les docteurs avaient le don spĂ©cial et la charge de l’enseignement. Les pasteurs enfin, appelĂ©s autrement anciens, ou surveillants Ă©vĂȘques, devaient paĂźtre, nourrir, diriger les troupeaux. Il faut remarquer toutefois que Paul rĂ©unit les deux derniers titres pasteurs et docteurs sans article, parce que, dans sa pensĂ©e et dans les faits, tout pasteur devait en mĂȘme temps ĂȘtre capable d’enseigner 1 TimothĂ©e ; 1 TimothĂ©e Ces charges et ces dons n’étaient pas tellement distincts, que le Seigneur, parfaitement libre de les dispenser comme il veut, n’ait pas trouvĂ© bon d’en rĂ©unir souvent plusieurs dans le mĂȘme homme ; ni tellement permanents, que l’on puisse, sans empiĂ©ter sur les droits de Dieu, prĂ©tendre les stĂ©rĂ©otyper dans l’Église. D’autre part, c’est assurĂ©ment une institution fort dĂ©fectueuse que celle qui a fini par absorber tous ces emplois en un seul, le pastoral moderne !Verset 12Tel est le but pour lequel Christ a donnĂ© les apĂŽtres, les prophĂštes, etc. Ce verset, trĂšs simple en lui-mĂȘme, est impossible Ă  rendre littĂ©ralement, Ă  cause de la diffĂ©rence des prĂ©positions dont se sert l’apĂŽtre et que, faute de mieux, nous traduisons chaque fois par pour, ce qui donne l’idĂ©e de trois phrases coordonnĂ©es, de trois buts parallĂšles assignĂ©s aux dons que l’apĂŽtre Ă©numĂšre aux ÉphĂ©siens ; ainsi ces dons auraient pour fins le perfectionnement ou le rĂ©tablissement des saints ; l’Ɠuvre du service ; l’édification du corps de Christ, le tout opĂ©rĂ© uniquement par les hommes indiquĂ©s ÉphĂ©siens Tel est, en effet, selon le plus grand nombre des interprĂštes, le sens de ce verset. En y regardant de prĂšs, on se convaincra facilement que c’est lĂ  une erreur. Le premier pour se rapporte seul directement aux charges indiquĂ©es ÉphĂ©siens ; le grand but de celles-ci est de rĂ©tablir, de perfectionner les saints par tous ces dons de l’Esprit de Dieu. Ce sont les saints eux-mĂȘmes, c’est-Ă -dire tous les chrĂ©tiens qui sont ainsi rĂ©tablis pour prĂ©position grecque diffĂ©rente l’Ɠuvre du service Grec diaconie, c’est-Ă -dire pour l’action de charitĂ©, de dĂ©vouement imposĂ©e Ă  tout disciple de Christ, selon le grand principe du sacerdoce universel. Alors et par lĂ  seulement, peut ĂȘtre atteint le troisiĂšme but l’édification du corps de Christ, tout entier, se dĂ©veloppant, grandissant, devenant un par cette sainte communion d’action et d’amour. Ce sens rĂ©pond seul Ă  d’autres enseignements tels que 1 Corinthiens D’ailleurs, il se retrouve dĂ©veloppĂ© ici mĂȘme ÉphĂ©siens De lĂ , pour tout chrĂ©tien, aussi bien que pour tout ministre de la Parole de Dieu, l’obligation sacrĂ©e de concourir selon sa mesure Ă  ce grand dessein de Dieu ; car tout disciple de JĂ©sus-Christ est un missionnaire. Mais il ne faut pas que cela lui fasse nĂ©gliger en rien les devoirs les plus ordinaires de sa vocation terrestre. Il est Ă  peine nĂ©cessaire d’observer que cet enseignement de l’apĂŽtre n’exclut point les charges spĂ©ciales confiĂ©es par l’Église Ă  tels de ses membres pour l’Ɠuvre du service ou du 13Grec À l’homme fait, Ă  la mesure de la stature de la plĂ©nitude de Christ » Le mot traduit par stature signifie aussi l’ñge, mais ici le sens est le mĂȘme. L’unitĂ© de la foi dans laquelle tous doivent enfin se rencontrer, cette unitĂ© créée par l’Esprit de Dieu et dont l’apĂŽtre a parlĂ© aux ÉphĂ©siens tel est le but des dons, des charges et de l’action chrĂ©tienne qu’il vient de rappeler ÉphĂ©siens ; ÉphĂ©siens LĂ  ÉphĂ©siens il dĂ©clare qu’elle existe ; ici, il la pose comme un but Ă  atteindre ; cela est-il contradictoire ? L’expĂ©rience rĂ©pond non. Tous les vrais croyants ont l’unitĂ© de la foi dans les grandes vĂ©ritĂ©s du salut et tous pourtant marchent vers une unitĂ© plus parfaite dans les choses oĂč ils diffĂšrent encore. Comment l’atteindront-ils ? Par une connaissance plus parfaite du Fils de Dieu, qui est le grand, l’unique objet de la foi. En effet, ce qui constitue nos diffĂ©rences dans la foi, ce n’est pas la nature de cette derniĂšre, mais bien son objet, connu Ă  des degrĂ©s fort divers. Les progrĂšs dans cette connaissance et dans ’influence sanctifiante qu’elle exerce sur les vrais chrĂ©tiens, les unissent toujours plus intimement Ă  Christ, dont ils sont les membres et par lĂ  ils s’avancent vers la mesure de la stature de Christ, Ă©tant de plus en plus transformĂ©s Ă  sa ressemblance, Christ lui-mĂȘme grandissant en eux ÉphĂ©siens Le dernier but enfin sera sa plĂ©nitude en tous. Ce mot se trouve dĂ©jĂ  Ă  ÉphĂ©siens et dans le mĂȘme sens comparer aussi ÉphĂ©siens L’Église, dans sa communion, sera la pleine manifestation de la gloire de Christ, de sa vie, de ses perfections. VoilĂ  le terme oĂč elle doit tendre et ce sera la perfection de l’unitĂ©. La question de savoir si ce but est assignĂ© Ă  l’Église sur la terre ou seulement dans le ciel, doit ĂȘtre tranchĂ©e, sans aucun doute, dans le premier sens. Le mot de foi qui caractĂ©rise cette unitĂ© ne saurait s’appliquer Ă  l’économie future ; et d’ailleurs l’Écriture se garde bien d’ajourner nos progrĂšs indĂ©finiment ; Ă  tous Ă©gards, elle se contente de nous dire Tendez Ă  la perfection ! Et mĂȘme elle ajoute Votre travail ne sera pas vain auprĂšs du Seigneur » 1 Corinthiens Aussi l’apĂŽtre, dans les paroles qui suivent, rend-il son exhortation tout Ă  fait actuelle, en en montrant l’application et les moyens de la mettre en 14Par opposition Ă  hommes faits ÉphĂ©siens ; comparez 1 Corinthiens ; 1 Corinthiens La conjonction afin que se rattache Ă  la pensĂ©e de ÉphĂ©siens ; ÉphĂ©siens Paul expose d’abord ce qui empĂȘche les progrĂšs vers l’unitĂ© parfaite ÉphĂ©siens ; puis, dans les deux versets qui suivent, il indique les moyens positifs de rĂ©aliser ces progrĂšs. Rester enfants dans la foi et la connaissance et dĂšs lors flotter Ă  tout vent de doctrine, comme un vaisseau sans gouvernail, voilĂ  le principal empĂȘchement Ă  l’unitĂ© et l’expĂ©rience confirme abondamment le jugement de l’apĂŽtre comparer HĂ©breux ; Jacques Mais ces fausses doctrines ne sont jamais des erreurs purement intellectuelles et, par suite, innocentes. L’Écriture nous y montre toujours une tendance morale, un fruit de la corruption du cƓur comparer 2 Corinthiens ; 2 Corinthiens Ainsi l’apĂŽtre les attribue ici Ă  la tromperie des hommes le mot grec exprime la tromperie d’un homme qui joue avec des dĂ©s falsifiĂ©s, qui triche au jeu et Ă  leur ruse qui est conforme aux artifices, aux voies dĂ©tournĂ©es de l’égarement, ou de l’ 15Double contraste avec le verset prĂ©cĂ©dent suivre la vĂ©ritĂ© ou ĂȘtre vrai, est opposĂ© Ă  la tromperie des hommes, Ă  leur ruse et croĂźtre de toutes maniĂšres, ou en toutes choses », est opposĂ© Ă  ĂȘtre et rester des enfants. La vĂ©ritĂ© et la charitĂ© sont les deux Ă©lĂ©ments constitutifs de la vie chrĂ©tienne ; l’une sans l’autre est nĂ©cessairement fausse ; rĂ©unies, elles dĂ©veloppent l’accroissement VERS lui, qui est le Chef, JĂ©sus-Christ. Telles sont les expressions de l’original, qui rappellent le but proposĂ© Ă  ÉphĂ©siens voir la note. D’autres traduisent afin que, disant ou professant la vĂ©ritĂ©, nous croissions dans la charitĂ©, de toutes maniĂšres, vers lui
 » La version ordinaire nous paraĂźt prĂ©fĂ©rable. Le verbe grec, composĂ© du mot mĂȘme de vĂ©ritĂ©, ne la suppose pas seulement en paroles, mais en 16Comparer Colossiens Il faudrait d’abord donner une traduction littĂ©rale de ce verset, mais elle est presque impossible Duquel Christ ÉphĂ©siens tout le corps, bien organisĂ© ensemble et bien uni ensemble par chaque liaison de la communication, opĂšre l’accroissement du corps, selon l’efficace et dans la mesure de chaque partie pour sa propre Ă©dification, dans la charitĂ© ». C’est ici le dĂ©veloppement complet et pratique de l’image que Paul affectionne ÉphĂ©siens ; ÉphĂ©siens qu’il avait dĂ©jĂ  dans la pensĂ©e en Ă©crivant les deux versets prĂ©cĂ©dents ÉphĂ©siens ; ÉphĂ©siens et d’aprĂšs laquelle l’Église est considĂ©rĂ©e comme un corps organisĂ©, le corps de Christ. Ce qu’il tire ici de cette belle image peut se rĂ©sumer dans les pensĂ©es suivantes Tout, dans ce corps, est dirigĂ© par le Chef ÉphĂ©siens Christ, comme dans le corps humain, par la tĂȘte Il ne faut pas oublier que, dans le vieux français, le mot chef signifie tĂȘte. Ce corps est aussi artistement coordonnĂ© et organiquement uni que le corps humain. Ce qui fait le lien des divers membres, c’est leur coopĂ©ration ou communication mutuelle, chacun fournissant sa part Ă  la vie de l’ensemble, et cela, selon sa force, son efficace et dans la mesure qui lui est propre, en sorte que l’harmonie de tout le corps soit conservĂ©e. Suivant d’autres, le mot que nous traduisons par communication et qui signifie fourniture, largesse » dĂ©signerait la largesse faite par Christ, ses dons Ă  l’Église ÉphĂ©siens qui sont la liaison, les jointures du corps. De cette maniĂšre le corps grandit Grec opĂšre l’accroissement du corps » pour sa propre Ă©dification. Ce qui en est l’ñme et la vie, c’est la charitĂ©, provenant de Christ comme tout le reste et s’augmentant par le secours mĂȘme que se prĂȘtent rĂ©ciproquement tous les membres. Verset 17 L’apĂŽtre revient Ă  son exhortation et atteste dans le Seigneur que ses lecteurs ne peuvent plus vivre comme les paĂŻens qui sont dans les tĂ©nĂšbres, Ă©trangers Ă  la vie de Dieu, adonnĂ©s aux vices les plus grossiers 17-19. Pourquoi ils ne le peuvent plus Ils connaissent Christ et ils ont appris de lui Ă  se dĂ©pouiller du vieil homme, Ă  ĂȘtre renouvelĂ©s dans tout leur ĂȘtre moral, pour ĂȘtre revĂȘtus de l’homme nouveau créé Ă  l’image de Dieu 20-24. Fruits de ce renouvellement plus de mensonge, mais la vĂ©ritĂ© toujours ; plus de pĂ©chĂ© par la colĂšre ; plus de vol, mais le travail qui permet de venir en aide aux nĂ©cessiteux. Plus de paroles mauvaises, mais des discours qui Ă©difient, au lieu d’attrister l’Esprit de Dieu ; plus d’amertume ni de haine, mais la compassion, le support, le pardon 25-32. Versets 17 Ă  32 — Les chrĂ©tiens ne doivent plus se conduire comme les paĂŻen ; ils doivent vivre d’une vie nouvelle et sainte Ce donc reprend Ă©videmment la pensĂ©e de ÉphĂ©siens et l’exhortation Ă  une conduite chrĂ©tienne, interrompue par la digression des versets ÉphĂ©siens Ce qui va suivre, Paul ne le dit pas seulement de sa propre autoritĂ©, il les en conjure voyez 1 TimothĂ©e dans le Seigneur, en son nom et dans une communion de vĂ©ritĂ© avec 18En exhortant maintenant ses frĂšres Ă  ne plus se conduire comme les paĂŻens, l’apĂŽtre dĂ©crit l’état moral de ces derniers. Ce passage est classique comme description de l’homme absolument privĂ© de la RĂ©vĂ©lation de Dieu. Ce qu’il y a de plus Ă©levĂ© en lui, ses facultĂ©s intellectuelles l’entendement ÉphĂ©siens la pensĂ©e qui est l’acte de cet entendement, ÉphĂ©siens sont tombĂ©es dans la vanitĂ©, c’est-Ă -dire le vide, le nĂ©ant et dans les tĂ©nĂšbres comparer Romains ; Romains Cela vient de ce que les paĂŻens sont devenus Ă©trangers Ă  la vie de Dieu, Ă  cette vie vĂ©ritable dont Dieu seul est la source et sans laquelle l’homme reste dans la mort. C’est lĂ  l’athĂ©isme pratique dont l’apĂŽtre a parlĂ© ci-dessus ÉphĂ©siens et qui est l’effet du pĂ©chĂ©. Enfin, Paul indique deux causes de cet Ă©tat l’ignorance, mais une ignorance qui a elle-mĂȘme une cause morale l’endurcissement du cƓur. Le cƓur est le siĂšge des affections et du sens moral ; en sorte que ces facultĂ©s morales participent Ă  la mĂȘme dĂ©chĂ©ance que les facultĂ©s intellectuelles. De lĂ  le mot qui suit ÉphĂ©siens ayant perdu tout sentiment de remords ou de honte et de lĂ  aussi les consĂ©quences nĂ©cessaires dans la vie 19Grec avec aviditĂ© ». C’est le mĂȘme mot qui exprime ailleurs l’avarice et qui, ici, dĂ©crit peut-ĂȘtre l’insatiabilitĂ© des dĂ©sirs sensuels comparer Romains note. Mais d’excellents interprĂštes veulent qu’on laisse ici Ă  ce mot son sens d’avarice, attendu qu’il n’en a jamais d’autre dans le Nouveau Testament et ils remarquent que l’impuretĂ© et l’avarice sont les deux vices principaux du paganisme, dont Paul recommande aux chrĂ©tiens de se garder comparer ÉphĂ©siens 24Ces versets ÉphĂ©siens forment une seule phrase insĂ©parable dans son ensemble. L’apĂŽtre oppose ici Ă  la vie sans Dieu du paganisme la vie renouvelĂ©e par la rĂ©gĂ©nĂ©ration en Christ. Christ lui-mĂȘme est le modĂšle, l’idĂ©al, aussi bien que la source de cette vie nouvelle. C’est lui qu’il faut apprendre. Apprendre Christ est une locution remarquable
 Il ne faut pas dire, avec la plupart des commentateurs anciens et modernes, que Christ est mis ici pour la doctrine de Christ ; mais il faut apprendre de ce langage que la vraie foi nous fait entrer en communion rĂ©elle et personnelle avec le Seigneur. C’est ce qui lait la diffĂ©rence entre l’orthodoxie et la vie. Le prĂ©dicateur orthodoxe prĂȘche la doctrine de Christ et l’auditeur orthodoxe apprend et reçoit la doctrine de Christ ; le prĂ©dicateur qui a la vie prĂȘche Christ 2 Corinthiens et l’auditeur qui a la vie apprend Christ et reçoit Christ. Avoir ainsi appris Christ, l’avoir Ă©coutĂ©, avoir Ă©tĂ© instruit en lui, s’ĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ© de la parfaite vĂ©ritĂ© morale qui est en lui, tout cela est considĂ©rĂ© par l’apĂŽtre comme quelque chose de si intime, de si rĂ©el, de si vivant, que le rĂ©sultat en est un dĂ©pouillement du vieil homme et un revĂȘtement de l’homme nouveau. De ces deux hommes, le premier appartient Ă  la conduite prĂ©cĂ©dente dans le paganisme ; c’est celui que Paul a caractĂ©risĂ© ÉphĂ©siens et dont il dĂ©clare encore ÉphĂ©siens qu’il se corrompt toujours plus selon les convoitises de la sĂ©duction ou de l’erreur. Ces convoitises sont nommĂ©es ainsi, non seulement parce qu’elles sĂ©duisent, mais parce qu’elles trompent dans toutes leurs promesses ; elles promettent le bonheur et produisent la misĂšre ; elles mettent l’homme en dĂ©saccord avec son Dieu, avec sa destination, avec lui-mĂȘme et font ainsi de lui, de sa nature entiĂšre, un vivant mensonge. Le nouvel homme devient tel par son union avec Christ d’abord ÉphĂ©siens ; ÉphĂ©siens puis par le renouvellement qui en rĂ©sulte dans l’esprit de votre entendement ÉphĂ©siens dans tout ce qu’il y a de plus spirituel et de plus intime en votre ĂȘtre moral voyez, sur le rapport de ces deux facultĂ©s, l’esprit et l’entendement, 1 Corinthiens note. Et cette Ɠuvre, Paul n’y voit rien moins qu’une crĂ©ation 2 Corinthiens selon Dieu, ou Ă  l’image de Dieu ÉphĂ©siens ; comparez Colossiens c’est-Ă -dire une restauration de cette image divine GenĂšse ; GenĂšse qui avait Ă©tĂ© effacĂ©e et souillĂ©e par le pĂ©chĂ©. Ses caractĂšres principaux sont la justice et la saintetĂ©. On traduit ordinairement justice et saintetĂ© vĂ©ritables en admettant un hĂ©braĂŻsme, mais le grec porte justice et saintetĂ© de la vĂ©ritĂ©. Paul veut dire qu’elles sont rĂ©tablies dans l’homme par la vĂ©ritĂ© divine, qu’elles sont un produit de cette vĂ©ritĂ© qui est en JĂ©sus ÉphĂ©siens comme les convoitises sont un produit de la sĂ©duction ÉphĂ©siens 25Le prĂ©cepte Parler selon la vĂ©ritĂ© chacun avec son prochain », est empruntĂ© Ă  Zacharie Cette exhortation Ă  la pratique de la vĂ©ritĂ© dans les discours se fonde sur ce que l’apĂŽtre vient d’enseigner ÉphĂ©siens relativement Ă  la rĂ©gĂ©nĂ©ration par la vĂ©ritĂ© qui est en JĂ©sus » comparez Colossiens aussi bien que sur la sainte union qui existe entre les fidĂšles, membres les uns des autres comparer ÉphĂ©siens C’est ainsi que chaque point spĂ©cial de la morale chrĂ©tienne, chaque devoir, a ses motifs et ses racines dans les profondeurs mĂȘmes de la doctrine dont il est 26Au lieu de la tournure dubitative de cette citation Psaumes permise par le grec et l’hĂ©breu si vous vous mettez en colĂšre, plusieurs interprĂštes admettent littĂ©ralement le double impĂ©ratif de l’original Mettez-vous en colĂšre et ne pĂ©chez point ». Il y a, disent-ils, une colĂšre juste et sainte, qui est permise, pourvu qu’en l’éprouvant on se garde de pĂ©cher. Mais, puisque mĂȘme cette colĂšre-lĂ  est si voisine du pĂ©chĂ©, comment l’apĂŽtre pourrait-il la commander ? Si elle est louable pourquoi doit-elle passer avant le coucher du soleil, c’est-Ă -dire s’apaiser bientĂŽt ? Pourquoi l’apĂŽtre emploie-t-il, Ă  la fin du verset, un autre mot exaspĂ©ration qui Ă©videmment suppose de la passion dans ce mouvement de l’ñme ? Pourquoi dĂ©fend-il, peu aprĂšs, toute colĂšre ? ÉphĂ©siens ; comparez Colossiens Pourquoi enfin nous montre-t-il dans la colĂšre une tentation diabolique qui est Ă  la porte ÉphĂ©siens ? Il faut donc laisser Ă  cet impĂ©ratif, comme l’ont fait la plupart des commentateurs grecs, le sens du doute, d’une supposition, sens qui se prĂ©sente frĂ©quemment lorsque deux impĂ©ratifs se suivent dans la mĂȘme phrase. L’apĂŽtre a citĂ© exactement la version grecque des Septante. L’hĂ©breu porte tremblez et ne pĂ©chez point ». Mais ce mot signifie aussi l’émotion de la colĂšre. C’est l’exĂ©gĂšse qui doit en fixer le sens dans le 27Par la colĂšre ÉphĂ©siens Ne lui donnez point lieu Grec de vous tenter, de vous entraĂźner au pĂ©chĂ© par la passion » 2 Corinthiens 28Excellente maniĂšre d’observer le huitiĂšme commandement compris dans son sens positif donner, au lieu de 29L’épithĂšte ordinairement ici rendue par parole dĂ©shonnĂȘte » signifie proprement ce qui est corrompu, pourri. Ainsi il s’agit de tout discours qui porte en soi la corruption du pĂ©chĂ©, quel qu’en soit le sujet. À cela l’apĂŽtre oppose, comme devoir du chrĂ©tien, des paroles qui puissent servir Ă  l’édification comparez sur le sens de ce mot, Romains note et communiquer quelque grĂące nouvelle Ă  ceux qui les Ă©coutent. Selon d’autres exĂ©gĂštes, cette parole doit avoir pour but d’ĂȘtre agrĂ©able Ă  ceux qui l’écoutent ou de leur accorder un bienfait. Ce sens est grammaticalement possible ; mais, puisque, dans la pensĂ©e de l’apĂŽtre, cette parole doit servir Ă  l’édification, cela ne peut ĂȘtre qu’en entendant ce mot de grĂące dans son sens religieux habituel. Un des principaux points de la piĂ©tĂ© et des plus nĂ©cessaires, est de veiller sur sa langue ; de rendre les conversations chrĂ©tiennes ; de les remplir de discours utiles, proportionnĂ©s Ă  la portĂ©e et aux besoins du prochain ; d’y tenir le parti de la piĂ©tĂ© avec prudence et sans rebuter. Verset 30La liaison des versets ÉphĂ©siens et ÉphĂ©siens se trouve dans ces paroles mauvaises » par lesquelles on peut attrister le Saint-Esprit de Dieu. Ceux qui reculent toujours en prĂ©sence du profond et vivant rĂ©alisme de l’Écriture et ne tiennent pour vraies les pensĂ©es divines qu’aprĂšs les avoir rendues superficielles, suivent ici le mĂȘme principe et rĂ©duisent l’idĂ©e d’attrister le Saint-Esprit de Dieu comparez ÉsaĂŻe Ă  n’ĂȘtre plus qu’une image, par laquelle un sentiment humain est prĂȘtĂ© Ă  un ĂȘtre divin, incapable de l’éprouver. Il y a un autre principe qui est assurĂ©ment plus sage et plus sĂ»r c’est de laisser la Parole de Dieu dire ce qu’elle dit. Paul nous apprend ailleurs que le Saint-Esprit prend part Ă  nos faiblesses, prie et soupire en nous Romains ; Romains Ici il nous dit que cet Esprit, devenu un avec les enfants de Dieu dans une communion rĂ©elle et vivante, peut ĂȘtre attristĂ© en eux par le pĂ©chĂ©. De mĂȘme que le Fils de Dieu Ă©tait attristĂ© par les pĂ©chĂ©s et les souffrances des siens au milieu desquels il vivait, de mĂȘme l’Esprit de Dieu peut l’ĂȘtre en ceux qu’il anime et sanctifie. Le Dieu de la Bible, qui s’attribue Ă  lui-mĂȘme l’amour d’un pĂšre Psaumes la tendresse d’une mĂšre ÉsaĂŻe qui dĂ©clare qu’il est en angoisse dans les angoisses de son peuple ÉsaĂŻe le Dieu de la Bible n’est pas cet Être froidement impassible dans son immensitĂ©, que nous dĂ©crit la philosophie de ce monde. DĂ©jĂ  en crĂ©ant l’homme Ă  son image, il trouva dans cette crĂ©ature un objet d’amour et de joie. C’est pour cela mĂȘme que l’ingratitude et le pĂ©chĂ© de ceux qu’il aime excitent en lui le dĂ©plaisir et la colĂšre, comme leur repentance Ă©meut sa misĂ©ricorde et ses compassions. Pour les prĂ©munir efficacement contre ce pĂ©chĂ© d’attrister le Saint-Esprit de Dieu de Dieu, expression solennelle !, l’apĂŽtre rappelle Ă  ses frĂšres qu’ils ont Ă©tĂ© scellĂ©s de cet Esprit pour le jour de la rĂ©demption voyez ÉphĂ©siens C’est-Ă -dire que Dieu commence en eux ici-bas par cet Esprit une Ɠuvre de restauration, de vie nouvelle, qui ne cessera plus de s’avancer vers la perfection, jusqu’au jour oĂč ils pourront avoir part Ă  toute la gloire cĂ©leste Philippiens Cet Esprit demeure en eux, s’identifie avec eux, avec leurs affections, avec leur vie ; il n’est plus en eux un hĂŽte Ă©tranger, mais comme Esprit de Christ » Romains il est devenu humain dans leur Ăąme ; leurs joies sont ses joies, leurs infidĂ©litĂ©s l’attristent. Qu’on ne redoute pas ici le panthĂ©isme ! Cette vue profonde de l’union de l’homme avec Dieu ne deviendrait fausse et indigne de Dieu que si Dieu ou l’homme perdait dans cette communion quelque chose de sa personnalitĂ©. Mais cette personnalitĂ©, elle est consacrĂ©e de la maniĂšre la plus Ă©clatante par cette magnifique pensĂ©e qu’un ĂȘtre fini est individuellement scellĂ© du sceau de l’Esprit de Dieu pour la vie Ă©ternelle !Verset 32Par ces derniĂšres paroles, l’apĂŽtre remonte jusqu’à la source de cet esprit de support et de paix dont il a parlĂ© Ă  ÉphĂ©siens Pardonner aux autres comme Dieu nous a pardonnĂ©, tels sont Ă  la fois la rĂšgle et le tout-puissant motif de la conduite du chrĂ©tien envers ceux dont il a Ă  se plaindre comparer ÉphĂ©siens et surtout Colossiens et suivants.
CombatĂ  plaisance, tournoi que l'on faisait pour divertir les dames et qui Ă©tait suivi de danses. Être hors de combat, ĂȘtre par ses blessures hors d'Ă©tat de combattre. Mettre hors de combat, blesser ou dĂ©sarmer son adversaire, de maniĂšre qu'il ne puisse plus combattre. Et fig. L'affaire du syndic m'avait mise hors de combat, SĂ©vignĂ©, 192.
Trouver une phrase pour exprimer sa colĂšre contre quelqu’un et un modĂšle de lettre de mĂ©contentement Ă  envoyer Ă  un ami ou Ă  l’amour de sa vie Citation colĂšre et sms Ă  envoyer aprĂšs une trahison ou une dĂ©ception. De beaux textes sur la vengeance – la haine et l’hypocrisie amoureuse ou en amitiĂ© et dans sa famille. Envoyer un message colĂ©rique drĂŽle avec de l’humour noir ou philosophique. Carte colĂšre drĂŽle pour exprimer son mĂ©contentement avec humourđŸ‘©â€âš•ïž Exprimer sa colĂšre par Ă©crit La colĂšre Citation PhilosophiqueDispute DĂ©ception amoureuseConflit en AmitiĂ© – AmisHumour – Messages drĂŽlesBelles citations sur la colĂšreÀ une personne hypocriteAprĂšs une trahisonPoĂšme sur la colĂšre – PoĂ©sie EnfantExemple de lettre de colĂšrePhrase pour exprimer sa colĂšre avec philosophieExprimer sa colĂšre par Ă©crit avec des mots plein de sens qui font du bien et qui permettent de s’ avec intelligence Ă  la mĂ©chancetéÀ ceux qui ont toujours raison Le problĂšme avec le monde c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes alors que les imbĂ©ciles sont pleins de certitude. » Citation de Charles personnes qui parlent dans notre dos Laisse parler les gens qui disent du mal de toi 
 Ils n’ont rien de bon Ă  raconter sur eux-mĂȘmes. »Citation ÉnervĂ© contre quelqu’un Certains te croient faible quand tu ne rĂ©ponds pas Ă  leurs attaques, car le fait de se contenir demande une force qui les dĂ©passe. »Citation colĂšre vengeance La meilleure revanche est de passer Ă  autre chose et de continuer Ă  rĂ©ussir. Ne donnez jamais Ă  quelqu’un la satisfaction de vous voir tomber ou souffrir. »Rester soi-mĂȘme face Ă  la bĂȘtise humaine Quand tu te fous vraiment de ce que les gens pensent de toi, c’est que tu as atteint un degrĂ© dangereusement gĂ©nial de libertĂ© individuelle. »S’éloigner des personnes toxiquesLa mĂ©chancetĂ© des Hommes Ce n’est pas la vie qui sĂ©pare les gens, c’est la mĂ©chancetĂ© des hommes, l’hypocrisie, la trahison, l’égoĂŻsme et le manque de respect. »Les relations toxiques Nous sommes vraiment bizarres On ignore celui qui tient Ă  nous. Nous tenons Ă  celui qui nous ignore. On aime celui qui nous blesse et on blesse celui qui nous aime. »Qui sĂšme la haine rĂ©colte la tempĂȘte ! Dans la vie, tout revient la mĂ©chancetĂ© Ă  l’expĂ©diteur, l’amour Ă  ceux qui l’on donnĂ©, les mensonges Ă  ceux qui les ont dits 
 Car on le sait bien, la roue tourne pour tous et depuis toujours. »Ne pas rentrer dans la provocation Parfois il est prĂ©fĂ©rable de ne rien dire et de laisser le silence s’occuper des choses. » Le silence punit l’insolence 
 »Un beau proverbe sur la colĂšre et la patienceMessage de colĂšre en amour pour son copain ou sa copineMots colĂ©riques Ă  envoyer Ă  son mari ou son Ă©pouse et Ă  une fille ou un garçon dont on est amoureux ou amoureuse aprĂšs une trahison, une infidĂ©litĂ© ou une dispute dans son blessures d’amourPetite phrase avant une sĂ©paration amoureuse ou un divorce Apprenez Ă  donner de votre absence Ă  ceux qui n’ont pas compris l’importance de votre prĂ©sence. »⇒ Trouver un message rupture pour une fille ou un garçonLes leçons de la dĂ©ception AprĂšs une dĂ©ception amoureuse ou en amitiĂ©, on ne se reconstruit pas, on devient juste une autre personne. Les Ă©checs en amour et en amitiĂ© nous apprennent Ă  ĂȘtre une meilleure version de nous-mĂȘmes. »Sms Ă  un homme qui fait souffrir sa femme Le plus triste c’est quand la seule personne qui pourrait te consoler est aussi celle qui te fait pleureur. »Proverbe arabe sur les femmes en colĂšre La femme sait aimer. Elle sait supporter et endurer. Elle sait pardonner. Mais quand elle veut montrer sa mĂ©chancetĂ© et sa haine mĂȘme le diable s’assoit pour prendre des leçons. »⇒ Lire de belles phrases de sagesses sur la en colĂšre contre sa femme ou son mariLa patience des femmes Ă  des limites Les femmes peuvent accepter, encaisser, pardonner et tolĂ©rer Ă©normĂ©ment de choses que d’autres personnes trouvent inacceptables et injustes. Mais vient un temps oĂč elles ne pardonnent plus elles prennent des dĂ©cisions radicales, et souvent s’y tiennent. »La diffĂ©rence entre les hommes et les femmes Un mec dit Ă  sa copine Femme ça s’écrit avec un E mais ça se prononce avec un A. DĂšs le dĂ©but ont sait que vous ĂȘtes compliquĂ©es ! » La femme rĂ©pond Ă  son copain Homme ça s’écrit avec un H mais cette premiĂšre lettre ne se prononce pas. DĂšs le dĂ©but, les filles savent que les garçons ne servent Ă  rien ! »L’amour d’une femme pour un homme Quand une femme aime un homme, elle aime cet homme et la seule personne qui peut dĂ©truire cet amour merveilleux, c’est cet homme. »Un amour non rĂ©ciproque Ne fais jamais faire d’une personne une prioritĂ©, lorsque pour elle tu n’es qu’une option. »Phrase de colĂšre pour ses amis – ami ou amieRupture en amitiĂ© J’ai placĂ© trop de virgules dans mes relations lĂ  oĂč j’aurais dĂ» mettre des points ! »Sms Ă  une amie qui ne nous parle plus Je pensais que les mots faisaient mal, mais en fait c’est ton silence qui me tue. »⇒ Envoyer un beau message de rĂ©conciliation Ă  une personne avec qui on est fĂąchĂ© aprĂšs une du manipulateur Les amis manipulateurs sont ceux qui te mentent, te trompent, te traitent mal et qui parviennent Ă  te faire croire que c’est de ta faute. »Pour une dispute entre un enfant et ses parents PĂšre MĂšre Un vieux sage Ă  dit L’homme jeune marche plus vite que l’ancien, mais l’ancien connait la route. »ReconnaĂźtre ses erreurs Les gens aimeraient que je m’excuse pour mon comportement, mais Ă  aucun moment ils s’excusent de m’avoir mis dans cet Ă©tat. »Citations colĂšre et dĂ©ception – Trahison – MensongePardonner une trahison ou ne pas pardonner ? Donner une deuxiĂšme chance Ă  quelqu’un qui vous a trahis revient Ă  donner une deuxiĂšme balle Ă  une personne qui a tentĂ© de vous tuer. »⇒ Trouver de beaux modĂšles de messages de demande de pardon touchants et plus faire confiance Ă  une personne qui nous a trahi Le mensonge et la tromperie ont une date de pĂ©remption et Ă  la fin tout refait surface. Et en mĂȘme temps, la confiance meurt pour toujours 
 »Rester soi-mĂȘme Ne t’empĂȘche pas d’ĂȘtre toi-mĂȘme. Mieux vaut dĂ©plaire pour ce que tu es que plaire pour ce que tu n’es pas. »Ne pas perdre son temps avec des gens qui n’en valent pas la peine J’ai pas le temps Pour les disputes ou les rancƓurs, les cris et les petits cons, la bĂȘtise humain, rĂąler, mentir, inventer, masquer, manipuler, voler, blesser, haĂŻr, se plaindre, regretter, juger, ressasser, humilier, rabaisser et jalouser. La vie est trop courte perdre son temps avec des mauvaises gens 
 »Blesser un ami – Blesser une amie Blesser quelqu’un est aussi facile que de jeter une pierre dans la mer. Mais avez vous idĂ©e de la profondeur Ă  laquelle la pierre peut s’enfoncer ? »Les traĂźtres et les vrais amis Je n’ai pas le temps de dĂ©tester les gens qui me dĂ©testent ou ceux qui m’ont trahi, car je suis trĂšs occupĂ©e Ă  aimer ceux qui en valent vraiment la peine. »Exprimer sa colĂšre avec humour et un message drĂŽleRien de mieux que l’humour et la dĂ©rision pour exprimer Ă  l’autre son mĂ©contentement avec un phrase drĂŽle mais une fille qui parle dans notre dos Ignore celles qui te critiquent, une lionne ne se retourne jamais quand une chienne aboie derriĂšre son dos. »Message Ă  un con ou une conne Il paraĂźt que la connerie ça se cultive 
 Ben j’en connais un bon paquet qui ont la main verte !!! »Ne jamais Ă©nervĂ© une fille Si une fille est en colĂšre et qu’elle reste silencieuse, ne prends pas son comportement pour de la faiblesse. Elle est juste en nĂ©gociation avec le diable pour dĂ©finir un plan afin de t’éliminer. Et le diable essayĂ© de la calmer
 »PriĂšre pour ne pas se fĂącher ! Seigneur Donne-moi la patience car si tu me donnes la force, je lui Ă©clate la gueule ! »Le prix d’un mensonge Si mentir Ă©tait un emploi qui rapportait, je connais plusieurs personnes qui serait milliardaires ! »Je ne veux plus te parler 
 Parle-moi seulement quand ça t’arrange, je te rĂ©pondrai seulement quand je m’ennuie. »Une femme a une bonne mĂ©moire Une femme n’oublie pas 
 Elle archive 
 »À une personne hypocrite Les personnes hypocrites sont comme des escargots. Elles bavent quand vous ĂȘtes loin loin mais dĂšs que vous vous approchez, elle se planque lĂąchement dans leur coquille 
 »Citations colĂšre – Haine – MĂ©contentementCitation sur les blessures en amitiĂ© de Tom Gate La colĂšre est juste une extension lĂąche de la tristesse. Il est beaucoup plus facile d’ĂȘtre en colĂšre contre quelqu’un que de lui dire que vous ĂȘtes blessĂ©s. »Belle parole de sagesse sur la ColĂšre de Bouddha S’accrocher Ă  la colĂšre c’est comme boire du poison et s’attendre Ă  ce que celui qui nous a fait mal meurt. »Belle parole de sagesse d’un moine tibĂ©tain La colĂšre c’est la punition que vous vous infligez pour une faut commise par quel’un d’autre. »Proverbe arabe de Ain Ibn Abu Talib Un moment de patience dans un moment de colĂšre empĂȘche mille moments de regret. »Les raisons de la colĂšre et leurs consĂ©quences Les effets de la colĂšre sont beaucoup plus graves que les causes. » Marc-AurĂšleExprimer sa colĂšre – Citation de Teen Wolf Quand la colĂšre monte, Elle peut ressortir de deux maniĂšres. Soit en s’en prenant aux autres Soit en s’en prenant Ă  soi-mĂȘme. »Une souffrance cachĂ©e – Citation Ekhart Tolle La colĂšre cache toujours de la souffrance. »S’éloigner des personnes malsaines Savoir ignorer certaines personnes malveillantes est aussi le meilleur chemin vers la paix intĂ©rieure. » La vie devient plus facile lorsqu’on Ă©loigne de soi ceux et celles qui la rendent plus compliquĂ©e. »Citation pour les personnes qui nous jugent RĂ©flĂ©chir c’est difficile, c’est pourquoi la plupart des gens jugent. » Citation de Carl. G. JUNGPhrases l’hypocrisie et les personnes hypocriteLes imbĂ©ciles heureux ! Je fais semblant d’ĂȘtre stupide pour ne pas ĂȘtre ennuyĂ© par ceux qui font semblant d’ĂȘtre intelligents. »Une personne double faces C’est quand je vous ai vu rire avec les personnes que vous avez critiquĂ©es que j’ai compris qui vous Ă©tiez vraiment. »Il faut se mĂ©fier des apparences Ne fais pas confiance Ă  tout ce que tu vois 
 MĂȘme le sel ressemble au sucre 
 »Ne pas ĂȘtre hypocrite et rester fidĂšle Ă  soi-mĂȘme Je prĂ©fĂšre ĂȘtre franche et honnĂȘte, peu entourĂ© et pouvoir me regarder dans un glace plutĂŽt que de mentir, ĂȘtre hypocrite et entourĂ©e de mauvaises personnes. »L’amitiĂ© des personnes hypocrites Les personnes franches n’ont pas beaucoup d’amis. Les hypocrites par contre des tonnes d’amis. »Ne pas faire semblant et rester soi-mĂȘme Je suis arrivĂ© Ă  un stade oĂč je me fiche que les gens m’aiment ou non. Tu m’aimes c’est bien 
 Tu ne m’aimes pas tant pis 
 Cela ne changera pas ma façon de vivre ma vie. »PoĂšme colĂšre – PoĂ©sie pour calmer sa colĂšrrePetite poĂ©sie Ă  lire Ă  un enfant colĂ©rique pour l’apaiser et le calmer avant de s’endormir. Un texte drĂŽle en forme de message de rĂ©conciliation et de colĂšreCe matin, j’ai mangĂ© de la colĂšreĂ  la petite mis plein de mauvaise ma tartine au la journĂ©e, je l’ai passĂ©e Ă  grognerĂ  donner des coup de piedset Ă  dire C’est bien fait !Mais maintenant, ça suffitJ’ai envie que ce soit avant d’aller me coucher,Et je voudrais vous apporterUne salade de baisersBien frais, bien doux, bien trĂšs facile Ă  veut la goĂ»ter ?PoĂšme colĂ©rique et sympatrique de Monique MĂŒllerModĂšle de message de colĂšre – Lettre pour exprimer sa colĂšreModĂšle de message pour exprimer sa colĂšre Ă  une personneExemple de lettre de colĂšre Ă  une personne ou un ami ou message mail pour exprimer son mĂ©contentement Ă  un homme ou une femme que l’on sa dĂ©ception avec un beau textePrĂ©nom Ă  qui s’adresse la colĂšreJe t’écris cette lettre car je suis trĂšs en colĂšre contre toi. Ma colĂšre est tellement grande que je ne suis pas en capacitĂ© pour l’instant de parler de façon directe avec choisi donc de t’exprimer mon mĂ©contentement par ce as-tu Ă©tĂ© si mĂ©chant avec moi hier ? Pourquoi cette mĂ©chancetĂ© n’ai pas du tout apprĂ©ciĂ© la façon dont tu m’as parlĂ© hier. Tu Ă©tais certainement en colĂšre, ce qu’il m’a fallu d’ailleurs devinĂ© puisque tu n’as pas daignĂ© me donner la moindre explication. Mais je le rĂ©pĂšte, je n’ai pas du tout paroles m’ont fait mal !Rien ne justifiait les choses que tu as dites et si je suis parti si vite c’était pour Ă©viter de te gifler devant tout le monde, ce qui n’aurait rien me suis senti insultĂ© et non respectĂ© par toi. J’aurais aimĂ© que tu te montres plus respectueux Ă  mon sais que ces derniers temps tu connais des Ă©preuves et des moments difficiles. Mais sache que rien ne justifie ton comportement et ton attitude mĂ©prisante Ă  mon peux trĂšs bien comprendre que tu aies des problĂšmes mais je ne vois pas pourquoi je devrais en subir les consĂ©quences. A moins, bien sĂ»r, que ce soit moi la source de tes problĂšmes si c’est le cas, dis-le moi franchement au lieu de te montrer stupidement t’estime et je te respecteTu sais que je suis une personne disponible pour toi. J’ai toujours Ă©tĂ© en ton Ă©coute. Je ne demande pas de la reconnaissance mais cela du ma colĂšre par ce message m’a fait du bien. Cependant, j’attends des excuses et certainement des explications de ta ne veux pas te forcer Ă  me demander pardon. Je t’ai dĂ©jĂ  pardonnĂ©. Mais je veux au moins que tu m’expliques pourquoi tu es si dur avec tu n’es pas capable de me parler, tu peux m’envoyer un message par mail ou me ami blessĂ© – une amie blessĂ© – dans son amitiĂ© ou son de la personne en colĂšreModĂšle de messages pour dire sa colĂšre Ă  une personneExemples de lettres de colĂšre Ă  une personne ou une amie♠♠♠⇒ AprĂšs ces modĂšles de textes pour exprimer son mĂ©contentement et sa dĂ©ception lire ces modĂšles de lettres de rupture amoureuse et ces beaux messages pour dire tu me manques Ă  une amie ou un ex qui nous manque.
17 ÉphĂ©siens 4:16 « De lui, tout le corps, uni et maintenu ensemble par chaque ligament de soutien, grandit et se construit dans l'amour, tandis que chaque partie fait son travail. 18. EphĂ©siens 4:12 "Christ a donnĂ© ces dons pour prĂ©parer le peuple saint de Dieu Ă  l'Ɠuvre de service, pour rendre le corps de Christ plus fort." DeutĂ©ronome 316 Fortifiez-vous et ayez du courage ! Ne craignez point et ne soyez point effrayĂ©s devant eux ; car l’Éternel, ton Dieu, marchera lui-mĂȘme avec toi, il ne te dĂ©laissera point, il ne t’abandonnera point. 2 Chroniques 327 Fortifiez-vous et ayez du courage ! Ne craignez point et ne soyez point effrayĂ©s devant le roi d’Assyrie et devant toute la multitude qui est avec lui ; car avec nous il y a plus qu’avec lui. 2 Samuel 1012 Sois ferme, et montrons du courage pour notre peuple et pour les villes de notre Dieu, et que l’Éternel fasse ce qui lui semblera bon ! HĂ©breux 1127 C’est par la foi qu’il quitta l’Égypte, sans ĂȘtre effrayĂ© de la colĂšre du roi ; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible. Daniel 317 Voici, notre Dieu que nous servons peut nous dĂ©livrer de la fournaise ardente, et il nous dĂ©livrera de ta main, ĂŽ roi. 2 TimothĂ©e 17 Car ce n’est pas un esprit de timiditĂ© que Dieu nous a donnĂ©, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse. Psaumes 271 De David. L’Éternel est ma lumiĂšre et mon salut De qui aurais-je crainte ? L’Éternel est le soutien de ma vie De qui aurais-je peur ? ï»ż Notezcette citation : - Note moyenne : 4.63 /5 (sur 468 votes) La loi de la pesanteur n' agit pas sur les sociĂ©tĂ©s humaines, et ce n'est pas dans les lieux bas qu' elles trouvent leur Ă©quilibre. Discours du 30 juillet 1903 Ă  Albi. de. Jean JaurĂšs. RĂ©fĂ©rences de Jean JaurĂšs -

La piĂšce de théùtre d’Olympe de Gouges L’esclavage des Noirs ne semble pas ĂȘtre la meilleure base pour Ă©tudier son engagement et ses arguments en faveur de l’abolition de l’esclavage. Olympe de Gouges prĂ©sente cette piĂšce de 1783 comme la premiĂšre qu’elle ait Ă©crite avec l’ambition d’affronter la scĂšne de la ComĂ©die française. Soit trois ans avant la parution du livre de J. P. Brissot sur le mĂȘme sujet, cinq ans avant la crĂ©ation de la SociĂ©tĂ© des Amis des Noirs. Cette forme de théùtre protestataire, qui s’affirmera dans les piĂšces Ă  venir et traitera de toutes les injustices Ă  corriger dans la sociĂ©tĂ© de son Ă©poque, vaut surtout par son esprit d’avant-garde et son audace. C’est Ă  propos de cette piĂšce qu’elle fut menacĂ©e de mort et de lettre de cachet. Le style est empruntĂ© Ă  celui de la mode de l’époque larmoyant et exotique, Ă  la Bernardin de Saint-Pierre. Les modifications et les corrections, qu’elle a multipliĂ©es jusqu’à la version dĂ©finitive de 1792, confirment son insatisfaction. Le plaidoyer contre l’esclavage se brouille et se perd avec l’intervention d’une fille naturelle Ă  la recherche de son pĂšre, en Ă©cho Ă  l’oeuvre autobiographique qu’elle Ă©crivait en mĂȘme temps, MĂ©moire de Madame de autres textes rendent plus justement compte de l’argumentation d’Olympe de Gouges contre l’esclavage. - Il s’agit, dans son intĂ©gralitĂ©, de RĂ©flexions sur les Hommes nĂšgres 1788 oĂč elle dit, en commençant, son Ă©motion de petite fille devant la violence d’un racisme Ă  l’égard d’une "nĂ©gresse" sur le marchĂ© de Montauban, sa ville natale. - C’est, ensuite, le dernier chapitre de sa DĂ©claration des Droits de la Femme et de la Citoyenne de 1791, qu’elle consacre Ă  cette prĂ©occupation centrale dans sa pensĂ©e le sort des esclaves - huit ans aprĂšs de L'esclavage des Noirs. L’abolition de l’esclavage est, pour elle, le premier acte de libĂ©ration nĂ©cessaire, qui conditionne l’avĂšnement de tous les autres droits Ă  la libertĂ© et Ă  l’égalitĂ© entre tous les ĂȘtres humains. Y compris les Droits de la Femme qui, dans sa pensĂ©e, en sont l’une des DaĂ«lPrĂ©sidente de l’association des Ă©ditions Cocagne qui publie les Ɠuvres complĂštes d’Olympe de Olivier Blanc prĂ©cise que, selon les papiers du Girondin Jean-Pierre Olympe de Gouges, faisait partie de la SociĂ©tĂ© des amis des Noirs, qui ne comptait que quelques femmes. FondĂ©e en 1787 Ă  Londres, l'association des Amis des Noirs, eut une filiale française Ă  compter du 19 fĂ©vrier 1788, grĂące Ă  Brissot, "le premier Français Ă  avoir voulu organiser la lutte contre l'esclavage" 1. Condorcet, l'abbĂ© GrĂ©goire, SiĂ©yĂšs, Mirabeau, La Fayette en Ă©taient membres Ă©galement. Son but Ă©tait l'abolition de la traite et la disparition progressive de l' souligne le courage de l'engagement d'Olympe de Gouges, "encore plus cĂ©lĂšbre par son patriotisme et son amour de la libertĂ© que par sa beautĂ© et plusieurs ouvrages Ă©crits parfois avec Ă©lĂ©gance, toujours avec une noble Ă©nergie [rien de plus juste, soit dit en passant]. Admise dans notre sociĂ©tĂ©, poursuit-il, les premiers essais de sa plume furent consacrĂ©s aux malheureux que tous nos efforts ne pouvaient arracher Ă  l'esclavage. [...] Il y avait du courage chez Olympe de Gouges Ă  plaider leur cause au moment oĂč le plus violent orage Ă©clatait contre leurs dĂ©fenseurs. 2" L'abbĂ© GrĂ©goire mentionne lui aussi la prĂ©sence d'Olympe de Gouges parmi les "hommes courageux qui ont plaidĂ© la cause des malheureux Noirs et sang-mĂȘlĂ©s." Courageuse en effet il fallait qu'elle fut car elle reçut des menaces de mort et faillit ĂȘtre embastillĂ© comme Brissot. Pour en savoir plus, je vous recommande la biographie que lui a consacrĂ© Olivier Blanc et qui se fonde sur une minutieuse enquĂȘte et un grand nombre de documents d' DuvergerExtrait de L'esclavage des Noirs premiĂšre version en 1783, version dĂ©finitive en 1792Zamor a tuĂ© l'homme de confiance de son maĂźtre l'amante de Zamor, Mirza, a rĂ©sistĂ© aux assauts de cet intendant, qui par sadisme a exigĂ© de Zamor qu'il supplicie Mirza. Zamor et Mirza se sont rĂ©fugiĂ©s sur une Ăźle dĂ©serte. Un bĂąteau fait naufrage. Zamor sauve Sophie, l'Ă©pouse de ValĂšre, qui est aussi, sans le savoir, la fille du gouverneur de la colonie, M. de Le peu que je sais, je te le dois, Zamor ; mais, dis-moi, pourquoi les EuropĂ©ens et les habitants ont-ils tant d’avantages sur nous, pauvres esclaves ? Ils sont cependant faits comme nous, nous sommes des hommes comme eux pourquoi donc une si grande diffĂ©rence de leur espĂšce Ă  la nĂŽtre ?ZAMOR Cette diffĂ©rence est bien peu de chose ; elle n’existe que dans la couleur ; mais les avantages qu’ils ont sur nous sont immenses. L’art les a mis au-dessus de la nature l’instruction en a fait des dieux et nous ne sommes que des hommes. Ils se servent de nous dans ces climats comme ils se servent des animaux dans les leurs. Ils sont venus dans ces contrĂ©es, se sont emparĂ© des terres, des fortunes, des naturels, des Ăźles et ces fiers ravisseurs des propriĂ©tĂ©s d’un peuple doux, et paisible dans ses foyers, firent couler tout le sang de leur nobles victimes, se partagĂšrent entre eux leurs dĂ©pouilles sanglantes, et nous ont faits esclaves pour rĂ©compense des richesses qu’ils nous ont ravies, et que nous leur conservons. Ce sont leurs propres champs qu’ils moissonnent, semĂ©s de cadavres d’habitants, et ces moissons sont actuellement arrosĂ©es de nos sueurs et de nos larmes. La plupart de ces aĂźtres barbares nous traitent avec une cruautĂ© qui fait frĂ©mir la Nature. Notre espĂšce trop malheureuse s’est habituĂ©e Ă  ces chĂątiments. Il se gardent bien de nous instruire. Si nos yeux venaient Ă  s’ouvrir, nous aurions horreur de l’état oĂč ils nous ont rĂ©duits, et nous pourrions secouer un joug aussi cruel que honteux ; mais est-il en notre pouvoir de changer notre sort ? L’homme avili par l’esclavage a perdu toute son Ă©nergie, et les plus abrutis d’entre nous sont les moins malheureux. J’ai tĂ©moignĂ© toujours le mĂȘme zĂšle Ă  mon maĂźtre ; mais je me suis bien gardĂ© de faire connaĂźtre ma façon de penser Ă  mes camarades. Dieu ! DĂ©tourne le prĂ©sage qui menace encore ce climat, amollis le cƓur de nos tyrans, et rends Ă  l’homme le droit qu’il a perdu dans le sein mĂȘme de la Que nous sommes Ă  plaindre !ZAMOR Peut-ĂȘtre avant peu notre sort va changer. Une morale douce et consolante a fait tomber en Europe le voile de l’erreur. Les hommes Ă©clairĂ©s jettent sur nous des regards attendris nous leur devrons le retour de cette prĂ©cieuse libertĂ©, le premier trĂ©sor de l’homme, et dont des ravisseurs cruels nous ont privĂ©s depuis si longtemps....VALÈRE Je n’ai pas vu de plus jolie Vous vous moquez, je ne suis pas cependant la plus jolie ; mais, dites-moi, les Françaises sont-elles toutes aussi belles que vous ? Elles doivent l’ĂȘtre, car es Français sont tous bons, et vous n’ĂȘtes pas Non, les Français voient avec horreur l’esclavage. Plus libres un jour, ils s’occuperont d’adoucir votre avec surprise Plus libres un jour ? Comment ? Est-ce que vous ne l’ĂȘtes pas ?VALÈRE Nous sommes libres en apparence, mais nos fers n’en sont que plus pesants. Depuis plusieurs siĂšcles, les Français gĂ©missent sous le despotisme des ministres et des courtisans. Le pouvoir d’un seul maĂźtre est dans les mains de mille tyrans qui foulent son peuple. Ce peuple un jour brisera ses fers, et reprenant tous ses droits Ă©crits dans les lois de la Nature, apprendra aux tyrans ce que peut l’union d’un peuple trop longtemps opprimĂ©, et Ă©clairĂ© par une saine philosophie*.MIRZA Oh, bon Dieu ! Il y a donc partout des hommes mĂ©chants !* Ce dialogue sur la libertĂ© en France Ă©dition de 1792 n’appartenait pas Ă  la premiĂšre Ă©dition 1788....VALÈRE Quel crime avez-vous commis, l’un et l’autre ? Ah, je vois, vous ĂȘtes trop instruit pour un esclave, et votre Ă©ducation a sans doute coĂ»tĂ© cher Ă  celui qui vous l’a monsieur, n’ayez point sur moi les prĂ©jugĂ©s de vos semblables. J’avais un maĂźtre qui m’était cher, j’aurais sacrifiĂ© ma vie pour prolonger ses jours ; mais son intendant Ă©tait un monstre dont j’ai purgĂ© la terre. Il aima Mirza ; mais son amour fut mĂ©prisĂ©. Il apprit qu’elle me prĂ©fĂ©rait et, dans sa fureur, il me fit Ă©prouver des traitements affreux mais le plus terrible fut d’exiger de moi que je devinsse l’instrument de sa vengeance contre ma chĂšre Mirza. Je rejetai avec horreur une pareille commission. IrritĂ© de ma dĂ©sobĂ©issance, il courut vers moi, l'Ă©pĂ©e nue ; j’évitai le coup qu’il voulait me porter je le dĂ©sarmai et il tomba mort Ă  mes pieds. Je n’eus que le temps d’enlever Mirza et de fuir avec elle dans une chaloupe. ...CORALINE, en courant Ô mes chers camarades, quelle mauvaise nouvelle je viens vous apprendre ! On assure qu’on a entendu le canon et que Zamor et Mirza sont Allons donc, ce n’est pas possible, Coraline !BETZI Grand Dieu !CORALINE J’étais sur le port au moment qu’on annonçait cette malheureuse nouvelle. Plusieurs colons attendaient avec impatience un navire qu’on dĂ©couvrait dans le lointain. Il est enfin entrĂ© au port et aussitĂŽt tous les habitants l’ont entourĂ© et moi, toute tremblante, je me suis enfuie. Pauvre Mirza ! Malheureux Zamor ! Nos tyrans ne leur feront pas Oh, je t’en rĂ©ponds bien! Ils seront bientĂŽt Sans ĂȘtre entendus ? Sans ĂȘtre jugĂ©s ?CORALINE JugĂ©s ! Il nous est dĂ©fendu d’ĂȘtre innocents et de nous Quelle gĂ©nĂ©rositĂ© ! On nous vend, par dessus le marchĂ©, comme des Un commerce d’hommes ! Ô Ciel ! L’humanitĂ© rĂ©pugne
AZOR C’est bien vrai mon pĂšre et moi avons Ă©tĂ© achetĂ©s Ă  la cĂŽte de Bon, bon, mon pauvre Azor, va. Quel que soit notre dĂ©plorable sort, j’ai un pressentiment que nous ne serons pas toujours dans les fers, et peut-ĂȘtre avant peu
AZOR Eh bien, qu’est-ce que nous verrons ? Serons-nous maĂźtres Ă  notre tour ?CORALINE Peut-ĂȘtre ; mais non, nous serions trop mĂ©chants. Tiens, pour ĂȘtre bons, il ne faut ĂȘtre ni maĂźtre, ni Ni maĂźtre, ni esclave ? Oh, oh ! Et que veux-tu donc que nous soyons ? Sais-tu, Coraline, que tu ne sais plus ce que tu dis, quoique nos camarades assurent que tu en sais plus que nous ?CORALINE Va, va, mon pauvre garçon, si tu savais ce que je sais ! J’ai lu dans un certain livre, que pour ĂȘtre heureux il ne fallait qu’ĂȘtre libre et bon cultivateur. Il ne nous manque que la libertĂ©. Qu’on nous la donne, et tu verras qu’il n’y aura plus ni maĂźtres, ni esclaves !... DE SAINT-FRÉMONT Je n’ai point le bonheur d’ĂȘtre nĂ© dans vos climats ; mais quel empire n’ont point ces malheureux sur les Ăąmes sensibles ! Ce n’est point votre faute si les mƓurs de votre pays vous ont familiarisĂ© avec ces traitements durs que vous exercez sans remords sur des hommes qui n’ont d’autre dĂ©fense que leur timiditĂ© et dont les travaux, trop mal rĂ©compensĂ©s, accroissent notre fortune en augmentant notre autoritĂ© sur eux. Ils ont mille tyrans pour un. Les souverains rendent leurs peuples heureux ; tout citoyen est libre sous un bon maĂźtre, et dans ce pays d’esclavage, il faut ĂȘtre barbare malgrĂ© soi. Eh, comment puis-je m’empĂȘcher de me livrer Ă  ces rĂ©flexions quand la voix de l’humanitĂ© crie au fond de mon cƓur Sois bon et sensible aux cris des malheureux » ? Je sais que mon opinion doit vous dĂ©plaire l’Europe, cependant, prend soin de la justifier et j’ose espĂ©rer qu’avant peu il n’y aura plus d’esclaves. Ô Louis, ĂŽ monarque adorĂ©, que ne puis-je en ce moment mettre sous tes yeux l’innocence de ces proscrits ! En accordant leur grĂące, tu rendrais la libertĂ© Ă  des hommes trop longtemps mĂ©connus. Mais n’importe vous voulez un exemple, il se fera, quoique les Noirs assurent que Zamor est innocent....SOPHIE Sans le secours de Zamor, aussi intrĂ©pide qu’humain, je pĂ©rissais dans les flots. Je lui dois le bonheur de vous voir. Ce qu’il a fait pour moi lui assure dans mon cƓur les droits de la nature ; mais ces droits ne me rendent point injuste, madame, et le tĂ©moignage qu’ils rendent Ă  vos rares qualitĂ©s fait assez voir qu’ils ne sont point reprochables d’un crime prĂ©mĂ©ditĂ©. Quelle humanitĂ©, quel zĂšle Ă  nous secourir ! Le sort qui les poursuit devrait leur inspirer la crainte plutĂŽt que la pitiĂ© ; mais, loin de se cacher, Zamor a affrontĂ© tous les pĂ©rils. Jugez, madame, si avec ces sentiments d’humanitĂ©, un mortel peut ĂȘtre coupable ; son crime fut involontaire et c’est faire justice que de l’absoudre comme innocent....LE MAJOR, au juge VoilĂ , Monsieur, le fruit d’une trop grande sĂ©vĂ©ritĂ©LE JUGE Votre modĂ©ration perd aujourd’hui la MAJOR dites mieux ; elle le sauve, peut-ĂȘtre. Vous ne connaissez que vos lois cruelles et moi, je connais l’art de la guerre et l’humanitĂ©. Ce ne sont point nos ennemis que nous combattons ; ce sont nos esclaves, ou plutĂŽt nos cultivateurs. Pour les rĂ©duire, il eĂ»t fallu, selon vous, les faire passer au fil de l’épĂ©e et, dans cette circonstance, une imprudence nous mĂšnerait sans doute plus loin que vous ne pensez....ZAMOR 
mes chers amis Ă©coutez-moi Ă  mon dernier moment. Je quitte la vie, je meurs innocent. Mais craignez de vous rendre coupables pour me dĂ©fendre craignez surtout cet esprit de faction, et ne vous livrez jamais Ă  des excĂšs pour sortir de l’esclavage ; craignez de briser vos fers avec trop de violence ; attendez tout du temps et de la justice divine, remplacez-nous auprĂšs de M. le gouverneur, de sa respectable Ă©pouse. Payez-les par votre zĂšle et par votre attachement de tout ce que je leur dois. HĂ©las ! je ne puis m’acquitter envers eux. ChĂ©rissez ce bon maĂźtre, ce bon pĂšre, avec une tendresse filiale, comme je l’ai toujours fait. Je mourrais content, si je pouvais croire du moins qu’il me regrette !Extrait du Tome I des ƒuvres complĂštesDernier paragraphe de la DĂ©claration des Droits de la Femme et de la Citoyenne 1791Il Ă©tait bien nĂ©cessaire que je dise quelques mots sur les troubles que cause, dit-on, le dĂ©cret en faveur des hommes de couleur, dans nos Ăźles. C’est lĂ  oĂč la nature frĂ©mit d’horreur ; c’est lĂ  oĂč la raison et l’humanitĂ© n’ont pas encore touchĂ© les Ăąmes endurcies ; c’est lĂ  surtout oĂč la division et la discorde agitent leurs habitants. Il n’est pas difficile de deviner les instigateurs de ces fermentations incendiaires il y en a dans le sein mĂȘme de l’AssemblĂ©e nationale ils allument en Europe le feu qui doit embraser l’AmĂ©rique. Les colons prĂ©tendent rĂ©gner en despotes sur des hommes dont ils sont les pĂšres et les frĂšres ; et, mĂ©connaissant les droits de la nature, ils en poursuivent la source jusque dans la plus petite teinte de leur sang. Ces colons inhumains disent Notre sang circule dans leurs veines, mais nous le rĂ©pandrons tout, s’il le faut, pour assouvir notre cupiditĂ©, ou notre aveugle ambition ». C’est dans ces lieux les plus prĂšs de la nature que le pĂšre mĂ©connaĂźt le fils ; sourd aux cris du sang, il en Ă©touffe tous les charmes ; que peut-on espĂ©rer de la rĂ©sistance qu’on lui oppose ? La contraindre avec violence, c’est la rendre terrible ; la laisser encore dans les fers, c’est acheminer toutes les calamitĂ©s vers l’AmĂ©rique. Une main divine semble rĂ©pandre partout l’apanage de l’homme la libertĂ© ; la loi seule a le droit de rĂ©primer cette libertĂ©, si elle dĂ©gĂ©nĂšre en licence ; mais elle doit ĂȘtre Ă©gale pour tous, c’est elle surtout qui doit raffermir l’AssemblĂ©e nationale dans son dĂ©cret, dictĂ© par la prudence et par la agir de mĂȘme pour l’État de la France et se rendre aussi attentive sur les nouveaux abus, comme elle l’a Ă©tĂ© sur les anciens qui deviennent chaque jour plus effroyables ! Mon opinion serait encore de raccommoder le pouvoir exĂ©cutif avec le pouvoir lĂ©gislatif, car il semble que l’un est tout et que l’autre n’est rien ; d’oĂč naĂźtra, malheureusement peut-ĂȘtre, la perte de l’empire français2. Je considĂšre ces deux pouvoirs comme l’homme et la femme qui doivent ĂȘtre unis, mais Ă©gaux en force et en vertu pour faire un bon sur les hommes nĂšgres 1788L’espĂšce d’hommes nĂšgres m’a toujours intĂ©ressĂ©e Ă  son dĂ©plorable sort. À peine mes connaissances commençaient Ă  se dĂ©velopper, et dans l’ñge oĂč les enfants ne pensent pas, que l’aspect d’une NĂ©gresse que je vis pour la premiĂšre fois, me porta Ă  rĂ©flĂ©chir, et Ă  faire des questions sur sa que je pus interroger alors ne satisfirent point ma curiositĂ© et mon raisonnement. Ils traitaient ces gens-lĂ  de brutes, d’ĂȘtres que le Ciel avait maudits mais, en avançant en Ăąge, je vis clairement que c’était la force et le prĂ©jugĂ© qui les avaient condamnĂ©s Ă  cet horrible esclavage, que la nature n’y avait aucune part, et que l’injuste et puissant intĂ©rĂȘt des Blancs avait tout depuis longtemps de cette vĂ©ritĂ© et de leur affreuse situation, je traitai leur histoire dans le premier sujet dramatique qui sortit de mon imagination
Revenons Ă  l’effroyable sort des NĂšgres. Quand s’occupera-t-on de le changer, ou du moins de l’adoucir ? Je ne connais rien Ă  la politique des gouvernements ; mais ils sont justes, et jamais la loi naturelle ne s’y fit mieux sentir. Ils portent un Ɠil favorable sur tous les premiers abus. L’homme partout est Ă©gal. Les rois justes ne veulent point d’esclaves. Ils savent qu’ils ont des sujets soumis, et la France n’abandonnera pas des malheureux qui souffrent mille trĂ©pas pour un, depuis que l’intĂ©rĂȘt et l’ambition ont Ă©tĂ© habiter les Ăźles les plus inconnues. Les EuropĂ©ens, avides de sang et de ce mĂ©tal que la cupiditĂ© a nommĂ© l’or, ont fait changer la nature dans ces climats heureux. Le pĂšre a mĂ©connu son enfant, le fils a sacrifiĂ© son pĂšre, les frĂšres se sont combattus, et les vaincus ont Ă©tĂ© vendus comme des bƓufs au marchĂ©. Que dis-je ? C’est devenu un commerce dans les quatre parties du commerce d’hommes !
 Grand Dieu !
 Et la nature ne frĂ©mit pas ! S’ils sont des animaux, ne le sommes-nous pas comme eux ? Et en quoi les Blancs diffĂšrent-ils de cette espĂšce ? C’est dans la couleur
 Pourquoi la blonde fade ne veut-elle pas avoir la prĂ©fĂ©rence sur la brune qui tient du mulĂątre ? Cette sensation est aussi frappante que du nĂšgre au couleur de l’homme est nuancĂ©e, comme dans tous les animaux que la nature a produits, ainsi que les plantes et les minĂ©raux. Pourquoi le jour ne le dispute-t-il pas Ă  la nuit, le soleil Ă  la lune, et les Ă©toiles au firmament ? Tout est variĂ©, et c’est lĂ  la beautĂ© de la nature. Pourquoi donc dĂ©truire son ouvrage ?L’homme n’est-il pas son plus beau chef-d’Ɠuvre ? L’Ottoman fait bien des Blancs ce que nous faisons des NĂšgres nous le traitons cependant de barbare et d’homme inhumain, et nous exerçons la mĂȘme cruautĂ© sur des hommes qui n’ont aucune rĂ©sistance que leur quand cette soumission s’est une fois lassĂ©e, que produit le despotisme barbare des habitants des Ăźles et des Indes ? Des rĂ©voltes de toute espĂšce, des carnages que la puissance des troupes ne fait qu’augmenter, des empoisonnements, et tout ce que l’homme peut faire quand une fois il est rĂ©voltĂ©. N’est-il pas atroce aux EuropĂ©ens, qui ont acquis par leur industrie des habitations considĂ©rables, de faire rouer de coups, du matin au soir, ces infortunĂ©s qui n’en cultiveraient pas moins leurs champs fertiles, s’ils avaient plus de libertĂ© et de douceur ?Leur sort n’est-il pas des plus cruels, leurs travaux assez pĂ©nibles, sans qu’on exerce sur eux, pour la plus petite faute, les plus horribles chĂątiments ? On parle de changer leur sort, de proposer les moyens de l’adoucir, sans craindre que cette espĂšce d’hommes fasse un mauvais usage d’une libertĂ© entiĂšre ou n’entends rien Ă  la politique. On augure qu’une libertĂ© gĂ©nĂ©rale rendrait les hommes NĂšgres aussi essentiels que les Blancs qu’aprĂšs les avoir laissĂ©s maĂźtres de leur sort, il le soient de leurs volontĂ©s ; qu’ils puissent Ă©lever leurs enfants auprĂšs d’eux. Ils seront plus exacts aux travaux, et plus zĂ©lĂ©s. L’esprit de parti ne les tourmentera plus, le droit de s’élever comme les autres hommes les rendra plus sages et plus humains. Il n’y aura plus Ă  craindre de conspirations funestes. Ils seront les cultivateurs libres de leurs contrĂ©es, comme les laboureurs en Europe. Ils ne quitteront point leurs champs pour aller chez les nations libertĂ© des NĂšgres fera quelques dĂ©serteurs, mais beaucoup moins que les habitants des campagnes françaises. À peine les jeunes villageois ont obtenu l’ñge, la force et le courage, qu’ils s’acheminent vers la capitale pour y prendre le noble emploi de laquais ou de crocheteur il y a cent serviteurs pour une place, tandis que nos champs manquent de cultivateurs. Cette libertĂ© multiplie un nombre infini d’oisifs, de malheureux, enfin de mauvais sujets de toute espĂšce qu’on mette une limite sage et salutaire Ă  chaque peuple, c’est l’art des souverains, et des États rĂ©publicains
ƒuvres complĂštes, tome IV, p. 117-118Notes1. O. Blanc, Olympe de Gouges. Des droits de la femme Ă  la guillotine, Tallandier, 2014, p. Ibid., p. 90-91.

1Soy.
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