Maisil est tout Ă  fait possible de n'avoir aucun symptĂŽme. Une fausse couche trĂšs prĂ©coce, dite aussi « grossesse chimique », est souvent assimilĂ©e Ă  un retard de rĂšgles. Il arrive aussi qu'une grossesse s'arrĂȘte abruptement sans symptĂŽmes particuliers et sans Code embed Une femme a fait pipi sur le sol au milieu du magasin. Soit elle avait une envie pressante soit elle est dĂ©rangĂ©e femme magasin pipi sol Favoris Signaler Article + 45 commentaires Maisil est tout Ă  fait possible de n'avoir aucun symptĂŽme. Une fausse couche trĂšs prĂ©coce, dite aussi « grossesse chimique », est souvent assimilĂ©e Ă  un retard de rĂšgles. Il arrive aussi qu'une grossesse s'arrĂȘte abruptement sans symptĂŽmes particuliers et sans que la femme s'en aperçoive.. 1đŸšŒ đŸ‡šđŸ‡” En couche chez mamiepar BabyjohnTom et Lily, 9 ans tous les deux, sont des amis d'enfance. Quand Tom propose Ă  Lily de l'accompagner 15 jours chez sa mamie, elle accepte avec joie tellement elle a ente... 3Thomas et les couchespar Thomas ParteThomas est un garçon de 8 ans. Depuis tout petit, il fait pipi au lit. Alors qu'il pensait ĂȘtre seul, il dĂ©couvre qu'il n'est pas le seul dans cette situation... 7testeur de couchespar Arthurhbonjour ,ceci est une histoire fictive , créée un peut a la volĂ©e ,ce qui le vient Ă  l esprit ,donc j'accepte les critiques comme les compliments !!!!!!!!!!! 8Moi, Babyboypar lulcieLouis, 15 ans, est en seconde et pratique l'ageplay depuis moins d'un an. Malheureusement il n'arrive pas Ă  trouver un daddy. Mais que se passera-t-il lorsque que son pr... 12Daddy's BabyGirl [En Pause]par LĂ©na Éla//PAUSE JUSQU'À 30 AOÛT 2022\\ Un endroit tenu secret depuis 30 ans, enlĂšve des femmes pour les vendre pour assouvir le dĂ©sir des hommes. Pour n'importe quel dĂ©sir des h... 14Emmie se dĂ©guisepar DaddyCool60Les enfants sont souvent pressĂ©s de grandir. Mais certains font tout pour retarder l'Ă©chĂ©ance et profitent au maximum des avantages de la petite enfance. C'est le cas d'... 16Boku wa Papa desu ka ?par TogoNogamiAshigara Minato est un jeune cadre de 24 ans. Brillamment diplĂŽmĂ© d'une grande Ă©cole de Commerce Ă  Paris, il aime son travail, il fait du sport rĂ©guliĂšrement, il cuisine... 17Un confinement....enfantin par Paul-1997-Avant toute chose je tiens Ă  prĂ©ciser que cette histoire est une fiction mais que je me met dans la peau du personnage et que le rythme de diffusion ne sera pas rĂ©gulier... 18LangĂ©e ABDLpar anonyzeeL'histoire d'une jeune fille, Émilie, ayant une passion bien Ă©trange, et peu commune. En effet, Emilie porte des couches alors qu'elle ne devrait pas en avoir besoin e...

Ila une bonne expérience et il assume bien sa situation. Il n'est pas le seul. Cela doit te réconforter. Il y a bien plus d'adultes qui sont incontinents que de bébés. Ce n'est pas pour autant qu'on redevient bébé en faisant pipi sur soi. Par contre, il est vrai, que de faire pipi dans ses couches procure un plaisir pour certains comme

Huggies a présenté Tweet Pee, un capteur Bluetooth qui prévient les parents lorsque bébé a fait pipi dans sa couche. Accompagné d'une application dédiée, le gadget permet aussi de garder un oeil sur le stock de couches en réserve, avant de devoir en acheter de nouvelles. Le 20Úme siÚcle a vu l'avÚnement des couches jetables. Le 21Úme siÚcle verra l'éclosion des couches et toilettes communicantes ! La filiale brésilienne de Huggies a mis au point Tweet Pee, un capteur à installer par dessus la couche du bébé, qui envoie des informations sur l'humidité de la couche, vers le smartphone du parent, en Bluetooth. Lorsque l'enfant fait pipi, un message est envoyé au parent pour le prévenir qu'il faut changer bébé. Il ne s'agit pas d'un "tweet" sur Twitter, mais simplement d'un message adressé au seul utilisateur du smartphone. L'application installée permet ainsi de revoir l'historique des changements de couche, et permet surtout à Huggies de proposer de livrer des couches lorsque le stock arrive à son terme. Le fabricant, qui sait combien de couches ont été livrées la derniÚre fois, peut en effet savoir grùce à Tweet Pee combien de couches ont été utilisées. Aussi originale qu'elle paraisse, l'idée n'est toutefois pas nouvelle. Hipoglós, qui est la marque brésilienne de Pampers par la maison mÚre Procter & Gamble, avait déjà présenté un concept similaire d'alertes Bluetooth en cas de détection urinaire, mais sans aller jusqu'à l'associer à un service de commande de couches. Mais quel pÚre osera mettre un capteur qui émet des ondes au dessus des coucougnettes de son fils ? >
Dansune rue de Las Vegas (Nevada), une femme danse au-dessus d'un homme torse nu allongé sur le sol. Mais soudain, la danseuse se lùche un peu trop et fait accidentellement pipi sur le garçon qui n'en demandait pas tant. Rassurez-vous, il
Bonjour a toutes je me prĂ©sente je m'appelle Aria je suis un travestie je porte des couches culottes dry nites fille j'ai 31 ans je suis trĂšs heureuse comme sa je fais que pipi dedans pour les curieux sa fait depuis mes 16ans que je suis comme sa et j'assume je fais un sortes que ma couche culotte tramper se voit a travers se que je porte c'est compliquĂ© vis a vis des autres personnes mes je fais de mal Ă  personne c'est mon plaisir es se que il y a d'autres filles femmes qui son comme moi Merci beaucoup a toutes Merci beaucoup de respecter mon choix et pas d'insultes c'est un forum libre si sa vous plaĂźt pas sa sert a rien de rĂ©pondre passer votre chemin merci beaucoupCordialement Aria Hum.. Y a quand mĂȘme un soucis psy pour aimer baigner dans son jus... Porter des couches culottes et aimer ça pour des raisons pratiques ou alors Ă  cause d'une incontinence OK mais le minimum d'hygiĂšne c'est de la changer lorsque est souillĂ©e... J'avoue que ce n'est pas dĂ©sagrĂ©able de se faire pipi dessus, sous la douche je le fais parfois et dans l'eau de mer.. Mais je ne reste pas dedans ou je me lave tout de suite aprĂšs... Tu n'as pas de soucis de mycose ? Ou d'irritation ? En plus travestis, donc de base un homme, non opĂ©rĂ©.. Ton sexe doit sentir mauvais... J'aime
Lapetite goutte d'urine qui reste souvent dans le caleçon des hommes n'est pas anecdotique Temps de lecture : 7 min. DaphnĂ©e Leportois — 17
Une petite compilation de filles ivres Vidéo n°248 ajoutée le 17/02/2019 1608 dans fun Fail. Elle a été vue 28238 fois, dure 0054 mns et a reçu 23 votes 63%. Voilà une petite compilation d'un certain nombre de filles complÚtement bourrée, certaines tentent de tenir debout quand d'autres prennent des objets vraiment insolite pour rigoler avec leurs copines. Néanmoins de belles chutes sont présentes et un peu de rigolade ne fait de mal à personne ! Ces vidéos devraient vous plaire Nos catégories du moment 11 2 199 14 4 175 37 29
RĂ©ponsedu PĂ©diatre. Chez la plupart des enfants, le contrĂŽle des sphincters suit une sĂ©quence similaire. Tout d'abord, l’enfant acquiert le contrĂŽle du caca pendant la nuit et, plus tard, au cours de la journĂ©e. C’est aprĂšs qu’arrive le contrĂŽle du pipi pendant la journĂ©e et, enfin, la nuit. Ces donnĂ©es sont sujettes Ă  une Accueil > AlsaceAquitaineAuvergneBasse-NormandieBourgogneBretagneCentreChampagne-ArdenneCorseFranche-ComteHaute-NormandieIle-de-FranceLanguedoc-RoussillonLimousinLorraineMidi-PyreneesNord-Pas-de-CalaisPays-de-la-LoirePicardiePoitou-CharentesProvence-Alpes-Cote-dAzurRhone-AlpesMonacoGuadeloupeMartiniqueGuyaneLa-Reunion 72989 Annonces femme qui aime faire pipi dans sa culotte Cherche femme qui aime faire pipi 06 - Alpes-Maritimes > NICE Bonjour, Bel homme de 33 ans de type europĂ©en. Tout est dans le titre, je recherche une...Mesdames envie de goĂ»ter Ă  votre champagne 57 - Moselle > HAGONDANGE Je rĂȘve de voir une femme faire pipi dans sa culotte ou sans culotte pour que je vous... une femme qui aime se faire lĂ©cher aprĂšs un pipi 57 - Moselle > THIONVILLE Bonjour je recherche une femme tout Ăąge qui aime et oseraie me donner un petit...j'ai besoin de recevoir des fessĂ©es 17 - Charente-Maritime > niort Bonjour J'aime et j'ai besoin de recevoir de vraies fessĂ©es dĂ©culottĂ©es, avec dĂ©culottage...homme che femme 974 - Reunion > ste marie cherche femme pour sorti se caresse se touche et rĂ©alisĂ© un fantasme faire pipi dans sa...Fantasme 49 - Maine-et-Loire > ROUSSAY Bonjour, Je suis Ă  la recherche d'une qui accepterais De faire pipi dans sa culotte tout... €je vends mes petites culottes taches 12 - Aveyron > RODEZ je vends mes culottes,string, guĂȘpiĂšres ,jupe mini jupe ,collants ,bas, et bien plus tout...Grande Chienne Sodomie Ă  Found 33 - Gironde > lormont Bonjour 100 roses // tout compris // 69 fella nature Vagin / anal Éjac bouche ...H cherche culotte sale 974 - Reunion > STE CLOTILDE Bjr h cherche culotte sale porter crade avec odeur dedans pipi ou autre pour 30€pour femme urophile donneuse 66 - PyrĂ©nĂ©es-Orientales > perpignan bonjour mes dame je suis un homme de 59 ans passif j aime je recherche des femmes tout...rencontre en couche culotte dans le 30,34,84 30 - Gard > NIMES bonjour je suis un homme DL j’adore ĂȘtre en couche culotte et culotte plastique,je...Cherche jf pour dĂ©couverte des jeux pipi et uro 75 - Paris > PARIS 16EME ARRONDISSEMENT Je suis un jh de 23 ans trĂšs attirĂ© par toutes les pratiques basĂ©es sur le pipi et...Ma culotte trĂšs sale 75 - Paris > paris 7eme arrondissement Femme mariĂ©e 52 ans, blonde, 1m70, 57 kgs, je vends ma culotte portĂ©e longtemps ou trĂšs...Femme pour mon fantasme 49 - Maine-et-Loire > roussay Bonjour, Je cherche une femme qui rĂ©aliserait mon rĂȘve, De faire pipi sur mon torse a...Grand bĂ©bĂ© cĂ©libataire recherche femme 44 - Loire-Atlantique > NANTES Bonjour je suis un bĂ©bĂ© pissous sur loireatlantique recherche une femme pour m'apprendre... 1 current 23 » Liens sponsorisĂ©sLes cougars prĂšs de chez toi Inscris-toi dĂšs maintenant !Femmes mariees, rencontres adulteres discretes. Annonces par localisation algerieallemagnebelgiquecanadaespagnefranceitalieluxembourgportugalmarocroyaume-unisenegalsuissetunisieAlsaceAquitaineAuvergneBasse-NormandieBourgogneBretagneCentreChampagne-ArdenneCorseFranche-ComteHaute-NormandieIle-de-FranceLanguedoc-RoussillonLimousinLorraineMidi-PyreneesNord-Pas-de-CalaisPays-de-la-LoirePicardiePoitou-CharentesProvence-Alpes-Cote-dAzurRhone-AlpesMonacoGuadeloupeMartiniqueGuyaneLa-Reunion Passer une annonce Gratuitement Acceder a mes annonces DerniĂšres photos RETROUVER une annonce NumĂ©ro pipidans une couche adulte dĂ©c. il se trouve qu’apres un sentiment de honte et des heures avec ma couche une envie pressante est survenu et j’ai fait pipi dans la couche. doubleur de l’intĂ©rieur de la brĂšve adulte. si vous ne pouvez pas faire pipi dans ta couche, vous aurez besoin de pratique en face d’une
Dans un prĂ©cĂ©dent article, nous avons identifiĂ© quatre grands types de fessĂ©es les fessĂ©es ludiques, Ă©rotiques, thĂ©rapeutiques et disciplinaires. C’est sur ces derniĂšres que nous nous pencherons plus particuliĂšrement dans ce nouvel article. PrĂ©cision importante nous ne parlerons ici que de fessĂ©es administrĂ©es Ă  des adultes, dans un cadre consensuel. Nous condamnons avec la plus grande fermetĂ© les fessĂ©es donnĂ©es aux enfants ainsi que toute forme de violence conjugale. I. Qu’est-ce qu’une fessĂ©e disciplinaire ? Le mot “discipline” dĂ©rive du latin disciplina, issu de discipulus disciple, Ă©lĂšve, lui-mĂȘme dĂ©rivĂ© de discere apprendre une fessĂ©e disciplinaire vise donc Ă  apprendre quelque chose Ă  la personne qui la reçoit, Ă  lui donner une bonne leçon. Ce type de fessĂ©es prĂ©suppose l’existence d’un accord entre les deux personnes impliquĂ©es la demoiselle se place, de son plein grĂ©, sous l’autoritĂ© d’un homme, qu’elle charge de veiller sur sa conduite et qu’elle autorise Ă  la corriger. Il peut s’agir de son conjoint, auquel cas on parlera d’une relation de discipline domestique laquelle mĂ©ritera un article Ă  part. Il peut Ă©galement s’agir d’une personne extĂ©rieure, Ă  laquelle la femme confie le rĂŽle le rĂŽle de “parrain”, de “tuteur”, chargĂ© de la punir pour ses fautes. Les termes de l’accord entre les deux partenaires peuvent ĂȘtre Ă©crits prenant parfois la forme d’un “contrat” mais sont gĂ©nĂ©ralement oraux. Ils sont variables, les deux partenaires dĂ©cidant ensemble du degrĂ© d’autoritĂ© dont l’homme disposera sur la demoiselle. Le plus souvent dans ce type de relation, la femme se confie entiĂšrement aux bons soins de l’homme qu’elle a choisi, le laissant entiĂšrement libre de dĂ©cider des motifs justifiant une punition et de la nature de ladite punition. Ce n’est cependant pas toujours le cas, et un vaste Ă©ventail de solutions est envisageable. Il convient Ă  prĂ©sent de distinguer deux types de fessĂ©es disciplinaires les fessĂ©es punitives et les fessĂ©es Ă©ducatives. II. Les fessĂ©es punitives Une fessĂ©e punitive est un chĂątiment administrĂ© Ă  une demoiselle en punition d’une mĂ©conduite. Les fautes pouvant justifier un pareil chĂątiment sont extrĂȘmement variĂ©es. Il peut s’agir de fautes ponctuelles une marque d’insolence, un retard injustifiĂ©, un engagement non-tenu, un comportement indĂ©cent
 Il peut Ă©galement s’agir de fautes chroniques une tendance Ă  la procrastination, Ă  l’étourderie, aux excĂšs dans un domaine ou un autre
 Une fessĂ©e punitive est gĂ©nĂ©ralement sĂ©vĂšre, l’objectif Ă©tant de procurer une rĂ©elle douleur physique Ă  celle qui la reçoit. Elle peut parfaitement ĂȘtre administrĂ©e Ă  la main, mais l’usage d’instruments martinet, paddle
 est frĂ©quent. Il n’est pas rare qu’elle se termine par des larmes, certains fesseurs considĂ©rant mĂȘme qu’une demoiselle qui ne pleure pas Ă  la fin de sa correction n’a pas Ă©tĂ© suffisamment punie.​ Une fessĂ©e punitive peut ĂȘtre administrĂ©e dans diffĂ©rentes circonstances
 Sur le moment. C’est probablement la situation idĂ©ale la jeune femme se mĂ©conduit et reçoit immĂ©diatement la punition rendue nĂ©cessaire par son comportement. Le lien entre la faute et le chĂątiment est alors direct, Ă©vident, rendant la leçon d’autant plus frappante. Le problĂšme, bien Ă©videmment, est qu’il n’est pas toujours possible de corriger la demoiselle sur le champ prĂ©sence de tierces personnes, absence du tuteur, manque de temps
 Le soir avant le coucher. Une autre solution couramment utilisĂ©e est de punir la demoiselle pour ses fautes de la journĂ©e le soir, juste avant de l’envoyer au lit. Cette solution prĂ©sente plusieurs intĂ©rĂȘts. Tout d’abord la jeune femme, informĂ©e de la punition qu’elle recevra en fin de journĂ©e, a tout le temps de mĂ©diter sur ses fautes et sur leurs consĂ©quences. Par ailleurs, le fait que cette fessĂ©e conclue la journĂ©e lui donne une valeur de bilan, ce qui renforce sa valeur Ă©ducative. Un jour particulier de la semaine. Certains couples pratiquant la discipline domestique dĂ©cident que tel jour de la semaine sera le jour de punition de la demoiselle. Le jour dit, son comportement de la semaine est passĂ© en revue et elle reçoit un chĂątiment dont la sĂ©vĂ©ritĂ© varie en fonction de la gravitĂ© de ses fautes. Lorsqu’un couple adopte cette solution, la demoiselle se voit bien souvent imposer un carnet de punitions, dans lequel elle doit consigner toutes ses mĂ©conduites. À une date ultĂ©rieure. Une jeune femme n’a pas toujours la chance d’avoir Ă  domicile un homme prĂȘt Ă  veiller sur son comportement. Si elle confie cette tĂąche Ă  une personne extĂ©rieure, il peut s’écouler plusieurs semaines, voire plusieurs mois entre deux sĂ©ances de correction. L’usage d’un carnet de punitions est alors fortement recommandĂ©, afin qu’aucune faute ne demeure impunie PrĂ©cisons que ces diffĂ©rentes solutions ne sont pas incompatibles une demoiselle qui se mĂ©conduit peut parfaitement recevoir une lĂ©gĂšre correction sur le champ, puis une seconde correction, plus appuyĂ©e, Ă  une date ultĂ©rieure. III. Les fessĂ©es Ă©ducatives Contrairement aux fessĂ©es punitives, les fessĂ©es Ă©ducatives ne visent pas Ă  chĂątier la demoiselle pour ses fautes passĂ©es mais Ă  l’encourager Ă  bien se comporter Ă  l’avenir. Elles constituent une sorte d’avertissement, d’instruction pour le futur. Ces fessĂ©es sont ordinairement plus appuyĂ©es que des fessĂ©es Ă©rotiques elles doivent ĂȘtre douloureuses mais moins sĂ©vĂšres que des fessĂ©es punitives. On peut les diviser en quatre sous-catĂ©gories Les fessĂ©es de maintien. Dans certains couples pratiquant la discipline domestique, la demoiselle reçoit rĂ©guliĂšrement des fessĂ©es, mĂȘme lorsqu’elle s’est bien comportĂ©e. Ces fessĂ©es lui rappellent Ă  quel point une fessĂ©e, mĂȘme lĂ©gĂšre, est douloureuse ; elles l’encouragent ainsi Ă  tout faire pour Ă©viter de mĂ©riter une authentique fessĂ©e punitive, qui serait bien plus douloureuse encore. Les fessĂ©es motivationnelles. Ces fessĂ©es visent Ă  encourager la demoiselle Ă  accentuer ses efforts dans un domaine particulier son travail, son attitude
 Elles lui indiquent que, bien qu’elle n’ait pas commis de faute en tant que telle, elle dispose d’une marge de progression dans ce domaine, et que des progrĂšs sont encore attendus. Les fessĂ©es prĂ©ventives. Ces fessĂ©es sont donnĂ©es lorsqu’une demoiselle va se trouver Ă  nouveau confrontĂ©e Ă  une situation dans laquelle elle s’est mal comportĂ©e par le passĂ©. Une demoiselle qui aurait eu une attitude inappropriĂ©e lors d’une occasion sociale pourrait ainsi recevoir une fessĂ©e prĂ©ventive avant la suivante, afin de lui rappeler que l’on attend d’elle un comportement exemplaire. Les fessĂ©es arbitraires. Ce dernier type de fessĂ©es a pour but de renforcer les liens unissant la demoiselle Ă  son tuteur en rappelant Ă  la jeune fille l’obĂ©issance qu’elle doit tĂ©moigner Ă  celui qui veille sur elle. Elles n’ont pas de justification. PrĂ©cisons que les fessĂ©es Ă©ducatives ne font pas l’unanimitĂ©, certaines les estimant injustes, immĂ©ritĂ©es. Chaque couple au sens large du terme en fera l’usage qu’il souhaite, l’essentiel Ă©tant d’offrir Ă  la demoiselle le cadre disciplinaire strict qu’elle recherche. IV. Le dĂ©roulement d’une fessĂ©e disciplinaire La fessĂ©e disciplinaire est souvent ritualisĂ©e. Avant d’ĂȘtre corrigĂ©e, la demoiselle est gĂ©nĂ©ralement sermonnĂ©e. On peut exiger qu’elle Ă©nonce elle-mĂȘme les fautes pour lesquelles elle va ĂȘtre fessĂ©e, voire qu’elle prie expressĂ©ment son tuteur de la punir. On lui demandera souvent de placer ses mains sur le sommet de sa tĂȘte durant cet entretien, en signe de pĂ©nitence. On pourra Ă©galement lui demander de se tenir Ă  genoux, de remonter sa jupe, de baisser sa culotte
 Cette Ă©tape est essentielle, car elle prĂ©pare la demoiselle Ă  sa punition, fonctionnant comme un sas entre sa vie ordinaire et le moment de la punition proprement dite. Le sĂ©jour au coin est une composante indispensable de toute fessĂ©e disciplinaire. La jeune femme peut y ĂȘtre envoyĂ©e avant la punition, pour rĂ©flĂ©chir Ă  son comportement passĂ© et aux consĂ©quences qu’il s’apprĂȘte Ă  avoir. Elle peut y ĂȘtre envoyĂ©e pendant la punition, si l’homme chargĂ© de la corriger dĂ©cide de lui accorder un moment de rĂ©pit. Elle doit y ĂȘtre envoyĂ©e aprĂšs la punition, afin de mĂ©diter sur la leçon qu’elle vient de recevoir. On peut exiger qu’elle remercie son partenaire Ă  la fin de la correction il s’est aprĂšs tout donnĂ© bien du mal pour la ramener dans le droit chemin. Certains fesseurs demandent Ă©galement Ă  la demoiselle d’embrasser la main qui l’a corrigĂ©e, en signe de reconnaissance et de soumission. Dans ce domaine, tout est envisageable. Notons pour terminer que la fessĂ©e disciplinaire peut s’accompagner de chĂątiments additionnels, qui viendront prolonger la leçon et en renforcer l’effet lignes Ă  copier, instauration d’un couvre feu, privation d’un privilĂšge, ou tout autre chĂątiment dĂ©cidĂ© par l’homme incarnant l’autoritĂ©. Ce vaste sujet fera l’objet d’un futur article. Conclusion Si la fessĂ©e Ă©rotique est aujourd’hui une pratique “grand public”, la fessĂ©e disciplinaire conserve pour sa part une image sulfureuse. Trop souvent confondue avec les violences conjugales, elle nĂ©cessite une parfaite communication entre la demoiselle qui la reçoit et l’homme chargĂ© de la corriger. Cette pratique, de toute Ă©vidence, n’est pas faite pour tout le monde, mais pour ses adeptes elle est la seule fessĂ©e qui tienne.
INSOLITE– Pour faire l’impasse sur les pauses pipi, une sociĂ©tĂ© britannique vient de dĂ©velopper HeWee Go, un nouveau slip dans lequel il est possible d’uriner tout Ă  fait normalement. · SantĂ© et bien ĂȘtre : VIDÉO - Et voici le premier
CamĂ©ra cachĂ©e des femmes acceptent de satisfaire sexuellement leur futur patron et nĂ©gocient des salaires Ă©levĂ©s CamĂ©ra cachĂ©e des femmes acceptent de... par buzz Auteur senewebvideos - Seneweb Videos affaire_de_malade 35 Commentaires Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1237 PM C'est lĂąche ! !!! Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1251 PM Les CV sexes et les promos canapĂ©s sont rependus aux senegal, ce n'est un secret de polichinelle. {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1253 PM euuuhhh sou la nekheĂ© {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1254 PM Moi je connais ça je suis patron d'une entreprise d'assurance et j'ai couchĂ© avec .....Non je dĂ©conne njampĂ© niakh laye diaye porte Ă  porte {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1332 PM vraiment on ne changerais point Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1337 PM Les majoritĂ© des filles sont comme ça, elles ne se donne pas de respect pas quand il s'agit de sous. Quelle que soit les conditions, il faut jamais accepter ce genre de trucs. PitiĂ© {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1400 PM c lache, vraiment lache. arretons de maltraiter les femmes. car c nous meme qui les poussons Ă  vendre leur dignitĂ©. surement en voulant subvenir aux depenses quotidiennes elles succombent Ă  ces genres de propositions lache, mais jai pas de doute que ça fasse d'elles de bonnes femmes vu que c pas des prostituĂ©es mais juste qu'on ne leur laisse pas le choix. Ă  tous les hommes qui font du chantage pr coucher avec les femmes, pensez un peu Ă  vos mamans et soeurs pour eviter ces trucs deguelasse. c simple, kan on veut coucher avec une femme y'a pas mille chemins, il suffit de proposer sur consentemment sa se fait, sinn si sa n marche pas ameen! de tout coeur avec nos soeurs!!! {comment_ads} {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1433 PM "si c'est discret", voila 'est tout ce qu'elles exigent pour se vendre au plus offrant. Te koo ci wakh thiaga nga mouy teup aka dal.... Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1443 PM {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1444 PM ndeye sane, l'homme est faible sont des tentations de la ne veut pas dire que les femmes sont comme ca, mais il faut rĂ©sister aux tentations et facilitĂ©s de la de looby recrutent de la sorte. on te promet des postes de directeur, de chef d'entreprise, ou de bonnes positions politiques, et la personne Dieu nous prĂ©serve surtout et prĂ©serve nos enfants et notre nation {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1457 PM si s Ă©tais au senegal vous allez voir du jamais vue sur 1000 les 990 vont ĂȘtre vendu {comment_ads} Hero En FĂ©vrier, 2016 1505 PM Ceux qui ont fait cette enquete sont de veritables laches! Mya En FĂ©vrier, 2016 1611 PM Ces gars sont trop cons. franchement c nul {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1640 PM C'est nul, hyper mega nul! {comment_ads} El En FĂ©vrier, 2016 1710 PM Tous ceux qui jugent des femmes de petasse ont des soeurs ou mĂšres petasse. Arretez vos conneries. Dieu a bien prĂ©parĂ© les choses, c'est pourquoi il a demandĂ© 4 tĂ©moins, car il sait que les hommes sont capables d'accuser une femme d'adultĂšre sans mĂȘme une preuve. Sachez que tout ce que vous dites ici, vous pe justifierez laba devant Dieu. {comment_ads} Hiro Kawazaki En FĂ©vrier, 2016 1728 PM Bande de trou du cul est de personnes vĂ©reuses. Au lieu d'y voir des femmes dĂ©sespĂ©rĂ©es prĂȘtes Ă  tous tout pour s'en sortir vous y voyez des des lĂąches comme l'a dit le premier post. Femme France En FĂ©vrier, 2016 1922 PM elles n'ont pas beaucoup d'honneur pour accepter cela, et les patrons pas mieux. Vive la prolifĂ©ration des MST et autres {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 2306 PM ceci est un fake. Les putes qui croient que c'est possible vous rĂȘvez! {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 2322 PM et il y'a une femme enceinte en plus societe moribonde... {comment_ads} The Rebel En FĂ©vrier, 2016 0846 AM Merci pour toutes ces rĂ©actions Ă  chaud l. Je voudrais juste en passant faire une suggestion et que l on change les roles et prend les hommes jeunes de prĂ©ferences pour voir quels seraient leurs attitudes ? Je suis sur que beaucoup accepteraient de coucher avec leurs patronnes jour cinq fois moins . Je ne suis pas contre vos commentaires mais juste vous interpeler sur nos comportements respectifs devant la tentation de l argents et de la chair. MoralitĂ©; Evitons de juger nos sisters et madrĂ©. Nous ne valons pas mieux qu elles. {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 0953 AM Les femmes sont des pĂ©tasses. Pour se donner bonne conscience et camoufler leur misĂšre morale, elles donnent des phrases stupides genre ta mĂšre ceci-cela. Vous ĂȘtes des pĂ©tasses. {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1131 AM Un article pour insulter les femmes et cela marche bien, Maintenant remplacez les femmes par les hommes !!!! Les femmes ont elles le droit d'insulter les hommes ?D'autre part generaliser a partir de 3/4 personnes c'est malheureux. {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1218 PM Putain y'a pas plus lĂąches que les hommes, parce que pour un homme il suffirait une simple proposition gratuitement et ils accepteraient oui a commencer par moi mĂȘme...donc arrĂȘter de pointer du doigt a la femme. Le monde est cruel et lĂąches. Qui n'a jamais perdu son dignitĂ© pour une chose... en commençant par notre prĂ©sident jusqu'aux hommes vous faire enculer bande de tarer. Time is money, Get money or died trying Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1314 PM Les mecs rĂ©veillez-vous, vous faites pareil et encore plus. Peau de banane, dĂ©nigrements, racolage, une partie de plaisirs avec la hiĂ©rachie masculine ou fĂ©minine pour dĂ©crocher un poste ou une augmentation. AvouĂ© ou pas cela existe depuis la nuit des temps chez les hommes comme chez les femmes. C'est ça la sale paritĂ©. {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1654 PM C'est important d'en parler car maintenant je le pense les filles n'auront pas honte de dire non Ă  cette forme de proposition {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1749 PM Ben dieuw bo dieuw mo gueun graw fanewĂšri ndiaaloo you am sĂšdĂ© Yalla beugoul kouy wÚÚr nitt {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 1811 PM Quel bande de connards! Anonyme En FĂ©vrier, 2016 2100 PM Mais la vierge elle accepte Celle aussi qui est en ceinte elle accepte. gnak bakhoul. un hadith nĂ©na touti rek gnak di kĂ©far. Yal na nou Yala moussal si lou bone et surtout nit nou mell borom khaliss yi di fo ak akhou digĂšne {comment_ads} Honteux En FĂ©vrier, 2016 2207 PM Accepter d ' ĂȘtre SOUILLER , et vendre sa DignitĂ© , est aberrant c ' est Ă  vomir . Le prĂ©texte habituel est soit disant un manque d ' argent .... ArrĂȘter les filles . {comment_ads} Honteux En FĂ©vrier, 2016 2209 PM Accepter d ' ĂȘtre SOUILLER , et vendre sa DignitĂ© , est aberrant c ' est Ă  vomir . Le prĂ©texte habituel est soit disant un manque d ' argent .... ArrĂȘter les filles . {comment_ads} Anonyme En FĂ©vrier, 2016 0843 AM D'accord ces femmes sont des pĂ©tassesMais Ă  tous les hommes qui ont commentĂ©, combien de vos frĂšres modou modou baisent des grosses vieilles blanches en europe pr avoir les papiers? je vois pas en quoi c'est diffĂ©rent Anonyme En FĂ©vrier, 2016 2350 PM pitoyable !!! {comment_ads} Tentation En FĂ©vrier, 2016 1446 PM Juste pour dire qu'il ne faut pas tenter les personnes, ceux qui le font sont les vĂ©ritables cette fille qui dit n'avoir jamais connu d'homme et attend le bon moment. ils sont montĂ©s jusqu'Ă  6000E pour l' vous dans quelle situation elles sont?il faut prĂ©server et faire prĂ©server Ă  toute personne sa dignitĂ©. il ne faut pas mettre Ă  l'Ă©preuve la dignitĂ© des gens. kou wonĂ© sa ayib morom daga ko beug wéér, yallah nak bou wahĂ© sa ayyib dala beug soutouralantĂ©.....wa salam {comment_ads} Participer Ă  la Discussion Ceforum devrait ĂȘtre interdit aux femmes et Ă  leurs questions stupides. Gestion pause pipi: vous faites comment les filles??? par Didier (invitĂ©) (93.6.245.xxx) le 21/08/14 Ă  17:51:52. Non tant qu'elles sont sur le forum elles te font pas chiĂ© Ă  la maison.
Je m’appelle Isabelle, j’ai 21 ans et je suis Ă©tudiante en Ă©cole d’infirmiĂšre Ă  Lyon. Cherchant un petit boulot pour financer mes loisirs et ne voulant pas compromettre mes Ă©tudes par un job trop dĂ©voreur de temps, je me renseigne auprĂšs du secrĂ©tariat de mon Ă©cole sur les possibilitĂ©s qui me sont offertes. La secrĂ©taire, Ă  laquelle je m’adresse m’indique qu’un certains nombres de laboratoires font des offres de services, notamment pour des tests de nouveaux produits, ou de nouveaux mĂ©dicaments. Cela semble correspondre Ă  mes attentes et je lui demande de m’inscrire sur la liste qu’elle tient Ă  jour des Ă©tudiantes infirmiĂšres intĂ©ressĂ©es par ces semaines s’écoulent lorsque je reçois un appel tĂ©lĂ©phonique sur mon portable. Il s’agit d’une responsable des laboratoires Hartmann qui m’indique avoir eu mes coordonnĂ©es par l’école. Elle me demande si je suis toujours intĂ©ressĂ©e par des tests produits, je rĂ©ponds par l’affirmative. J’ai dans l’idĂ©e de lui demander quels produits je vais ĂȘtre amenĂ©e Ă  tester mais dĂ©jĂ  elle enchaĂźne en me proposant un rendez-vous. Etonnamment, elle me propose de se retrouver Ă  mon appartement, alors que j’imaginais devoir me rendre dans leurs locaux mais finalement, ne disposant pas de voiture, cela m’arrange. Rendez-vous est pris pour le Mercredi aprĂšs-midi suivant, n’ayant pas cours Ă  ce 14H00 prĂ©cise, on sonne Ă  ma porte. J’ouvre Ă  deux jeunes femmes qui se prĂ©sentent comme reprĂ©sentes du laboratoire Hartmann et venant de la part de Madame Sudre que j’ai eu au tĂ©lĂ©phone. La premiĂšre porte une sacoche en bandouliĂšre, la seconde tire une valise assez volumineuse. Je les fais entrer dans ma piĂšce Ă  vivre, salon avec cuisine Ă  l’amĂ©ricaine. Comme il s’agit d’un vrai deux piĂšces, je dispose Ă©galement d’une chambre sĂ©parĂ©e ce qui est un luxe pour une Ă©tudiante de nos jours, merci mes parents ! Je leur indique le canapĂ© oĂč elles s’assoient pendant que je prendre place dans le fauteuil opposĂ©. Les deux jeunes femmes se prĂ©sentent par leurs prĂ©noms de façon trĂšs dĂ©contractĂ©es. Il s’agit de BĂ©atrice et Sylvie. Cette derniĂšre sort un ordinateur portable de sa sacoche et l’ouvre en le posant sur la table basse. Sylvie me propose le tutoiement, m’indiquant que BĂ©atrice et elle sont infirmiĂšres comme moi. J’accepte et elle enchaĂźne en me demandant si Madame Sudre m’a indiquĂ© quel produit dans leur gamme je suis sensĂ©e testĂ©. A ma rĂ©ponse nĂ©gative, les deux femmes se regardent et sourient. Sylvie me dit que c’est assez classique lorsqu’il s’agit des produits de la gamme incontinence, le siĂšge du laboratoire restant volontiers Ă©vasif. En fait il s’agit de tester des couches adultes me prĂ©cise-t-elle. Je suis un peu dĂ©contenancĂ©e par cette annonce. Sylvie me prĂ©cise qu’il s’agit de tests de nuit Ă  mon domicile, avec trĂšs peu de contraintes horaires et largement rĂ©munĂ©rĂ©s. Je n’imaginais pas tester de tels produits mais rĂ©flĂ©chissant rapidement j’analyse que je vais avoir sans doute le ratio souhaitĂ© Ă  savoir un job rĂ©munĂ©rateur mais peu dĂ©voreur de temps. J’accepte donc le principe en m’interrogeant cependant sur le choix d’une Ă©lĂšve infirmiĂšre pour tester des produits plus largement utilisĂ©s par les seniors. BĂ©atrice intervient alors pour m’expliquer qu’il s’agit d’une nouvelle gamme dĂ©diĂ©e aux femmes actives dans des moments particuliers comme le retour de couches notamment. Sylvie poursuit en m’indiquant que ces tests dureront un mois dans un premier temps, susceptibles d’ĂȘtre prolongĂ©s par la suite. La rĂ©munĂ©ration est effectivement attractive et enlĂšve mes derniers doutes. Sylvie, sur la base des informations confiĂ©es par l’école a rĂ©digĂ© un contrat qu’elle me fait signer en double exemplaires. Puis elle sort de sa sacoche un deuxiĂšme document comprenant le protocole du test. NaĂŻvement j’imaginais qu’elles allaient me laisser des Ă©chantillons que je devrais porter la nuit avant de rĂ©pondre Ă  un questionnaire sur le produit, en fait pas du tout. Le protocole de test est beaucoup plus sophistiquĂ© que cela. BĂ©atrice, en charge de cette gamme m’indique qu’elle va prendre mes mensurations et qu’elle va dĂ©terminer la taille de couche que je vais porter. Elle se munie d’un mettre ruban et me demande de me mettre debout afin de prendre les mesures que Sylvie va rentrer dans son ordinateur. Elle me demande d’îter mon pantalon pour que les mesures soient justes. Je m’exĂ©cute et me retrouve en culotte pendant que BĂ©atrice mesure mon tour de taille, mon tour de hanches, de cuisses etc
 Ceci fait, BĂ©atrice m’indique qu’elle a amenĂ© diffĂ©rentes tailles des nouvelles couches qu’elle doit tester pour choisir celle qui sera le plus adaptĂ©e Ă  ma morphologie. Elle me demande si on peut passer dans ma chambre pour les essayer. Je rĂ©ponds par l’affirmative. Je prĂ©cĂšde BĂ©atrice et Sylvie que je conduis vers ma chambre. BĂ©atrice pose sa large valise au pied de mon lit et l’ouvre, dĂ©couvrant une grande quantitĂ© de couches bien rangĂ©es. Je ne suis pas experte en couches, mĂȘme si j’en ai souvent vues lors de mes stages en hĂŽpitaux pendant mes deux premiĂšres annĂ©es d’école. BĂ©atrice prend une couche et me la montre. Il s’agit d’un modĂšle entiĂšrement blanc sans marques, ni motifs. Ce modĂšle me parait relativement Ă©pais par rapport aux changes que je vois souvent alignĂ©s pliĂ©s sur les dessertes dans les hĂŽpitaux. J’en fais la remarque Ă  BĂ©atrice qui m’indique que c’est voulu. Comme il s’agit de couches de nuit, la finesse et la discression ne sont pas des critĂšres discriminant, au contraire m’explique-t-elle, on a fait des couches volontairement Ă©paisses qui ont un cĂŽtĂ© rassurant pour les utilisatrices occasionnelles de ce type de produit. Elle utilise le terme couche alors que je pensais que l’on parlait plus de changes, ou de protections. Sylvie m’explique effectivement que ces appelations sont destinĂ©es Ă  rendre plus acceptable socialement ces produits mais que dans le milieu des labos on parlait plus simplement de couches mĂȘme si cela a une connotation plus infantile. Par rapport Ă  mes mensurations, BĂ©atrice a fait une selection de trois couches diffĂ©rentes et se propose maintenant de les essayer. Je les aurait bien mises seules mais les deux femmes ne semblent pas vouloir quitter ma chambre. BĂ©atrice me demande de m’allonger sur le lit ce que je fait, toujours en petite culotte. Elle me demande de lever les fesses et glisse une premiĂšre couche. Elle ajuste sa position avant de la rabattre sur mon ventre et d’en fixer les adhĂ©sifs. La couche est assez Ă©paisse effectivement, la sensation est particuliĂšre mĂȘme si j’ai gardĂ© ma culotte en dessous. Les deux femmes observent la couche, me demande de me relever et de faire quelques pas dans le couloir pour vĂ©rifier l’ajustement de la couche. BĂ©atrice me demande de me ralonger sur le lit, enlĂšve cette premiĂšre couche puis en teste deux autres de tailles et de formes lĂ©gĂšrement diffĂ©rentes. C’est la deuxiĂšme qui semble retenir leur adhĂ©sion et Sylvie note la rĂ©fĂ©rence du modĂšle dans son ordinateur restĂ© sur la table du salon. Les tests effectuĂ©s, je renfile mon pantalon et nous regagnons le salon. BĂ©atrice me demande quand je suis prĂȘte Ă  commencer le test. Je lui rĂ©ponds que je suis disponible immĂ©diatement. Parfait me fait-elle, voilĂ  comment le protocole va se dĂ©rouler. A partir de ce soir donc et pour un mois consĂ©cutif, je vais porter une couche chaque nuit. Pour la validitĂ© du test, une infirmiĂšre du laboratoire passera chaque soir me mettre ma couche et chaque matin me l’enlever et la rĂ©cupĂ©rer pour analyse. Je suis particuliĂšrement surprise par cette information imaginant ĂȘtre tout Ă  fait capable de mettre cette couche moi-mĂȘme. BĂ©atrice enchaĂźne en m’indiquant que le test s’effectuant sur 12 heures, je serai mise en couche Ă  19H00 prĂ©cise chaque soir et la couche enlevĂ©e le lendemain matin Ă  7H00. Je commence seulement Ă  rĂ©aliser ce que ce test implique, j’ai une multitude de questions qui me viennent du coup Ă  l’esprit comme le fait de savoir si je vais devoir utiliser » ces couches et comment ». BĂ©atrice m’indique que l’infirmiĂšre me donnera chaque soir un sĂ©datif lĂ©ger qui m’empĂȘchera d’ĂȘtre rĂ©veillĂ©e la nuit en cas d’envie pressante et permettra du coup de simuler parfaitement une incontinence nocturne. Charmante perspective, je vais donc mouiller ma couche sans mĂȘme m’en rendre compte. Mon entousiasme du dĂ©but est un peu relativisĂ© par ses propos mais je me raccroche Ă  ce que ce test va me rapporter pour positiver la situation. BĂ©atrice et Sylvie me demandent maintenant si j’ai d’autres questions, elles me laissent leurs cartes de visite respective en me disant qu’elles sont Ă  ma disposition pour toutes questions complĂ©mentaires. BĂ©atrice conclu en me disant que l’infirmiĂšre sera lĂ  ce soir un peu avant passe le reste de l’aprĂšs-midi Ă  travailler mes cours Ă  la maison. Je prends un thĂ© Ă  17H00 et ne vois pas le temps passĂ© lorsque l’on sonne Ă  ma porte Ă  18H30. C’est un peu tĂŽt pour ĂȘtre l’infirmiĂšre des laboratoires Hartmann. Lorsque j’ouvre la porte, je dĂ©couvre sur le palier Emilie, une fille de ma promo avec laquelle je travaille de temps en temps mes travaux dirigĂ©s. Je suis un peu surprise de la voir, nous n’avions pas rendez-vous. Elle me demande si elle ne me dĂ©range pas, je rĂ©ponds que non machinalement en la faisant entrĂ©e. Je rĂ©alise quand mĂȘme la proximitĂ© avec mon rendez-vous de 19H00 et je prĂ©viens Emilie que je n’ai pas beaucoup de temps Ă  lui consacrer car j’ai rendez-vous Ă  19H00. Emilie me sourie et m’explique que c’est avec elle que j’ai rendez-vous. Je ne comprends pas immĂ©diatement le sens de sa phrase mais elle poursuit en m’indiquant qu’elle travaille pour les laboratoires Hartmann pendant ses Ă©tudes car elle a Ă©tĂ© prĂ©-embauchĂ©e en attendant son diplĂŽme en fin d’annĂ©e. C’est une pratique courante devant la pĂ©nurie d’infirmiĂšre, j’ai moi-mĂȘme Ă©tĂ© sollicitĂ©e par des hĂŽpitaux et des cliniques mais sans donner suites pour l’instant. Elle m’explique qu’elle est venue volontairement en avance pour ce premier jour de test. Le doĂ»te n’est plus permis, c’est Emilie qui est missionnĂ©e par le laboratoire pour me mettre mes couches. Je dois tirer une tĂȘte de mĂštres de long car Emilie, assise dans le canapĂ© Ă  cĂŽtĂ© de moi, me pose sa main sur l’avant-bras et me dis que cela se passera trĂšs bien et qu’elle est tenue par une stricte confidentialitĂ© professionnelle. J’ai du mal Ă  rĂ©aliser d’ĂȘtre mise en couche par une collĂšgue de promo. Pour dĂ©dramatiser la situation Emilie m’explique qu’elle travaille depuis l’annĂ©e derniĂšre pour le laboratoire dans la division produit d’incontinence et qu’elle n’en est pas Ă  son premier test y compris avec, comme moi, des Ă©lĂšves infirmiĂšres. Comme je n’en ai jamais entendu parler Ă  l’école, cela me rassure effectivement sur la confidentialitĂ© de ces tests sans pour autant enlever ma gĂȘne. Emilie regarde sa montre et m’indique qu’il est temps de commencer. Elle me demande d’aller me mettre en pyjama ou en chemise de nuit pour qu’elle puisse mettre ma couche Ă  19H00 prĂ©cise. Elle me demande ensuite oĂč est la salle de bain pour aller se laver les mains. A contrecƓur je gagne ma chambre pour aller me dĂ©shabiller et me mettre en pyjama. Quelques minutes plus tard Emilie toque Ă  ma porte pour savoir si je suis prĂȘte. Je rĂ©ponds par l’affirmative et elle entre dans ma chambre avec son sac qu’elle pose sur la chaise Ă  cĂŽtĂ© du lit. Elle l’ouvre et en sort une boĂźte de gants jetables, une couche comme celle essayĂ©e ce matin, un pot de talc. Elle enfile des gants de latex et me demande de m’allonger sur le lit. Une fois allongĂ©e, elle retire le bas de mon pyjama, puis dĂ©pliant la couche, elle la glisse sous mes fesses. Elle prend ensuite le pot de talc et en saupoudre sur mon pubis avant de refermer la couche et fixer les adhĂ©sifs. La manƓuvre a Ă©tĂ© rapide, les gestes d’Emilie Ă©tant prĂ©cis, fruit d’une habitude certaine. On sent bien que ce sont des gestes maĂźtrisĂ©s. C’est lorsqu’elle renfile mon pantalon de pyjama que je rĂ©alise que la couche est Ă©paisse car il passe juste. Je me relĂšve du lit maladroitement pas habituĂ©e Ă  porter une couche pendant qu’Emilie enlĂšve ses gants et range ses affaires dans son sac. Elle regagne le salon et je la suis dans le bruit lĂ©ger mais perceptible du plastique froissĂ© de ma couche. Je m’assoie dans le fauteuil en face du canapĂ© oĂč s’est assise Emilie qui me demande mes impressions. Je lui rĂ©ponds que c’est assez dĂ©concertant comme sensation et assez gĂȘnant en ce qui concerne la mobilitĂ©. Emilie acquiesce en me rappelant que c'est une couche nuit que l’on ne porte pas par dĂ©finition en journĂ©e. Elle me tend maintenant une gĂ©lule. Il s’agit du sĂ©datif Ă©voquĂ© par BĂ©atrice tout Ă  l’heure. Emilie me demande de l’avaler tout de suite en me prĂ©cisant que l’effet est diffĂ©rĂ© et que la sensation de fatigue n’interviendra que vers 10H00, me permettant d’avoir du temps pour moi en soirĂ©e. Ceci fait, Emilie remplit une fiche de suivi dans un carnet qu’elle a sorti de son sac puis range celui-ci. Elle se lĂšve en me disant que son travail est achevĂ© pour ce soir et qu’elle reviendra demain matin Ă  7H00 pour me retirer la couche. Je suis quelque part soulagĂ©e de la voir partir, peu Ă  l’aise d’ĂȘtre en sa prĂ©sence avec cette couche sur mes fesses dont la forme est bien visible sous mon pantalon de pyjama. Lorsque je referme la porte je prends conscience qu’un mois ainsi cela risque d’ĂȘtre long. Un coup de fil me tire de mes pensĂ©es. Il s’agit de Laure, une amie de promo, elle aussi, qui m’appelle en me proposant d’aller au cinĂ©ma. L’idĂ©e d’ordinaire m’aurait sĂ©duite mais pas dans les circonstances prĂ©sentes. Je dĂ©cline donc la proposition en me disant que je n’avais pas forcĂ©ment prise en compte cet aspect d’ĂȘtre ainsi bloquĂ©e Ă  la maison Ă  partir de 19H00 le soir, me voyant mal sortir avec une couche Ă  l’extĂ©rieur. Je dĂźne rapidement avant de regarder la tĂ©lĂ©. A la moitiĂ© du film, je commence Ă  avoir sĂ©rieusement sommeil et je rĂ©alise que le somnifĂšre doit faire son effet. Je coupe la tĂ©lĂ© et dĂ©cide de me coucher alors qu’une envie de pipi se fait prĂ©sente. Je dĂ©cide de me retenir, prĂ©fĂ©rant faire pendant la nuit sans m’en rendre compte. Je rĂšgle mon rĂ©veil pour 6H45, histoire d’ĂȘtre rĂ©veillĂ©e quand Emilie sonnera Ă  ma porte. Ce faisant je me couche et j’éteins la le rĂ©veil sonne le lendemain matin, j’ai un peu de mal Ă  Ă©merger. En tendant le bras pour Ă©teindre le rĂ©veil placĂ© sur ma table de chevet, je me rappelle porter une couche que je ressens bien entre mes jambes. Une lĂ©gĂšre humiditĂ© au contact de ma peau ne laisse pas de doute sur le fait que j’ai fait pipi dans ma couche durant mon sommeil. La sensation est Ă©trange, la couche est moins serrĂ©e que la veille victime » des mouvements de la nuit et plus lourde du fait du pipi absorbĂ© assurĂ©ment. Je prends quelques minutes pour Ă©merger rĂ©ellement quand dĂ©jĂ  on sonne Ă  ma porte. Je vais ouvrir Ă  Emilie, bien rĂ©veillĂ©e elle, qui me suis pour un retour dans ma chambre. Elle me demande de m’allonger sur le lit et dĂ©jĂ , m’enlĂšve le bas de pyjama dĂ©couvrant ma couche. Elle prend dans son sac un appareil photo et prends ma couche en photo avant de reposer l’appareil. Elle me demande ensuite comment c’est passĂ© cette premiĂšre nuit. Je lui rĂ©ponds que je me suis endormie comme une masse mais en ayant dĂ©jĂ  envie de faire pipi et que je venais juste de me rĂ©veiller avec la couche mouillĂ©e. Emilie sort de son sac un paquet de lingette, des gants et une boite, type Tupperware, qu’elle m’explique destinĂ©e Ă  recevoir ma couche pour que celle-ci soit ensuite analysĂ©e en laboratoire. Elle enfile les gants puis dĂ©tache ma couche et me l’enlĂšve pour la mettre dans la boĂźte. Ceci fait elle prend une lingette et me nettoie l’entrejambe avant de me remettre mon bas de pyjama. J’apprĂ©cie sa rapiditĂ© et sa sobriĂ©tĂ© pour ne pas prolonger le moment de honte d’ĂȘtre ainsi nu devant une fille de ma promo. Son travail effectuĂ©, Emilie range ses affaires et je la raccompagne jusqu’à la porte. Elle me dit Ă  tout Ă  l’heure car nous devons nous croiser en cours aujourd’hui avant qu’elle ne revienne Ă  la maison ce une bonne douche je pars en cours oĂč je croise Emilie qui me dit bonjour comme si on ne s’était pas vues ce matin. Je suis un peu surprise mais j’apprĂ©cie son mode de fonctionnement qui sĂ©pare bien notre vie Ă©tudiante du test en cours pour le laboratoire. Je suis de retour Ă  la maison en fin d’aprĂšs-midi et le temps de vaquer Ă  mes occupations il est dĂ©jĂ  18H45, heure Ă  laquelle on sonne Ă  ma porte. C’est, comme prĂ©vu Emilie qui est sur mon palier. Je la fais entrer et lui demande si elle veut boire quelque chose. Elle accepte et je nous sers un jus d’orange. Je discute avec Emilie et lui fait part d’une contrainte que je n’avais pas mesurĂ© avec ce test, le fait de devoir rester Ă  la maison tous les soirs. Celle-ci convient qu’il est difficile de sortir en toute discrĂ©tion lorsque l’on porte ce type de couches, mais elle m’invite cependant Ă  essayer ce soir les vĂȘtements, et notamment les jupes et robes, que je pourrai porter sans que ma couche ne se voie y compris pour rester Ă  la maison en cas de visite non programmĂ©e. L’idĂ©e est judicieuse mais dĂ©jĂ  il est l’heure de mettre ma couche. Contrairement Ă  hier je ne me mettrais pas tout de suite en pyjama pour justement tester quelques habits. Je prĂ©cĂšde Emilie dans ma chambre. Elle me demande de m’allonger sur le lit pendant qu’elle prĂ©pare son matĂ©riel. C’est elle qui enlĂšve mes chaussures et mes chaussettes puis mon pantalon et ma culotte. Elle glisse maintenant la couche sous mes fesses, me talque puis referme ma couche de façon bien ajustĂ©e. Ceci fait, je me relĂšve et commence Ă  explorer ma garde- robe pour tester une Ă  une mes jupes et mes robes, faisant une croix sur mes pantalons incapables de masquer la prĂ©sence d’une telle couche. Emilie me donne son avis Ă  chaque vĂȘtement. J’ai finalement deux jupes et deux robes qui me permettent de masquer efficacement ma couche ce qui est une certaine satisfaction. Je conserve du coup sur moi une jupe longue mais en regagnant le salon je fais remarquer Ă  Emilie que la couche est bruyante et pourrait bien me trahir sur le plan sonore. Emilie en convient mais me conseille d’acheter une ou deux culottes de coton large Ă  mettre par-dessus ce qui devrait rĂ©soudre le problĂšme. L’idĂ©e est bonne mais comment bien choisir ces culottes sans la prĂ©sence de la couche pour avoir la taille recherchĂ©e. Emilie me conseille de prendre deux tailles diffĂ©rentes et de ramener au magasin celle qui n’ira pas. Cette fille est dĂ©cidemment pleine de ressources. Je lui propose de rester dĂźner mais elle m’indique qu’elle doit rejoindre des amis. Je l’envie un peu mais elle accepte par contre de dĂźner Ă  la maison demain soir. Elle me fait prendre mon somnifĂšre avant de me quitter. Je dĂźne d’un plateau repas devant ma tĂ©lĂ© avant d’aller me lendemain matin, soit j’avais mal rĂ©glĂ© mon rĂ©veil, soit je ne l’ai pas entendu mais c’est la sonnette de la porte d’entrĂ©e qui me rĂ©veille. Je me tire pĂ©niblement du lit pour aller ouvrir Ă  Emilie. Celle-ci me suis jusqu’à ma chambre oĂč je m’affale sur le lit. Emilie toujours efficace et comprenant que je me rĂ©veille juste ne m’assaille pas de questions et prĂ©pare son matĂ©riel. AprĂšs avoir enfilĂ© ses gants, elle me retire mon bas de pyjama et dĂ©fait ma couche encore largement mouillĂ©e. Elle la range dans la boĂźte prĂ©vue Ă  cet effet et me nettoie l’entrejambe avec une lingette. Elle me renfile le bas de pyjama. Le temps du change, j’ai eu le temps de me rĂ©veiller plus complĂštement. Emilie me sourit. Je lui propose de prendre un cafĂ© mais elle dĂ©cline gentiment la proposition devant repartir rapidement. Elle me confirme par contre sa prĂ©sence ce soir pour dĂźner dans la foulĂ©e de son intervention. Elle me demande trĂšs poliment si elle doit apporter quelque chose. Je lui rĂ©ponds que non, que je ferai simple de toutes façon. Elle quitte l’appartement me laissant prendre une douche et me soir, il est 18H45 quand on sonne Ă  ma porte. Emilie toujours ponctuelle fait son apparition. N’ayant pas eu de cours cet aprĂšs-midi j’ai eu le temps de prĂ©parer un repas simple mais bien cuisinĂ© et surtout d’aller acheter en ville des culottes plus large que ma taille habituelle pour les porter par-dessus ma couche. J’ai choisi des culottes simples en coton blanc assez couvrante et avec de bons Ă©lastiques Ă  la taille et aux cuisses pour bien Ă©pouser les formes de la couche. Je les montre Ă  Emilie qui valide que le choix lui semble Ă©galement bon. Elle m’indique que pour la taille, on allait ĂȘtre vite fixĂ©es puisqu’elle allait pouvoir m’essayer les deux culottes aprĂšs m’avoir mis ma couche. Sans plus attendre nous nous dirigeons vers la chambre. Comme hier, je laisse faire Emilie qui me dĂ©shabille avant de me mettre ma couche non sans avoir largement talquĂ© mes fesses et mon entrejambe. Elle m’indique surveiller de prĂšs tout risque d’irritations. La couche mise, elle essai tour Ă  tour les deux culottes que j’ai achetĂ©. La premiĂšre est un peu juste mais la seconde est Ă  la bonne taille, elle la laisse donc en place sur ma couche. Je me relĂšve afin qu’Emilie puisse me remettre plus aisĂ©ment la jupe longue que je porte. Je fais quelques pas dans le couloir et je constate avec plaisir que la culotte amorti bien le bruit de la couche qui n’est quasiment plus perceptible. Emilie confirme puis nous regagnons le salon pour prendre l’apĂ©ritif. Ayant un peu plus de temps qu’à l’accoutumĂ©, j’en profite pour faire plus ample connaissance avec Emilie que je connais assez peu finalement. Nous parlons de nos Ă©tudes bien sĂ»r de nos perspectives d’avenir Ă©galement. Nous discutons aussi du test en cours. Emilie me pose pas mal de questions sur mon ressenti maintenant que je commence Ă  avoir l’habitude de porter ces couches. Je lui rĂ©ponds et Ă  mon tour je lui demande des prĂ©cisions sur ces fameuses couches. Elles sont manifestement diffĂ©rentes de celles que je connais. Emilie m’explique que le laboratoire est revenu Ă  des solutions anciennes mais dont on a gommĂ© certains dĂ©fauts, notamment de remettre des Ă©lastiques au niveau des cuisses pour assurer une bonne Ă©tanchĂ©itĂ© de la couche mais avec une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’élastiques Ă  fronces douches qui ne marque quasiment pas la peau. Sur ces couches, le laboratoire utilise aussi un matĂ©riau absorbant plus Ă©pais que les derniĂšres gĂ©nĂ©rations de couches car c’est moins cher et comme cela m’avait Ă©tĂ© expliquĂ©, il y a un effet plus rassurant pour l’utilisatrice. Visuellement la couche inspire plus confiance dans sa capacitĂ© d’absorption. Pour illustrer son propos, Emilie va prendre dans son sac une couche identique Ă  celle que je porte afin que je puisse la dĂ©tailler. TrĂšs professionnellement, elle me dĂ©taille toute la couche, sa forme Ă©galement travaillĂ©e pour bien Ă©pouser les formes du corps. J’écoute ses explications avec attention, n’imaginant pas que c’était un produit aussi technique ». Le dĂźner se poursuit agrĂ©ablement. Seule ombre au tableau, j’ai envie de faire pipi rapidement bien que j’ai pris la prĂ©caution de faire en fin d’aprĂšs-midi. Nous en sommes au dessert et Emilie, perspicace, remarque que je suis un peu prĂ©occupĂ©e. Je lui avoue la situation dont elle se doutait. Elle m’indique que je n’ai aucun risque Ă  faire dans ma couche et que celle-ci est prĂ©vue pour rĂ©sister Ă  plus d’un pipi donc pas de crainte pour la nuit Ă  venir. C’est aussi le but du test que de valider les performances de ce produit poursuit-elle. C’est la premiĂšre fois que je vais faire dans ma couche en en ayant conscience ce qui est assez particulier. Jusqu’à prĂ©sent je n’avais fait que pendant mon sommeil, profondĂ©ment endormie. Pour me rassurer Emilie me propose de vĂ©rifier l’état de ma couche. Nous retournons dans ma chambre. Je m’allonge sur le lit pendant qu’Emilie retrousse ma jupe et descend ma culotte sur mes chevilles pour vĂ©rifier ma couche. Celle-ci a parfaitement absorbĂ© mon pipi et ne prĂ©sente d’aprĂšs Emilie aucun risque de fuites. Elle remonte ma culotte et je me redresse. Nous prenons ensuite une tisane. Emilie sur le point de prendre congĂ©s me propose, si cela ne me dĂ©range pas, de rĂ©cupĂ©rer une clef de mon appartement afin que je n’aie pas Ă  me lever le matin pour venir lui ouvrir. C’est une idĂ©e Ă  laquelle je n’avais pas pensĂ© mais cela me convient trĂšs bien, ayant du mal le matin Ă  me mettre en route ». Je lui confie donc un double de clef et je lui donne donc rendez-vous demain matin comme d’ lendemain matin c’est la douce voix d’Emilie qui me rĂ©veille quelques minutes avant l’heure programmĂ© sur mon rĂ©veil. Dans un demi-sommeil je m’entends lui rĂ©pondre bonjour pendant que je sens mon pyjama glisser sur mes jambes enlevĂ© par Emilie. La couche me semble particuliĂšrement lourde et largement mouillĂ©e mais pas de fuites apparemment. DĂ©jĂ  Emilie me nettoie Ă  la lingette avant de me remettre mon bas de pyjama. Elle me souhaite une bonne journĂ©e et s’éclipse aussi discrĂštement qu’elle n’est recroise Emilie dans la journĂ©e Ă  l’école. Elle me dit bonjour et cette fois si cela ne me surprends pas puis, m’attirant Ă  l’écart, elle m’indique qu’elle a une surprise pour moi ce soir. Elle ne m’en dit pas plus et nous retournons en cours me laissant Ă  la frustration de ne pas savoir qu’elle est cette fameuse surprise. A 18H45, Emilie sonne Ă  ma porte. De nature peu patiente, j’interroge vite Emilie sur la fameuse surprise. Elle me fait lambiner et me dit qu’elle va d’abord me mettre ma couche et qu’elle me fera la surprise ensuite. Nous gagnons ma chambre oĂč j’ai dĂ©jĂ  placĂ© sur le lit la culotte large destinĂ©e Ă  couvrir ma couche. Je m’allonge pendant qu’Emilie sort de son sac, une couche, du talc et des gants qu’elle enfile. Elle retrousse ma jupe et enlĂšve ma culotte. Elle inspecte mon entrejambe et m’annonce qu’elle va me mettre un peu de crĂšme de façon prĂ©ventive. Elle sort un tube de crĂšme de son sac et elle me crĂšme le sexe et le haut des cuisses. La crĂšme et froide et me fait un peu frissonner. Elle glisse ensuite la couche sous mes fesses, talc comme Ă  l’accoutumĂ© puis referme ma couche et positionne les adhĂ©sifs. Elle attrape maintenant la culotte posĂ©e sur le bord du lit et l’enfile pour la positionner sur la couche. Je n’ai plus qu’à me relever et remettre mes chaussures restĂ©es au pied du lit. Lorsque nous regagnons le salon Emilie me fait enfin part de la surprise. Elle m’annonce que BĂ©atrice et Sylvie ont dĂ©cidĂ© de m’inviter ainsi qu’Emilie ce soir Ă  dĂźner au restaurant. La surprise joue bien son rĂŽle car elle me surprend totalement, je ne m’y attendais pas du tout. Avant mĂȘme que je ne puisse objecter que je ne peux pas sortir avec une couche sur les fesses, Emilie me devance et me dit que ma couche est indĂ©tectable et que c’est l’occasion pour moi ce soir de m’en rendre compte. Elle me prĂ©cise que nous allons dĂźner dans un grand restaurant en dehors de Lyon qui de toute façon n’est pas frĂ©quentĂ© par des Ă©tudiantes de l’école que nous serions susceptibles de rencontrer. La perspective d’un bon restau est attrayante mais mes craintes restent vives. Emilie me rassure Ă  nouveau et quelques minutes plus tard on sonne Ă  ma porte. MalgrĂ© ma jupe longue qui masque ma couche, je laisse le soin Ă  Emilie d’aller ouvrir, il s’agit de Sylvie et BĂ©atrice qui viennent nous chercher. Elles me disent bonsoir et prennent de mes nouvelles depuis notre derniĂšre rencontre. Emilie rĂ©ponds que pour le test tout se passe bien. Comme pour me rassurer Ă  nouveau, Sylvie et BĂ©atrice, qui savent que je suis en couche me confirment elles-aussi que cela ne se voit pas, ni ne s’entends lorsque je fais quelques pas. Je prends mon sac et nous partons car il y a un peu de route pour rejoindre le restaurant rĂ©servĂ© pour 20H00 afin que le repas ne se termine pas trop la voiture conduite par Sylvie je suis assise Ă  l’arriĂšre en compagnie d’Emilie. Celle-ci me sentant nerveuse me propose de vĂ©rifier ma couche pour me rassurer avant d’arriver au restaurant. Sans mĂȘme attendre ma rĂ©ponse, elle se penche vers moi, tire sur ma jupe pour la remonter et dĂ©couvrir ainsi ma couche recouverte par la culotte. Elle vĂ©rifie le bon positionnement de la couche et passe son doigt aux niveaux des Ă©lastiques des cuisses pour bien s’assurer de leur efficacitĂ©. Elle m’informe que la couche n’a pas bougĂ© et que je suis parfaitement protĂ©gĂ©e. Son inspection terminĂ©e, nous arrivons en vue du restaurant. Il s’agit d’une belle bĂątisse au milieu des vignes du Beaujolais, trĂšs chic. Nous sommes dans les premiers clients du soir ce qui me rassure. On nous installe Ă  une table ronde et je m’assois avec soulagement, Ă©tant en partie masquĂ©e par la large nappe blanche de la table. Le repas est trĂšs bon, nous discutons de plein de choses liĂ©es Ă  notre mĂ©tier, nos Ă©tudes, le laboratoire pour lequel travaillent Sylvie, BĂ©atrice et aussi Emilie. ArrivĂ© au fromage, je suis rattrapĂ©e par une envie pressante. Je m’excuse et me lĂšve de table pour aller aux toilettes, Emilie m’annonçant qu’elle m’accompagne. Lorsque nous arrivons aux toilettes, j’explique Ă  Emilie que je n’ai pas osĂ© faire pipi dans ma couche Ă  table ce qu’elle comprend mĂȘme si elle feints de s’offusquer que je ne fasse pas confiance aux produits Hartmann. Je fais pipi dans ma couche et laisse Emilie en vĂ©rifier l’état. Tout va bien me dit-elle avant que nous ne regagnions notre table. Le repas achevĂ©, nous regagnions Lyon oĂč les filles me dĂ©posent Ă  mon appartement. FatiguĂ©e, je prends juste le temps de me dĂ©shabiller avant de me mettre au jours se succĂšdent ainsi. Au bout de deux semaines et comme prĂ©vu, je reçois un virement de la part du Laboratoire avec la moitiĂ© de la rĂ©munĂ©ration prĂ©vu pour le test ce qui me permet quelques folies vestimentaires notamment. J’attaque maintenant la derniĂšre semaine du test. Emilie, avec laquelle je suis maintenant amie, me demande si je suis partante pour un deuxiĂšme test aprĂšs que celui-ci relayant ainsi me dit-elle une proposition de BĂ©atrice et Sylvie. Je ne m’étais pas prĂ©parĂ©e Ă  la question mais fort de l’expĂ©rience actuelle je pose du coup des questions prĂ©cises Ă  Emilie sur ce test. Celle-ci m’indique qu’il s’agira de tester cette fois-ci des couches de jour. Cette perspective ne n’enchante pas vraiment, Emilie le comprenant m’indique dans la foulĂ©e la rĂ©munĂ©ration proposĂ©e qui est le double de celle que je perçois pour le test actuel. Me voyant hĂ©siter et sachant que je redoute que cela ne se dĂ©couvre, elle m’indique qu’une autre fille de notre promo rĂ©alise en ce moment ce mĂȘme test. Emilie me propose une sorte de dĂ©fit si je suis en mesure de dĂ©couvrir de qui il s’agit, je peux renoncer au test, sinon je suis candidate Ă  ce test. J’ai une semaine pour cela. Je trouve le dĂ©fi un peu dĂ©sĂ©quilibrĂ© mais j’accepte les jours qui suivent, je scrute le plus discrĂštement possible le postĂ©rieur de chaque fille de la promo Ă  la recherche de la forme d’une couche qui pourrait se dessiner sous leurs vĂȘtements. Je suis particuliĂšrement attentive Ă  celles qui portent rĂ©guliĂšrement des jupes en vain. Chaque soir, Emilie me taquine sur mes recherches en sachant que je n’ai le droit que de lui donner un nom Ă  la fin de la semaine. Le dernier soir, Emilie arrive accompagnĂ©e de BĂ©atrice et Sylvie. Le test prend fin demain matin. Je suis un peu gĂȘnĂ©e car les deux femmes accompagnent Emilie dans ma chambre pour assister Ă  ma mise en couche. Une fois celle-ci en place et ma culotte mise, nous revenons au salon. En prĂ©ambule, BĂ©atrice m’informe qu’elle est trĂšs satisfaite du test et me remercie pour ma coopĂ©ration. Elle m’informe que le deuxiĂšme virement a Ă©tĂ© fait sur mon compte ce matin. Avec un petit sourire elle se dit aussi impatiente de savoir si je vais commencer un nouveau test avec des couches de jour cette fois-ci. Je dois avouer que mes recherches ont Ă©tĂ© vaines toute la semaine et que je n’ai pas dĂ©couvert la fille de notre promo portant des couches. Emilie me confirme donc que je n’ai aucune apprĂ©hension Ă  avoir pour ce deuxiĂšme test. Ce sera elle Ă©galement qui me suivra pour ce programme. Sylvie Ă  ce moment-lĂ  sort un nouveau contrat et le pose sur la table afin que je le signe. Je le parcours dans les grandes lignes car il fait plusieurs pages comme le premier que j’ai dĂ©jĂ  signĂ©. BĂ©atrice m’indique qu’Emilie me donnera dĂšs demain le dĂ©tail du protocole, le test durant lui aussi un mois, week-end compris. Les trois femmes me quittent en me souhaitant une bonne lendemain matin, nous sommes Samedi, je suis rĂ©veillĂ©e par Emilie qui se trouve dĂ©jĂ  dans ma chambre grĂące Ă  la clef de l’appartement dont elle dispose. GuĂšre plus rĂ©veillĂ©e que les autres jours je la laisse m’enlever la couche de la nuit. Je me redresse cependant pour apercevoir la couche de jour que je vais devoir porter. Elle est de couleur rose pĂąle mais ne me semble guĂšre moins Ă©paisse que la couche nuit. DĂ©jĂ  Emilie me la glisse sous les fesses, me crĂšme largement le sexe puis me talque avant de refermer la couche. Elle est plus fine que la couche nuit mais la diffĂ©rence n’est pas grande, la culotte ne parait pas trop large d’ailleurs par-dessus la couche, j’espĂ©rais quelque chose de plus discret. Emilie m’explique que cette couche est prĂ©vue pour n’ĂȘtre changĂ©e que deux fois par jour, il faut donc qu’elle puisse absorber deux pipis consĂ©cutifs. Emilie poursuit en me disant que c’est le pendant jour de la couche nuit que je viens de tester pendant un mois et que cette couche de jour est trĂšs absorbante Ă©galement pour prĂ©venir toute fuite plus prĂ©judiciable de jour que de nuit. Elle me changera donc le matin, aprĂšs le dĂ©jeuner et le soir. Autant il est facile de prĂ©voir un change Ă  la maison autant je me demande comment Emilie compte faire lorsque nous sommes Ă  l’école, ayant dĂ©jĂ  peu de temps pour manger sur place. Celle-ci m’indique que le laboratoire a nĂ©gociĂ© avec la directrice de l’école d’avoir accĂšs Ă  l’infirmerie pour ce type de test. DĂ©cidemment out est minutieusement prĂ©vu. Emilie me laisse maintenant m’habiller et me donne rendez-vous Ă  fois habillĂ©e, je rĂ©alise que les sensations de cette couche sont proches de celle de nuit. Je commence Ă  regretter d’avoir acceptĂ© ce deuxiĂšme test et Ă  part mon jogging, je ne vois aucun pantalon dans lequel je vais pouvoir entrer avec une telle couche. Je ferai bien d’investir dans une ou deux autres jupes longues pour varier mes tenues avant que cela ne se remarque. MalgrĂ© le port de ma couche, je sors pour aller faire quelques courses alimentaires que j’aurai volontiers faites plus tĂŽt dans la semaine maintenant que je suis en couche la journĂ©e, je m’en veux de ne pas avoir anticipĂ©. Je suis assez stressĂ©e, Ă  l’affut du regard des passants sur moi. Force est de constater que sur le trajet ou bien Ă  la superette, personne ne semble remarquer que je porte une couche sous ma jupe. Cela me soulage et je rentre cependant dĂšs mes courses faite Ă  la maison. Je dĂ©jeune rapidement. A 14H00, toujours ponctuelle, Emilie sonne Ă  la porte et je vais lui ouvrir. Elle me demande si tout va bien et je rĂ©ponds par l’affirmative, lui expliquant que j’étais soulagĂ©e que personne ne se soit rendu compte de rien pendant ma sortie ce matin. Emilie me demande si j’ai mouillĂ© ma couche et je dois lui rĂ©pondre par l’affirmative. Elle m’entraine dans la chambre et me fait allonger. Elle retrousse ma jupe, enlĂšve ma culotte pour accĂ©der Ă  cette couche de jour rose. MalgrĂ© le large pipi elle est toujours bien en place au contact de mes fesses, couvrant parfaitement mon entrejambe. Emilie la retire, me nettoie puis me remet une couche propre. Elle me replace ma culotte et me dĂ©clare parĂ©e pour l’ soir, c’est avec une certaine impatience que j’attends l’arrivĂ©e d’Emilie, venant finalement de passer 24 heures non –stop en couches. Elle arrive et me libĂšre de ma couche encore une fois mouillĂ©e. DĂšs qu’elle l’a enlevĂ© je vais aux toilettes ayant fort envie de faire caca depuis le milieu de l’aprĂšs-midi. Lorsque je reviens dans ma chambre Emilie s’y trouve toujours, ayant sorti une couche nuit de son sac. Je ne comprends pas ce qu’elle fait, Ă©tant donnĂ© que le test est maintenant terminĂ©. Emilie m’explique qu’il est plus prudent pour moi de porter une couche la nuit pendant quelques jours car je pourrai ĂȘtre, mĂȘme sans somnifĂšre, victime d’accidents nocturne pendant quelques temps. Je n’avais pas pensĂ© Ă  cela et cela me contrarie un peu. Emilie pour me conforter m’explique que nous verrions bien demain matin si ces craintes sont fondĂ©es ou non. A contrecƓur je m’allonge Ă  nouveau sur le lit pour qu’Emilie puisse me mettre une couche-nuit. Elle quitte ensuite l’appartement me souhaitant une bonne lendemain matin, ayant oubliĂ© de mettre mon rĂ©veil, c’est Emilie qui de sa voix douce me rĂ©veille d’un bonjour plusieurs fois rĂ©pĂ©tĂ©. DĂ©jĂ  elle me retire mon pantalon de pyjama et ne peut que constater ce que je viens moi-mĂȘme de rĂ©aliser, ma couche est largement mouillĂ©e. Devant mon dĂ©sarroi Emilie se veut rassurante en me disant que c’est le contraire qui aurait Ă©tĂ© Ă©tonnant et que c’est courant lors des fins de tests. Elle retire ma couche et m’invite Ă  aller prendre une douche avant qu’elle ne me mette une couche de jour. Je prends donc une douche rapide puis je suis Ă  nouveau mise en couche par revient comme convenu me changer aprĂšs le dĂ©jeuner puis le soir afin de me remettre une couche nuit, ce qui fait que je suis en couches en permanence. Le lundi matin commence mal avec Ă  nouveau un rĂ©veil avec une couche largement mouillĂ©e sans mĂȘme que cela ne m’ait rĂ©veillĂ© dans la nuit. Je me douche, passe aux toilettes avant qu’Emilie ne met mette une couche rose de jour. J’apprĂ©hende cette premiĂšre journĂ©e en couche Ă  l’école et passe de longues minutes devant ma glace pour m’assurer que ma couche est indĂ©tectable sous ma jupe. Emilie petit-dĂ©jeuner avec moi avant que nous ne partions ensemble pour l’école. Il est 11 heures lors du dernier cours de la matinĂ©e lorsqu’une envie pressante m’oblige Ă  faire pipi dans ma couche. Fort heureusement personne ne se rends compte de rien et la couche absorbe parfaitement mon flux. Je dĂ©jeune en compagnie d’Emilie et d’autres Ă©lĂšves puis, aprĂšs le dĂ©jeuner, Emilie m’entraine Ă  sa suite direction l’infirmerie. L’infirmiĂšre nous accueille Ă  ma grande gĂȘne et nous fait patienter dans une piĂšce annexe expliquant Ă  Emilie qu’il y a dĂ©jĂ  un change en cours. Moi qui commençais Ă  douter qu’une autre Ă©lĂšve teste des couches de jours, me voilĂ  renseignĂ©e. Je comprends Ă©galement par cette rĂ©flexion que l’infirmiĂšre est parfaitement au courant de la nature de notre visite ce qui me met trĂšs mal Ă  l’aise. Quelques minutes plus tard, elle revient nous chercher et nous escorte jusqu’à une salle de soin pourvu d’un lit. Emilie me demande d’enlever mes chaussures et de m’allonger sur le lit. L’infirmiĂšre ne quitte pas la piĂšce et je comprends qu’elle va assister au change de ma couche. DĂ©jĂ  Emilie sort de son sac le nĂ©cessaire pour le change. Elle enlĂšve ma culotte puis dĂ©fait les adhĂ©sifs de la couche, dĂ©couvrant manifestement une couche bien mouillĂ©e. Elle retire la couche et me nettoie consciensieusement le sexe. Je ne sais pas si c’est le port rĂ©pĂ©tĂ© des couches mais celui-ci est assez sensible et cela m’arrache un petit gĂ©missement qui fait sourire les deux femmes. Une nouvelle couche ne tarde pas Ă  se positionner sous mes fesses et la crĂšme froide est maintient appliquĂ© sur mon sexe pendant que je me pince les lĂšvres pour ne pas re gĂ©mir. La couche est refermĂ©e et ajustĂ©e, ma culotte remise en place. Je remets maintenant mes chaussures pendant qu’Emilie range ses affaires. L’infirmiĂšre me dit Ă  bientĂŽt pendant que nous quittons la piĂšce. Je reprends le chemin des cours puis je rentre Ă  la arrive Ă  l’heure habituelle. Dans la chambre, elle dĂ©tache ma couche encore mouillĂ©e, je n’ai jamais rĂ©ussi Ă  me retenir une seule fois depuis que j’en porte. Emilie me nettoie et me propose d’aller aux toilettes avant de me mettre par prĂ©caution une couche nuit. Lorsque je me rallonge sur le lit elle glisse une couche nuit sous mes fesses et, Ă©tonnamment, me demande si je souhaite ĂȘtre dĂ©sensibilisĂ©e avant qu’elle ne referme ma couche. Je ne comprends pas vraiment ce qu’elle veut dire. Elle se penche vers moi et me dit que le gĂ©missement de ce matin ne lui a pas Ă©chappĂ©. Elle poursuit en me disant que le port prolongĂ© des couches et leur frottement peu rendre le clitoris particuliĂšrement sensible joignant le geste Ă  la parole, elle pose un doigt sur mon clitoris ce qui m’arrache un gĂ©missement similaire Ă  celui de ce matin. Je suis particuliĂšrement gĂȘnĂ©e par la situation mais bredouille un oui timide afin de mettre fin Ă  cet Ă©change fort embarrassant. Emilie sort donc un tube de crĂšme dont je ne lis pas le non et en applique une noisette sur mon clitoris. D’abord sensible celui-ci devient effectivement quasiment insensible Ă  la pression des doigts d’Emilie. Ceci fait elle referme ma couche nuit. Emilie m’indique que si mes pipis nocturnes ne cessent pas, le laboratoire fera intervenir une kinĂ© pour des sĂ©ances de remusculation pĂ©rinĂ©ales. Sur ces propos elle quitte l’ jours se suivent, marquĂ©s par le port des couches en journĂ©e et la nuit Ă©galement mais avec une diminution sensible des accidents nocturne dans ma couche. Au bout de 15 jours je ne fais plus pipi qu’une nuit sur deux mais je conserve par prĂ©caution une couche de nuit, ce qui fait que je suis en couche permanente. Emilie en plus de la crĂšme pour prĂ©venir les irritations me passe Ă©galement la crĂšme insensibilisante qui anesthĂ©sie complĂštement mon clitoris. C’est plutĂŽt une bonne chose par rapport au port permanent des couches, j’ai quelques craintes de perdre toute sensibilitĂ© Ă  ce niveau mais Emilie m’a assurĂ© que non. Il est temps que le test se termine car mes parents s’annonce pour venir passer un week-end Ă  Lyon juste au moment oĂč je dois porter mes derniĂšres couches. Emilie semble presque déçue que le test prenne fin. BĂ©atrice et Sylvie m’ont bien proposĂ© de poursuivre les tests sur une gamme diffĂ©rentes mais cette fois-ci ma rĂ©ponse est dĂ©finitivement nĂ©gative, dĂ©jĂ  fort heureuse que personne n’ai remarquĂ© que j’ai portĂ© des couches. Mon amitiĂ© pour Emilie, rĂ©ciproque, survivra par contre aisĂ©ment Ă  la fin de notre coopĂ©ration professionnelle, celle-ci n’ayant pas renoncĂ© d’ailleurs Ă  me voir intĂ©grer les rangs du laboratoire Hartmann.
znmC.
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