LaCGT-Transports a prĂ©venu le 17 novembre que “toutes les conditions Ă©taient rĂ©unies pour appeler les routiers Ă  une grĂšve en dĂ©cembre pour revendiquer une hausse des salaires. Le syndicat a prĂ©cisĂ© qu’elle n’excluait pas de

SociĂ©tĂ© Partout en France, plusieurs syndicats de routiers ont mis en place des barrages filtrants lundi pour rĂ©clamer des revalorisations salariales. Des barrages filtrants avec distribution de tracts Ă©taient organisĂ©s lundi matin Ă  l’entrĂ©e de plusieurs zones industrielles un peu partout en France Ă  l’appel des syndicats de routiers, qui rĂ©clament des revalorisations salariales image d'illustration. © FRANK PERRY / AFP Des barrages filtrants avec distribution de tracts sont organisĂ©s lundi 27 juin Ă  l'entrĂ©e de plusieurs zones industrielles un peu partout en France, Ă  l'appel des syndicats de routiers, qui rĂ©clament des revalorisations salariales. Des barrages occasionnant des ralentissements Ă©taient en place dĂšs l'aube Ă  OrlĂ©ans, Miramas, dans les Bouches-du-RhĂŽne, ou encore LunĂ©ville, en Meurthe-et-Moselle, d'aprĂšs la les Hauts-de-France, deux barrages filtrants Ă©taient mis en place Ă  l'entrĂ©e de deux importantes zones d'activitĂ©s logistiques, l'une Ă  la sortie de Lille et l'autre prĂšs d'Arras, occasionnant d'importantes files de vĂ©hicules Ă  l'heure de pointe. À Lille, sur une sortie d'autoroute en direction de Valenciennes, une cinquantaine de personnes en gilets orange CFDT Ă©taient mobilisĂ©es, bloquant la sortie d'autoroute menant Ă  la zone d'activitĂ© du MĂ©lantois, non loin de l'aĂ©roport, a constatĂ© un journaliste de l'Agence distribuaient des tracts aux automobilistes, critiquant la politique de l'autruche » en matiĂšre de salaire des patrons du transport et du gouvernement » en dĂ©pit des hausses successives dues Ă  une inflation galopante et exponentielle, une forte pĂ©nurie de salariĂ©s 
 et le pouvoir d'achat qui fond comme neige au soleil ».À LIRE AUSSIComment la France est devenue une championne de la grĂšveSans avancĂ©e, un mouvement significatif sera organisĂ© en septembre La plupart des minima des branches conventionnelles sont en dessous du smic », a indiquĂ© Fabien Michaud, dĂ©lĂ©guĂ© CGT-Transports. En plus, il n'y a pas de volontĂ© du patronat d'augmenter les salaires car plus ils donnent des salaires proches du smic, plus ils ont des exonĂ©rations », a-t-il ajoutĂ©. Les syndicats demandent la rĂ©ouverture immĂ©diate des nĂ©gociations salariales aprĂšs celles d'octobre qui avaient dĂ©bouchĂ© sur une revalorisation des grilles de 6 %.À LIRE AUSSIPhilippe Labro – Quels convois pour quelle libertĂ© ?L'objectif de cette journĂ©e est de se compter » dans la perspective d'une rentrĂ©e potentiellement agitĂ©e, selon Fabien Michaud. On s'est fixĂ© septembre pour un mouvement significatif si on n'a pas d'Ă©cho favorable du gouvernement et du patronat », a-t-il prĂ©venu. Un peu plus tard dans la matinĂ©e, les zones industrielles de Nantes, Caen et Moissy-Cramayel, en Seine-et-Marne, Ă©taient Ă  leur tour ralenties par des barrages 11 heures, les routiers avaient pour objectif d'installer le mĂȘme dispositif devant l'entrepĂŽt Amazon prĂšs de Metz. L'ensemble des professionnels du transport routier, qui comprend les routiers mais aussi les chauffeurs de car, les ambulanciers ou les transporteurs de fonds, est appelĂ© Ă  la grĂšve par une intersyndicale composĂ©e de la CGT, la CFDT, FO, la CFTC et la CFE-CGC. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement GrĂšve des routiers plusieurs zones industrielles impactĂ©es 11 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă  la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă  la charte de modĂ©ration du Point. Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă  la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă  la charte de modĂ©ration du Point.

Lesfédérations CGT et FO du secteur du transport routier ont appelé à la grÚve à partir de dimanche soir 22h00 et pour une durée indéterminée afin
Dans l’optique de toujours innover dans les animations proposĂ©es, le club de l’AmitiĂ© a organisĂ© un repas choucroute ouvert Ă  tous, suivi d’une piĂšce de théùtre. L’initiative a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©e puisque 90 personnes de la commune et des environs ont participĂ© Ă  ce moment convivial. La piĂšce de théùtre de la compagnie carcassonnaise, l’Attroupement a surpris puisque ce n’était pas un format traditionnel en cinq actes, mais une succession de mini-scĂšnes, dont certaines reprenaient l’actualitĂ©. Ces moments sont importants puisque ce sont parfois de rares occasions de maintenir un lien social pour certaines personnes isolĂ©es.
LagrĂšve a rĂ©ussi totalement parce le mĂ©contentement est Ă  son paroxysme et intenable. Il est Ă©vident pour tout le monde qu’une grande ville et, une capitale comme Dakar ne peut plus se suffire aujourd’hui d’un seul mode de transport routier. Et cela, le prĂ©sident Macky Sall devrait ĂȘtre le premier Ă  le savoir.
PubliĂ© le 12 dĂ©c. 1996 Ă  101Mis Ă  jour le 6 aoĂ»t 2019 Ă  000Les traits sont un peu tirĂ©s mais la dĂ©termination intacte. Tellement intacte qu'une reconduction de leur mouvement n'est pas exclue. On ne sait jamais... si nous n'obtenions pas satisfaction », lĂąche François Yverneau, le secrĂ©taire fĂ©dĂ©ral de la FGTE-CFDT 1. Son organisation, principal syndicat des routiers avec 18 % des voix aux derniĂšres Ă©lections de comitĂ© d'entreprise 2, a exercĂ© le leadership de la rĂ©cente grĂšve des routiers. Comme au plus fort du conflit, tĂ©lĂ©phones et fax continuent d'ailleurs de crĂ©piter. Ici, un avocat pour savoir comment rĂ©gler les francs de primes obtenus par les routiers dans les nĂ©gociations mais qui ne sont pour l'heure qu'une recommandation. LĂ , un chauffeur aphone d'avoir trop clamĂ© sa colĂšre, pour demander un bulletin d'adhĂ©sion. Au 8e Ă©tage de l'immeuble de la CFDT, avenue Simon-Bolivar dans le 19e arrondissement Ă  Paris, la tension est certes retombĂ©e d'un cran, mais une certaine euphorie enveloppe encore les rencontres entre militants. Il est vrai que cette grĂšve, c'est un peu, beaucoup, leur enfant. Un an bientĂŽt qu'ils y travaillent. Un an de rĂ©unions, de distributions de tracts, de confĂ©rences de presse. Un an pour apprendre Ă  s'exprimer en public, synthĂ©tiser les revendications, monter un barrage, affronter la pluie..., le tout ponctuĂ© par une manifestation test, celle du 28 mai dernier, rĂ©ussie au-delĂ  de leurs espĂ©rances. Un an de vaines rĂ©unions officielles, et de nombreux contacts secrets avec les leaders des organisations patronales. Le tĂ©lĂ©phone existe », lĂąche pour toute information Claude Debons, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint de la FGTE-CFDT. Un an enfin de tournĂ©e des popotes », raconte, de son cĂŽtĂ©, Roger Poletti, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de FO Transports. Par rapport Ă  juillet 92, la grĂšve de novembre 96 apparaĂźt clairement comme un conflit organisĂ© et maĂźtrisĂ© par les syndicats qui ont dĂ©veloppĂ© ces derniĂšres annĂ©es leur implantation dans les entreprises », concĂšde mĂȘme, cĂŽtĂ© patronal, le prĂ©sident de la Chambre des loueurs et transporteurs industriels, Jean de Chauveron. La premiĂšre alerte remonte Ă  dĂ©cembre 1995. En plein conflit des cheminots, la CFDT avertit Le nombre de grĂšves d'entreprises dans le transport routier dans cette pĂ©riode a atteint un niveau sans prĂ©cĂ©dent .... Cette vitalitĂ©, cette Ă©nergie, il nous appartient de la conserver et de la dĂ©velopper. » Le ton est donnĂ©. Il contient dĂ©jĂ  les germes d'une action de plus grande ampleur. SecrĂ©taire d'Etat aux Transports, Anne-Marie Idrac ne l'ignore pas qui, dans un courrier datĂ© du 17 novembre 1995, rappelle la dĂ©termination du gouvernement Ă  mettre en oeuvre de façon expĂ©ditive et adaptĂ©e le dispositif de contrĂŽle et de sanctions du transport routier » ; dispositif prĂ©vu dans le contrat de progrĂšs du 24 novembre 1994. Le 12 fĂ©vrier 1996, la CFDT dĂ©clenche une nouvelle alerte Il faut une application gĂ©nĂ©ralisĂ©e NDLR du contrat de progrĂšs, sinon ceux qui jouent le jeu seront pĂ©nalisĂ©s. » Un mois plus tard, le 7 mars, le conseil cĂ©dĂ©tiste de branche dĂ©cide le principe d'une journĂ©e d'action le 28 mai. Les revendications des routiers se font plus prĂ©cises; plus lourdes aussi par leur coĂ»t Ă©conomique et plus dĂ©terminĂ©es contre les conditions de travail qu'elles dĂ©noncent. Toutes les heures travaillĂ©es doivent ĂȘtre payĂ©es, la retraite Ă  55 ans accordĂ©e, les salaires conventionnels revalorisĂ©s sur la base de francs pour 200 heures, enfin les maladies professionnelles reconnues. Un tract en trois volets, intitulĂ© Prenons les routes du progrĂšs », est tirĂ© Ă  plusieurs milliers d'exemplaires. Des autocollants sont Ă©galement imprimĂ©s. Cela peut aller plus loin », menace le syndicat majoritaire chez les routiers. Rien n'est exclu. Soyons audacieux, inventifs et lucides. » Suit un mode d'emploi Ă  destination des antennes rĂ©gionales Les tracts doivent ĂȘtre diffusĂ©s en avril et mai dans les entreprises. » Le mĂ©canisme syndical semble tourner comme un diesel capable de tracter des tonnes. SuccĂšs de la grĂšve test A la mi-avril, la branche route du syndicat cĂ©dĂ©tiste s'interroge pour la premiĂšre fois sur les actions Ă  mener Tel dĂ©partement pourrait lancer un prĂ©avis pour une journĂ©e de grĂšve. Tel autre distribuer des tracts Ă  un rond-point oĂč les camions doivent ralentir. Tel autre, enfin, se faire remarquer en provoquant un bouchon monstre. »Quinze jours plus tard, une volontĂ© commune ressort d'une nouvelle rĂ©union du conseil cĂ©dĂ©tiste de branche Il faut frapper fort pour qu'on sorte de la routine de la distribution de tracts. » Six rassemblements interrĂ©gionaux sont dĂ©cidĂ©s. La grĂšve test du 28 mai est un succĂšs, qui conforte l'analyse des plus audacieux. Jusqu'Ă  l' Officiel des transports » qui reconnaĂźt, dans son Ă©dition du 1er juin, que la journĂ©e d'action a Ă©tĂ© particuliĂšrement suivie dans toute la France ». Dans la foulĂ©e, les routiers sont reçus au ministĂšre des Transports. Las, leur dĂ©sillusion est grande. Leurs reprĂ©sentants estiment ne pas avoir Ă©tĂ© entendus par les pouvoirs publics, a fortiori par le patronat. Du coup, la CFDT appelle Ă  rester mobilisĂ©s pour porter l'action Ă  un niveau supĂ©rieur ».Le 12 juillet le conseil de branche de la CFDT s'attaque concrĂštement aux modalitĂ©s d'action Ă  envisager, appropriĂ©es Ă  la hauteur des enjeux ». La synthĂšse de ses travaux est trĂšs claire Certes le ministre nous a reçus et le patronat a cĂ©dĂ© un peu sur nos salaires... mais cela ne rĂ©pond pas Ă  nos attentes. »En aoĂ»t, la pression monte encore d'un cran. A la une du mensuel de la CFDT Transports, une interrogation D'autres actions pour avoir gain de cause ? » Son Ă©ditorial est limpide Avis de tempĂȘte sur le social. A force de semer le vent, le patronat routier risque de rĂ©colter la tempĂȘte sociale. »Le 5 septembre, le mĂȘme conseil cĂ©dĂ©tiste de branche considĂšre que l'avertissement n'a pas Ă©tĂ© entendu et dĂ©finit le principe d'une action nationale pour le 4 novembre. A cet effet, une proposition d'unitĂ© d'action est transmise aux autres organisations CGT, FO, CFTC, FNCR et CGC. La forme du conflit est choisie. Nous combinerons un appel Ă  la grĂšve avec une ou des actions spectaculaires. »Dix regroupements rĂ©gionaux sont Ă©tablis; oĂč, dans chacun des cas, les hommes de terrain » auront Ă  choisir et Ă  gĂ©rer le mode d'action. Car il importe de mobiliser les salariĂ©s du transport, le maximum des routiers, d'autant que 85 % d'entre eux ne sont pas syndiquĂ©s. Ici comme ailleurs, la toute petite entreprise ne favorise pas la syndicalisation; dans les sociĂ©tĂ©s de 50 salariĂ©s et plus, les non-syndiquĂ©s ne sont que 46 %. Un tract national est rĂ©digĂ©; et deux slogans adoptĂ©s Agir pour ne pas subir » ; Combattons pour notre avenir. »MontĂ©e en pression progressive Le 30 septembre, l'intersyndicale se rĂ©unit pour la premiĂšre fois. Tous disent oui » Ă  l'action unitaire mais butent sur la date du 4 novembre prĂ©choisie par la CFDT. Les autres _ CGT, FO, FNCR et CFTC _ lui prĂ©fĂšrent le 18 novembre... et tout le monde finit bien sĂ»r par s'y rallier. Pendant ce temps, les deux syndicats de patrons _ la FNTR et l'Unostra _ battent le rappel pour leur propre action du 7 novembre. Eux protestent contre l'inflation des charges et la guerre des prix. Le 14 novembre, tout est dĂ©jĂ  fin prĂȘt chez les routiers. De la liste des barrages pour une montĂ©e en pression progressive d'abord les routes, ensuite seulement les dĂ©pĂŽts de carburants pour ne pas ĂȘtre trop vite impopulaires et pour garder des munitions jusqu'aux tĂ©lĂ©phones portables, en passant par les fax et mĂȘme les tentes afin d'abriter la logistique. Les consignes propres Ă  tout conflit sont Ă©galement rappelĂ©es. Penser Ă  la signalisation, prĂ©voir notamment des lampes lumineuses, placer des militants en amont du ralentissement, penser aussi Ă  l'intendance, si un restaurant est Ă  proximitĂ© parfait, sinon, prĂ©voir des sandwichs, Ă  tout le moins, ou faire transporter les chauffeurs vers les restaurants. Pas de boissons alcoolisĂ©es, ne pas oublier de tĂ©lĂ©phoner chaque jour Ă  la branche route avant 10 heures pour informer la presse. »Le 18 novembre, la mĂ©canique parfaitement rodĂ©e se met enfin en route et tous les syndicats enclenchent ensemble la vitesse supĂ©rieure. On adopte une logistique de guerre », dĂ©clare Roger Poletti. Dans les permanences syndicales, les secrĂ©taires sont quasi rĂ©quisitionnĂ©es dĂšs l'aube pour frapper la synthĂšse des travaux de la nuit et les faxer Ă  tous les barrages. Un conflit des temps modernes » LĂ , rĂ©side selon les syndicats l'une des raisons de la rĂ©ussite de la grĂšve. Un conflit des temps modernes », ironise François Yverneau. Pour dĂ©fendre des conditions de travail d'un autre siĂšcle », ajoute Roger Poletti. En 1992, se souvient Michel Fleurot, militant CFDT venu des Vosges coordonner l'action des barrages Ă  Paris , la base Ă©tait coupĂ©e du sommet. » Or, pour rĂ©ussir un barrage et donc la grĂšve, rĂ©sume­t­il, il faut un tĂ©lĂ©phone, un restaurant Ă  proximitĂ©, des sanitaires. Sans cela, c'est la galĂšre ». Nous distribuions 2, voire 3 ou 4 tracts par jour aux barrages », raconte, pour sa part, Roger Poletti. Jusqu'Ă  250 barrages Mais la communication en temps rĂ©el a un revers. Celui de voir la pression retomber trĂšs rapidement, au vu des accords signĂ©s. Ainsi, au troisiĂšme jour du conflit, alors que poids lourds bloquent 75 points de passage dans l'Hexagone, les syndicats patronaux se dĂ©clarent prĂȘts Ă  ouvrir immĂ©diatement des discussions sur le temps de travail et la retraite Ă  55 ans. AussitĂŽt informĂ©s, les barrages se dĂ©tendent. Au point mĂȘme que les syndicats craignent de ne pouvoir les maintenir en place. Une pluie de tracts assortie de tĂ©lĂ©confĂ©rences parviennent finalement Ă  enrayer la tendance. Le vendredi Ă  16 heures, on a su qu'on passerait le week-end au front », raconte Michel Fleurot. La suite est connue. Cent soixante barrages le lundi 25, plus de 250 le samedi 30, ultime Ă©tape du conflit. RĂ©ussie, la grĂšve le sera si les routiers obtiennent aujourd'hui ce pourquoi ils se sont battus. Un premier succĂšs dĂ©jĂ  les ravit Ă  FO comme Ă  la FGTE-CFDT, les adhĂ©sions se multiplient. La grĂšve aura cette autre vertu d'avoir effacĂ© un temps les dĂ©saccords des transporteurs avec leur confĂ©dĂ©ration CFDT. Nicole Notat, qui a dialoguĂ© avec les grĂ©vistes au barrage d'Yvetot le 22 novembre, s'est tenue informĂ©e chaque jour de l'Ă©volution des nĂ©gociations. Et elle a su conforter la revendication professionnelle en s'opposant Ă  une gĂ©nĂ©ralisation tous azimuts du conflit. Les routiers cĂ©dĂ©tistes viennent d'ailleurs de l'en remercier. Quant Ă  FO, Roger Poletti, blondeliste convaincu », il a quotidiennement tenu au courant Marc Blondel qui lui offrira mĂȘme l'aide logistique de la confĂ©dĂ©ration. Reste l'addition. François Yverneau le sait dĂ©jĂ  elle sera Ă©levĂ©e. Mais qu'importe l'avenir des routiers vaut bien un tel investissement !
Alorsque d'importantes perturbations dans les transports ferroviaires sont annoncĂ©es pour les prochaines semaines, des solutions alternatives existent pour permettre aux dirigeants d'entreprise et Ă  leurs salariĂ©s de s'organiser au mieux et poursuivre leur activitĂ© professionnelle. Mettre en Ɠuvre rapidement et simplement le tĂ©lĂ©travail Économie La CGT appelle Ă  des grĂšves reconductibles dans les transports urbains sur l'ensemble de la France © StĂ©phane Lartigue/MaxPPP Les prĂ©avis de grĂšve reconductible contre le projet de rĂ©forme des retraites se multiplient dans les transports, avec les appels dans ce sens, mardi, de la fĂ©dĂ©ration FO transports et de la CGT des transports urbains, qui ont emboĂźtĂ© le pas Ă  la CGT-RATP et aux syndicats Sud. La fĂ©dĂ©ration FO transports et logistique "appelle ses dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux Ă  dĂ©poser des prĂ©avis de grĂšve reconductible, et ce, dĂšs le 12 octobre, afin que les salariĂ©s des transports organisent les suites du mouvement social", selon un communiquĂ©. La CGT-transports appelle ses syndicats dans les rĂ©seaux de transports urbains Ă  dĂ©poser des prĂ©avis allant du 12 au 30 octobre, ce qui ouvre la voie Ă  une reconduite de la grĂšve le 12 octobre lors d'assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales. La CGT-RATP avait donnĂ© le ton lundi en dĂ©posant un prĂ©avis de grĂšve illimitĂ©e, rejoignant ainsi FO-RATP et SUD-RATP qui plaidaient pour un mouvement reconductible depuis dĂ©but septembre. La CFDT prĂȘte Ă  s'engager dans le mouvement Ă  la RATP Toujours Ă  la RATP, la CFDT a dit, mardi, avoir dĂ©posĂ© un prĂ©avis reconductible, en prĂ©cisant que "la reconduction du mouvement dĂ©pendra de l'importance de la mobilisation et de la rĂ©ponse du gouvernement". L'ensemble des syndicats Solidaires du transport Solidaires transports, SUD-Rail, SUD-RATP, FĂ©dĂ©ration des urbains et SUD Route ont aussi appelĂ© mardi dans un texte commun Ă  la grĂšve reconductible dans leurs secteurs respectifs. SUD-Rail souhaite s'inscrire dans un mouvement reconductible depuis dĂ©but septembre, mais a aussi fait le choix de rester dans une dĂ©marche unitaire avec les syndicats CGT, Unsa et CFDT de la SNCF. Ces quatre syndicats de cheminots doivent se rĂ©unir mercredi pour dĂ©cider des modalitĂ©s de leur appel Ă  la grĂšve le 12 octobre. Trois autres syndicats de cheminots FO, CFTC et CFE/CGC, qui reprĂ©sentent environ 13 % des voix aux Ă©lections professionnelles, ont dĂ©jĂ  indiquĂ© qu'ils appelaient de nouveau Ă  une grĂšve reconductible. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement RETRAITES - Des appels Ă  la grĂšve reconductible de plus en plus nombreux dans les transports 37 Commentaires OrganisatriceD'une Greve Des Transports Avait Sur L'amour Un Point De Vue DĂ©sarmant "Pour ArrĂȘter La Guerre, Refusez-Vous À Vos Maris", Dit-Elle A OrganisĂ© Une GrĂšve Des Transports RĂ©ussie A JouĂ© Un RĂŽle De Premier Plan Dans La GrĂšve Des Transports Son Mot D'ordre Pour Faire L'amour, Ne Faites Pas La Guerre !

La rencontre des travailleurs des transports en commun d’Île-de-France a rassemblĂ© plus de 300 personnes lundi Ă  Melun, Ă  l’appel des conducteur de bus Transdev en grĂšve depuis le 2 septembre Soutenez les grĂ©vistes de Transdev participez Ă  la caisse de grĂšve ! FumigĂšnes, slogans, lancĂ© de feu d’artifice, dans une ambiance explosive, Cynthia, conductrice de bus Transdev au dĂ©pĂŽt de Lieusaint, micro Ă  la main lance C’est pour les usagers qu’on le fait ! C’est pour notre dignitĂ© qu’on se bat ! » Debout sur un banc, Wynnessa grĂ©viste de Vaux-le-pĂ©nil renchĂ©rit Les travailleurs ont pris les clefs de la maison, c’est nous les patrons maintenant car sans nous on voit bien que rien ne bouge. Nous reprendrons le travail seulement lorsqu’on aura des conditions dignes et respectables. » Depuis dĂ©but septembre, elles et leurs collĂšgues sont en grĂšve reconductible, et ce lundi Ă  Melun elles participent Ă  une rencontre qui rĂ©unit les salariĂ©s des diffĂ©rents dĂ©pĂŽts de bus Transdev en grĂšve d’Île-de-France, ainsi que des travailleurs d’autres entreprises de transports en commun Ă  l’instar de la RATP, de la SNCF ou encore de Keolis. La rencontre de ce matin aura dĂ©montrĂ© une grande dĂ©termination des travailleurs du transports. Tous ont insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© de dĂ©passer les divisions par dĂ©pĂŽts, syndicats et entreprises, pour dĂ©fendre un service de transport de qualitĂ© pour les salariĂ©s et les usagers. — RĂ©volution Permanente RevPermanente September 27, 2021 Pour participer Ă  cette rencontre des salariĂ©s des transports d’Île-de-France Ă  l’appel des grĂ©vistes de Trandev, deux cents personnes sont rassemblĂ©es sur la place Saint-Jean de Melun. Les interventions s’enchaĂźnent contre l’ouverture Ă  la concurrence et la privatisation des transports publics, pour de meilleures conditions de travail et pour la dignitĂ©, et surtout pour pointer la nĂ©cessitĂ© de s’unir en dĂ©passant les divisions entre dĂ©pĂŽts, entre syndicats et entreprises. Si la dĂ©termination est au rendez-vous, c’est que cette rencontre a Ă©tĂ© organisĂ©e sous l’impulsion de la grĂšve des chauffeurs de bus Transdev qui s’est Ă©tendue dans toute l’Île-de-France Ă  commencer par la Seine-et-Marne. Au milieu des applaudissements, Boujemah du dĂ©pĂŽt de bus de Chelles dans le 77 annonce Le 6 octobre on va vous rejoindre les amis, on part en grĂšve reconductible ! Vous nous avez donnĂ© la force, continuez Ă  nous la donner, venez nous soutenir ! » Un nouveau dĂ©pĂŽt s’ajoute ainsi Ă  la liste d’une dizaine dĂ©jĂ  en grĂšve reconductible. Pendant la rencontre, les travailleurs du dĂ©pĂŽt Transdev de Chelles ont annoncĂ© rejoindre le mouvement contre la dĂ©gradations des conditions de travail et pour la dignitĂ©. La grĂšve continue ainsi Ă  s'Ă©tendre entre les dĂ©pĂŽts ! — RĂ©volution Permanente RevPermanente September 27, 2021 Les grĂ©vistes dĂ©noncent l’accĂ©lĂ©ration des cadences, la suppression des temps de pause, et les baisses de salaires. Ils expliquent que la dĂ©gradation des conditions de travail se fait au dĂ©triment de la santĂ© physique et mental des salariĂ©s, comme en tĂ©moignerait le nombre d’arrĂȘts maladie en augmentation drastique depuis la rentrĂ©e. Des attaques contre les conditions de travail au mĂ©pris de la santĂ© physique et mentale des salariĂ©s, le nombre d’arrĂȘts maladie ayant drastiquement augmentĂ© depuis la rentrĂ©. Vendredi dernier, Malik, conducteur de bus au dĂ©pĂŽt de Saint-Gratien dans le Val d’Oise nous racontait Transdev leur slogan c’est la qualité  mais la qualitĂ© de leurs services ils la font sur notre santĂ© ! » Assoumane, grĂ©viste Ă©galement, explique craindre pour sa santĂ© Cela fait 10 ans que je travaille dans la boĂźte, il me reste 20 ans de travail, je ne se sais pas dans quel Ă©tat je serais
 » À l’origine de ces attaques, des appels d’offre remportĂ©s par la sociĂ©tĂ© Transdev pour l’exploitation de lots de bus dans la grande couronne en rĂ©gion parisienne Ă  partir du 1er janvier 2021. En effet, depuis l’entrĂ©e en vigueur de la loi d’orientation des mobilitĂ©s LOM, la guerre des prix entre les diffĂ©rents opĂ©rateurs pour remporter ces appels laisse place Ă  une concurrence trĂšs ardue, et entraĂźne une dĂ©gradation drastique des conditions de travail pour les salariĂ©s, au nom de la compĂ©titivitĂ© ». C’est contre ces attaques que la grĂšve reconductible avait dĂ©marrĂ© le 2 septembre dans la commune de SĂ©nart avant de s’étendre Ă  d’autres dĂ©pĂŽts.. ProblĂšme, d’un dĂ©pĂŽt Ă  l’autre ce ne sont pas les mĂȘmes conditions de travail. Une division imposĂ©e par l’entreprise qui tente de fractionner le mouvement en nĂ©gociant la fin du conflit dĂ©pĂŽt par dĂ©pĂŽt. C’est donc pour pallier Ă  cette division que les grĂ©vistes de Vaux-Le-PĂ©nil mobilisĂ©s depuis le 2 septembre ont dĂ©cidĂ© d’appeler Ă  une rencontre des travailleurs du transports toutes entreprises confondues jetant ainsi de pair les jalons d’une coordination entre tous les dĂ©pĂŽts en grĂšve. Une tradition d’organisation et de coordination qui tire ses racines dans la grĂšve de 2019-2020 contre la rĂ©forme des retraites et la coordination RATP – SNCF qui Ă©tait alors un des principaux cadres d’auto-organisation des grĂ©vistes. C’est en s’appuyant sur cette expĂ©rience acquise dans le secteur des transports que la rencontre de ce lundi a Ă©tĂ© organisĂ©e, marquant un pas supplĂ©mentaire vers l’unitĂ© des travailleurs du transport, Ă  rebours des frontiĂšres syndicales et de celles imposĂ©es par le patronat entre les salariĂ©s de diffĂ©rentes entreprises et diffĂ©rents dĂ©pĂŽts. En solidaritĂ© avec les grĂ©vistes de Transdev, les Ă©lus France insoumise et PCF, mais aussi des salariĂ©s de la RATP, de KĂ©olis, et cheminots de la SNCF comme les travailleurs de l’infrapĂŽle en grĂšve depuis plusieurs mois, ou encore des raffineurs de Grandpuits ont fait le dĂ©placement. Tous ont saluĂ© cette grĂšve partie de la base, en appelant Ă  les soutenir et en participant Ă  la caisse de grĂšve. Mais au-delĂ  de la solidaritĂ©, cette rencontre a Ă©tĂ© un moment de partage d’expĂ©rience les raffineurs de Grandpuits, les cheminots de la SNCF, les traminots de la RATP ont pris la parole pour raconter leurs luttes passĂ©es, les rĂ©ussites et les obstacles qu’ils ont pu rencontrer, et les leçons qu’ils avaient pu tirer. Olivier, travailleur de la maintenance des voies Ă  la gare du nord Ă  l’InfrapĂŽle en grĂšve depuis plusieurs mois pour de meilleures conditions de travail et pour la dignitĂ© raconte Nous c’était notre premiĂšre grĂšve, on n’en avait jamais fait avant, et je vous le dis il faut renforcer l’union entre vous, que vous ayez les mĂȘmes revendications, ensemble vous serez plus forts ! ». Il y a pas BFM, ils se prĂ©occupent de Zemmour et de diviser pendant que nous on lutte au quotidien contre le patronat qui nous attaque sans distinction de couleur ou de religion ! » AnasseKazib intervient Ă  la rĂ©union des travailleurs du transport public Ă  Melun. — RĂ©volution Permanente RevPermanente September 27, 2021 Un partage d’expĂ©rience qui aura permis aux travailleurs de Transdev de poser ce lundi matin les premiers jalons d’une coordination entre tous les dĂ©pĂŽts. TrĂšs vite, au-delĂ  des messages d’unitĂ©, fusent les questions de coordination et d’organisation. Alimenter la caisse de grĂšve et surtout refuser les nĂ©gociations dĂ©pĂŽt par dĂ©pĂŽt pour casser la grĂšve, comme celle qui Ă©tait proposĂ©e par la direction du dĂ©pĂŽt de Lieusaint lundi aprĂšs-midi. Il faut qu’on s’organise, qu’on se coordonne, prenons les numĂ©ros de tous le monde Ă©lisons des dĂ©lĂ©guĂ©s sur chaque dĂ©pĂŽt, c’est la base qui Ă  lance cette grĂšve, l’étiquette syndicale on s’en fout on est tous ensemble. C’est Ă  nous tous de dĂ©cider ! » rĂ©sume un grĂ©viste. Une premiĂšre rencontre rĂ©ussie qui a donc permis de faire prendre conscience de la puissance des salariĂ©s en grĂšve, et de la nĂ©cessaire coordination pour mettre en Ă©chec la stratĂ©gie de division de Transdev et pour permettre aux travailleurs de s’approprier leur lutte. Mais aussi un appel Ă  poursuivre l’expĂ©rience et Ă  retranscrire cette dĂ©termination dans la rĂ©alitĂ© de la lutte notamment lors de la journĂ©e de mobilisation interprofessionnelle Ă  l’échelle nationale, Ă  l’appel des organisations syndicales, pour le 5 octobre. Ce jour lĂ , les salariĂ©s des transports prĂ©sents Ă  la rencontre mettront toutes leurs forces pour en faire une journĂ©e noire dans les transports et proposent de dĂ©filer dans un grand cortĂšge unitaire, intersyndical et qui regroupe l’ensemble des grĂ©vistes des transports, quelque soit leur Ă©tiquette syndicale ou leur entreprise. Avant la participation Ă  la manifestation parisienne, les grĂ©vistes comptent s’inviter devant les bĂątiments d’Île-de-France MobilitĂ©s, l’organisme de la rĂ©gion dirigĂ© par ValĂ©rie PĂ©cresse qui met en place les appels d’offre et organise la casse du service publique des transports et la dĂ©gradation des conditions de travail. Soyons nombreux et nombreuses Ă  venir les soutenir !

RATP: une journĂ©e de grĂšve rĂ©ussie : quelles suites ? CrĂ©dit Photo. Wikimedia Commons. Marina KunĂ© . Hebdo L’Anticapitaliste - 609 (31/03/2022) Vendredi 25 mars, les conducteurEs de bus et les ouvrierEs de la maintenance se sont retrouvĂ©s aux aurores devant leurs dĂ©pĂŽts Ă  Lagny, Belliard, Pleyel, Ivry À 500 ils ont ensuite convergĂ© devant le siĂšge de
PubliĂ© le 16/12/2021 Ă  0511 Pour cĂ©lĂ©brer l’anniversaire de l’ouverture de son cabinet Ă  ThĂ©gra, Elodie Fouillac, psychopraticienne, a organisĂ© durant le week-end des 11 et 12 dĂ©cembre des journĂ©es portes ouvertes pour tout public. Durant la visite, la psychopraticienne a expliquĂ© comment elle met en Ɠuvre une relation d’aide face Ă  la dĂ©pression, au deuil, et les approches qu’elle propose pour combattre les difficultĂ©s du quotidien. Quelques exposants comme les Bergers des Lavandes, la ferme de Siran, proposaient leurs produits Ă  la vente en accompagnement des livres Ă©crits et vendus par Madame Fouilhac, Les peintures de Nanie agrĂ©mentant les et prise de rendez-vous au 07 86 18 88 34.

OrganisatriceDe Greve Des Transports Organisatrice D Une Greve Des Transports Organisatrice D'une Greve Des Transports Instigatrice De La Greve Des Transports; Avait Sur L'amour Un Point De Vue DĂ©sarmant "Pour ArrĂȘter La Guerre, Refusez-Vous À Vos Maris", Dit-Elle; A OrganisĂ© Une GrĂšve Des Transports RĂ©ussie

La Cour de justice de l’Union europĂ©enne CJUE a de nouveau pris la dĂ©fense des passagers une grĂšve organisĂ©e par un syndicat de compagnie aĂ©rienne, notamment pour obtenir une augmentation, n’est pas une circonstance extraordinaire. Ceci signifie que les passagers dont le vol a Ă©tĂ© annulĂ© ou retardĂ© par cette grĂšve doivent ĂȘtre indemnisĂ©s, conformĂ©ment au rĂšglement europĂ©en n°261/2004. Une grĂšve provoquĂ©e par la politique interne de la compagnie La CJUE a eu l’occasion de traiter d’une grĂšve qui a touchĂ© la compagnie SAS, ou Scandinavian Airlines System, au printemps 2019. Cette grĂšve, qui a provoquĂ© l’annulation et le retard de nombreux vols, a Ă©tĂ© provoquĂ©e par un syndicat de la compagnie Ă  la suite de l’échec de nĂ©gociations concernant une nouvelle convention collective. La compagnie SAS refusait jusqu’alors systĂ©matiquement toute indemnisation, estimant qu’il s’agissait d’une circonstance extraordinaire, un Ă©vĂšnement dĂ©fini comme n’étant pas inhĂ©rent au transport aĂ©rien et provoquĂ© par des faits extĂ©rieurs Ă  la compagnie. La CJUE n’est pas de cet avis la grĂšve a clairement Ă©tĂ© provoquĂ©e par des circonstances purement internes Ă  la compagnie. De plus, la grĂšve a fait l’objet d’un prĂ©avis, excluant donc d’affirmer que celle-ci Ă©tait soudaine et imprĂ©visible. La compagnie pouvait prĂ©voir et gĂ©rer une telle grĂšve, qui fait somme toute partie de la vie de beaucoup d’entreprises, en particulier d’une compagnie aĂ©rienne. Une nouvelle opportunitĂ© pour les passagers victimes de perturbation de leur vol d’ĂȘtre indemnisĂ©s Tous les passagers concernĂ©s par ces faits sont donc en droit d’ĂȘtre indemnisĂ©s, conformĂ©ment au rĂšglement europĂ©en n°261/2004. Cet arrĂȘt intĂ©ressera fortement les passagers concernĂ©s par des grĂšves purement internes aux compagnies ces derniĂšres annĂ©es. Notamment, les grĂšves des salariĂ©s de Ryanair de l’étĂ© 2018 ou encore de Lufthansa en novembre 2019. Attention, il faut Ă©galement conclure de cet arrĂȘt que toutes les grĂšves de salariĂ©s de compagnies aĂ©riennes ne justifient pas l’indemnisation des passagers. Sont donc exclues les grĂšves des salariĂ©s d’Air France et Hop! en dĂ©cembre 2019 les mouvements avaient Ă©tĂ© provoquĂ©s par la rĂ©forme des retraites dĂ©battue en France Ă  ce moment-lĂ . Les revendications des employĂ©s n’étaient pas liĂ©es Ă  la gestion des compagnies qui ne pouvaient donc pas agir pour les stopper. Votre vol a Ă©tĂ© annulĂ© ou retardĂ© Ă  la suite d’une grĂšve des salariĂ©s de la compagnie ? Cliquez ici pour ĂȘtre accompagnĂ© dans votre rĂ©clamation et obtenir votre indemnisation ! OrganisatriceDe Greve Des Transports Organisatrice D'une Greve Des Transports Instigatrice De La Greve Des Transports; A OrganisĂ© Une GrĂšve Des Transports RĂ©ussie; A JouĂ© Un RĂŽle De Premier Plan Dans La GrĂšve Des Transports; Les Sauveteurs À La GrĂšve Ou Les Casseurs De GrĂšve ? Amenent A La Greve Sauf En Cas De Greve; Dix-huitiĂšme jour de grĂšve en un mois et demi Ă  la SNCF, et il a Ă©tĂ© trĂšs suivi ce lundi 14 mai plus de 27% de grĂ©vistes, plus de 74% chez les conducteurs de train. Dans le mĂȘme temps, le vot'-action » a commencĂ© dans toute la France pour les salariĂ©s de la SNCF. Les syndicats en lutte contre le projet de rĂ©forme leur demandent de dire s'ils soutiennent ou non ce projet. Une maniĂšre de rĂ©pondre Ă  Guillaume PĂ©py, prĂ©sident de la SNCF, qui affirme que les cheminots non-grĂ©vistes soutiennent le projet gouvernemental. Reportage, Ă  la gare de Lyon, Ă  Paris. Une file petite file d'attente s'est formĂ©e dans le local des contrĂŽleurs de la gare de Lyon. Le maĂźtre des lieux c'est Jean-Michel, contrĂŽleur, dĂ©lĂ©guĂ© CGT et l'un des organisateurs du vote. On a des listes d’émargement pour que les gens puissent mettre leur nom et leur numĂ©ro de matricule, explique-t-il. Ensuite ils ont un bulletin Ă  remplir " ĂȘtes-vous pour ou contre le pacte ferroviaire portĂ© par le gouvernement ? " Donc ils Ă©margent et cochent une case. Tous les jours on ira faire un tour dans les bureaux pour aller voir les agents pour qu’ils puissent s’exprimer aussi. »Les syndicats ont invitĂ© le directeur de la gare Ă  voter, il a prĂ©fĂ©rĂ© s'abstenir. Ce n'est pas le cas de ces cheminots, visiblement pressĂ©s de donner leur avis Je suis en train de voter contre la rĂ©forme voulue par le gouvernement actuel, dit l’un d’eux. Tout le monde ne peut pas faire grĂšve, mais tout le monde n’est pas pour le projet de rĂ©forme. Un conflit c’est long et je sais qu’au niveau financier c’est dur pour certains. Donc lĂ  au moins, ils vont pouvoir dire ce qu’ils pensent vraiment. » Par rapport au pacte ferroviaire, moi je suis contre, dit un autre cheminot. Je suis depuis trois ans dans l’entreprise. Faire ce vote permet de connaĂźtre l’opinion de tout le monde. »Le vote dure jusqu'Ă  lundi prochain. Il n'a aucune valeur juridique, mais les syndicats espĂšrent une forte participation pour clarifier, une fois pour toutes, la position des salariĂ©s de la SNCF. Qu'ils participent ou non Ă  la grĂšve commencĂ©e il y a un mois et demi.â–ș Re lire GrĂšve SNCF remobilisation lundi et, en prĂ©vision, un trafic trĂšs perturbĂ© RĂ©pondreA OrganisĂ© Une GrĂšve Des Transports RĂ©ussie La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 10 lettres et commence par la lettre L Les solutions pour A ORGANISÉ UNE GRÈVE DES TRANSPORTS RÉUSSIE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Par 17 Juin 2022 Ă  1122 L’UGTT a organisĂ© hier une grĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur public pour dĂ©fendre les droits socio-Ă©conomiques du pays. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la centrale syndicale Noureddine Taboubi a annoncĂ© que le taux de rĂ©ussite de la grĂšve a atteint 96%. L’UGTT a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une large campagne de soutien de la part des syndicats et organisations nationaux et internationaux. UGTT GrĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur public L’Union gĂ©nĂ©rale tunisienne du travail UGTT a dĂ©crĂ©tĂ© hier une grĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur public en signe de protestation contre la dĂ©tĂ©rioration de la situation socio-Ă©conomique des travailleurs. La centrale syndicale rĂ©clame la suppression de la circulaire n°20, la mise en Ɠuvre des accords sectoriels, l’augmentation du salaire minimum et l’ouverture des nĂ©gociations sociales pour rĂ©viser les salaires des travailleurs. GrĂšve gĂ©nĂ©rale-UGTT Les messages de solidaritĂ© pleuvent D’aprĂšs des communiquĂ©s publiĂ©s sur sa page officielle, l’UGTT a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une large campagne de solidaritĂ© aprĂšs avoir annoncĂ© l’organisation d’une grĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur public pour dĂ©fendre les droits socio-Ă©conomique des travailleurs. IndustriaALL Global Union a exprimĂ© son soutien et sa solidaritĂ© avec l’UGTT et ses affiliĂ©s pointant une vague d’attaques contre la dĂ©mocratie, les droits fondamentaux et l’Etat de droit en Tunisie. “InsutriALL soutient pleinement les revendications lĂ©gitimes de l’UGTT. Votre lutte est aussi notre lutte et nous continuerons Ă  nous battre ensemble pour la dĂ©mocratie” lit-on dans le communqiuĂ©. A l’instar du SNJT, les Femmes DĂ©mocrates et le FTDES, les syndicats amĂ©ricains ont exprimĂ© leur soutien avec la centrale syndicale. Dans le mĂȘme sens,la ConfĂ©dĂ©ration syndicale internationale a assurĂ© qu’elle se tient aux cĂŽtĂ©s de l’UGTT et ses revendications lĂ©gitimes. Les syndicalistes se rassemblent devant le siĂšge de l’UGTT Les syndicalistes se sont rassemblĂ©s devant le siĂšge de l’Union gĂ©nĂ©rale tunisienne du travail UGTT en rĂ©ponse Ă  l’appel lancĂ© par la centrale syndicale ayant dĂ©crĂ©tĂ© une grĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur public. Sami Tahri Les droits s’arrachent et ne s’acquiĂšrent pas Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint de l’UGTT Sami Tahri a indiquĂ© que le droit de grĂšve est garanti par la loi. ” Les droits s’arrachent et ne s’acquiĂšrent pas” a-t-il dĂ©clarĂ© au micro de Tunisie NumĂ©rique. Noureddine Taboubi aux travailleurs Notre grĂšve est rĂ©ussie Ă  96% Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de l’UGTT Noureddine Taboubi a dĂ©clarĂ©, dans un discours adressĂ© aux travailleurs et aux syndicalistes, que la centrale syndicale continuera sa bataille pour dĂ©fendre les droits socio-Ă©conomiques de ses adhĂ©rents. “Notre grĂšve est rĂ©ussie Ă  96%” a-t-il dĂ©clarĂ©. Taboubi Il n’y avait aucune augmentation salariale depuis 2020 Il a expliquĂ© que le syndicat ne rĂ©clame pas des augmentations salariales rĂ©vĂ©lant que les fonctionnaires et les travailleurs du secteur public n’ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’aucune hausse depuis 2020 et ce, malgrĂ© le taux Ă©levĂ© d’inflation, la pandĂ©mie du Covid-19 et la dĂ©tĂ©rioration du pouvoir d’achat. Le responsable a, dans le mĂȘme sens, rappelĂ© que le mouvement protestataire a Ă©tĂ© organisĂ© en vue de mettre en avant un certain nombre de revendications dont l’annulation de la contribution sociale de 1%. Le message de Noureddine Taboubi au gouvernement Bouden En marge de sa participation Ă  la manifestation organisĂ©e hier, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de la centrale syndicale Noureddine Taboubi a adressĂ© un message au gouvernement Bouden. ” Je vous dĂ©fie de publier le document des rĂ©formes qui a Ă©tĂ© communiquĂ© au FMI et rĂ©vĂ©ler la vĂ©ritĂ© de la situation au peuple tunisien. Nous ne sommes pas contre les rĂ©formes mais nous rejetons les dĂ©cisions douloureuses qui portent atteinte au pouvoir d’achat des travailleurs. D’ailleurs, nos propositions sont prĂȘtes” a-t-il dit. L’UGTT accuse le gouverneur de MĂ©denine d’avoir pris des mesures de rĂ©quisition illĂ©gales dans le secteur du Transport Dans une dĂ©claration accordĂ©e Ă  Tunisie NumĂ©rique, le secrĂ©taire general adjoint de l’UGTT Ă  MĂ©denine, Habib Zemmouri a accusĂ© le gouverneur de MĂ©denine d’avoir Ă©mis des ordres de rĂ©quisition illĂ©gaux dans le secteur du Transport public. Il a estimĂ© que les mesures de rĂ©quisition doivent ĂȘtre prises directement par le prĂ©sident de la RĂ©publique, Kais Saied et publiĂ©es dans le JORT dĂ©nonçant d’ailleurs la prise d’une telle dĂ©cision de façon unilatĂ©rale. Samir Cheffi Nous soutenons toujours le processus du 25 juillet mais .. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint de l’Union gĂ©nĂ©rale tunisienne du travail UGTT Samir Cheffi a indiquĂ© dans une dĂ©claration faite Ă  Tunisie NumĂ©rique que la Centrale syndicale a fait preuve d’une grande flexibilitĂ© avec le processus du 25 juillet. Il a ajoutĂ© en marge de sa participation Ă  la grĂšve gĂ©nĂ©rale tenue Ă  Sfax que l’UGTT soutient toujours le processus du 25 juillet et le considĂšre comme Ă©tant une vĂ©ritable opportunitĂ© pour faire sortir le pays de cet impasse. Ezzeddine SaĂŻdane Les rĂ©percussions indirectes de la grĂšve pĂšsent lourd L’économiste Ezzeddine SaĂŻdane a assurĂ© qu’il n’y a aucune possibilitĂ© permettant de dĂ©finir les rĂ©percussions de la grĂšve gĂ©nĂ©rale du secteur public sur le plan financier. Il a indiquĂ© que les rĂ©percussions directes ne sont pas Ă©normes. “Le plus dangereux, c’est plutĂŽt les rĂ©percussions indirectes. A titre d’exemple, la dĂ©cision de la suspension des vols qui pourrait porter atteinte Ă  l’image de la Tunisie. S’ajoute Ă  cela, les dĂ©gĂąts de la grĂšve sur le plan touristique” a-t-il dĂ©clarĂ©. Et d’ajouter que les rĂ©percussions indirectes de cette grĂšve pĂšsent lourd. La grĂšve gĂ©nĂ©rale dans les rĂ©gions Sfax Les protestataires se sont rassemblĂ©s devant le siĂšge rĂ©gional de l’Union gĂ©nĂ©rale des travailleurs tunisiens UGTT et ont scandĂ© des slogans en faveur de la Centrale syndicale. BĂ©ja La circulation des trains et des bus a Ă©tĂ© suspendue au gouvernorat de BĂ©ja en raison de la grĂšve gĂ©nĂ©rale dĂ©crĂ©tĂ©e par l’UGTT dans la fonction et le secteur public, a rapportĂ© le correspondant de Tunisie NumĂ©rique. D’aprĂšs le syndicat de base des cadres de la SociĂ©tĂ© nationale des chemins de fer SNCFT, le taux de rĂ©ussite de la grĂšve a atteint les 99%. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’Union rĂ©gionale tunisienne du travail UGTT Ă  BĂ©ja Abdelhamid Cherif a dĂ©clarĂ© que le taux de rĂ©ussite de la grĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur public a dĂ©passĂ© 95%. Il a assurĂ© au correspondant de Tunisie NumĂ©rique que la centrale syndicale a eu recours Ă  la dĂ©cision de la rĂ©quisition pour garantir le service minimum dans la majoritĂ© des secteurs. Abdelhamid Cherif a ajoutĂ© que la grĂšve est purement sociale expliquant que le gouvernement cible la centrale syndicale. Gafsa S’exprimant au micro de Tunisie NumĂ©rique, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’Union rĂ©gionale tunisienne du travail de Gafsa relevant de l’UGTT, Mohamed SghaĂŻer Miraoui a indiquĂ© que le taux de rĂ©ussite de la grĂšve gĂ©nĂ©rale Ă  Gafsa a atteint les 90%. Parmi les participants Ă  la grĂšve gĂ©nĂ©rale figurent les agents de la Compagnie de Phosphate de Gafsa CPG, les agents du Groupe Chimique Tunisien GCT, les agents de la Poste, les agents de Transport public, les agents de la STEG ainsi que les agents de la SONEDE. Les agents de la sociĂ©tĂ© rĂ©gionale de transport El Kawafel se sont mis en grĂšve avec un taux de participation qui a dĂ©passĂ© les 99%, a assurĂ© le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du syndicat de la sociĂ©tĂ© rĂ©gionale du Transport El Kawafel Ă  Tunisie NumĂ©rique. Les habitants du gouvernorat de Nabeul se sont plaints de la grĂšve gĂ©nĂ©rale dĂ©crĂ©tĂ©e par l’UGTT dans la fonction et le secteur public, d’aprĂšs la correspondante de Tunisie NumĂ©rique. Ils ont estimĂ© que le pays ne peut plus supporter une telle situation prĂ©cisant que cette grĂšve vient accentuer la tension dans le pays. Une citoyenne a indiquĂ© qu’elle est contre cette grĂšve puisque la situation Ă©conomique du pays est difficile Ă  l’heure actuelle. Elle a assurĂ© que la situation actuelle exige l’unification des rangs pour pouvoir sortir de la crise. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’UGTT Ă  Nabeul, Abbes Hannechi a dĂ©clarĂ© que le taux de rĂ©ussite de la grĂšve dĂ©crĂ©tĂ©e dans le secteur public au gouvernorat en question a atteint 85%. Le taux de rĂ©ussite de la grĂšve dans le secteur du Transport a par ailleurs atteint 100%, selon la mĂȘme source. Sidi Bouzid Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’Union rĂ©gionale du travail Ă  Sidi Bouzid, Mohamed Lazhar Gammoudi a assurĂ© que le taux de rĂ©ussite de la grĂšve gĂ©nĂ©rale dans la rĂ©gion en question a dĂ©passĂ© les 90%. Selon ses dires, les agents des diffĂ©rents secteurs concernĂ©s par la grĂšve dont notamment la STEG, la SONEDE, la Poste et le transport public, ont participĂ© massivement Ă  la grĂšve. Contrairement Ă  ce qui a Ă©tĂ© annoncĂ© par le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’UGTT Ă  Sidi Bouzid, Mohamed Lazher Gammoudi dans une dĂ©claration accordĂ©e Ă  Tunisie NumĂ©rique, des habitants de la mĂȘme rĂ©gion ont confirmĂ© l’échec de la grĂšve gĂ©nĂ©rale dĂ©crĂ©tĂ©e par la Centrale syndicale dans le secteur public. L’un des intervenants a fait savoir que les caisses de sĂ©curitĂ© sociale, les banques publiques ainsi que les municipalitĂ©s fonctionnent normalement malgrĂ© la tenue de la grĂšve. Selon ses dires, la grĂšve est politisĂ©e c’est pour cette raison qu’elle a Ă©chouĂ©. Kasserine Le secrĂ©taire rĂ©gional de l’Union gĂ©nĂ©rale tunisienne du travail UGTT au gouvernorat de Kasserine, Sanki Assoudi a fait savoir que le taux de rĂ©ussite de la grĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur public dans la rĂ©gion a atteint les 97%. Dans une dĂ©claration faite au correspondant de Tunisie NumĂ©rique, le syndicaliste a soulignĂ© que la grĂšve n’était pas un choix, mais a Ă©tĂ© forcĂ©e par le syndicat car le gouvernement n’a pas rĂ©pondu positivement Ă  ses demandes. Jendouba Dans une dĂ©claration accordĂ©e Ă  Tunisie NumĂ©rique, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’Union rĂ©gionale tunisienne du travail UGTT Ă  Jendouba Khaled Abidi a fait savoir que le taux de rĂ©ussie de la grĂšve gĂ©nĂ©rale dans le secteur publie varie entre 80% et 90%. Selon notre intervenant, le travail a Ă©tĂ© suspendu au sein de plusieurs administrations dont la STEG, la SONEDE et l’Office des terres domaniales. ” Alech Hakka” de Taher FazaĂą, Episode 4 “El Flous”, Voir la vidĂ©o 8xsUeq.
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